Ce jeudi 21 septembre, dans l’après-midi, deux assistantes sociales du service de l’Aide sociale à l’enfance ont été violemment agressées par un jeune homme de 17 ans suivi par leur service, au domicile de ses parents, aux Avirons. Suite à l’agression des assistantes sociales, le président du Conseil départemental a organisé, ce matin, une réunion de crise avec ses services, afin de faire toute la lumière sur ces évènements (Photo : sly/www.imazpress.com)
Cyrille Melchior a également pris contact avec les deux agents agressés pour leur faire part personnellement de son soutien le plus total dans ses moments extrêmement douloureux pour eux.
à sa demande, le personnel des services concernés a été rencontré par la direction générale et une enquête administrative a été diligentée, notamment pour déterminer les mesures de prévention qui pourraient être mises en œuvre afin d’empêcher la répétition de tels actes.
S’agissant des suites judiciaires de cette affaire, les services du Département restent en contact constant avec les autorités compétentes.
Pour rappel, ce jeudi 21 septembre, deux assistantes sociales du service de l’Aide sociale à l’enfance ont été violemment agressées par un jeune homme de 17 ans suivi par leur service, au domicile de ses parents, aux Avirons.
L’une d’elle a été poignardée à l’épaule à l’aide d’un ciseau. Après avoir reçu des soins sur place, l’agent du Département a été transportée au CHU de Saint-Pierre et semble hors de danger.
Le jeune homme a été placé en garde à vue à la gendarmerie de l’Etang-Salé.
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Nic, un exemple n'est pas une généralité, et quand il y a des soupçons graves, la parole de l'enfant doit être prise en compte... Les assistants sociaux font un travail particulièrement difficile, encadré par des textes de lois qui tous protègent d'abord les victimes, ce qui personnellement me semble normal. En l'occurrence, même si vous "ne cautionnez pas", à la lecture de votre "exemple", on comprend bien que cela ne vous émeut guère, et c'est bien dommage!
Je ne cautionne pas mais jai connu des gens dont lenfant a étais enlever 15 jours car ils soupconnsient le pére de violence.
Il s'est avéré que le père était complètement innocent, et que l'enfant a vécu 15 jours d'angoisse en réclamant ses parents tous les jours, sans que rien ne soit fait dans l'intérêt de l'enfant. Où est le prétendu intérêt supérieux de l'enfant là-dedans ? Bien que je ne cautionne aucunement ce geste, si tous les dossiers sont traités avec autant de légèreté que celui évoqué, je peux comprendre l'amertume et le sentiment d'injustice de certaines familles.