A ce jour, 344 cas de de Covid-19 sont recensés à La Réunion. Deux conclusions peuvent être retirées du document publié par Santé Publique France: (Photo d'illustration rb/www.ipreunion.com)
• Malgré un confinement effectif depuis 21 jours, la courbe épidémique du nombre de cas confirmés ne cesse de grimper ; ce qui signifie que les chiffres rendus publics, basés précisément sur ces " cas confirmés ", sont probablement en dessous de la réalité;
• Les mesures préventives doivent être renforcées au regard du caractère hautement contagieux du virus Covid-19 et des faibles moyens dont disposent nos soignants et nos infrastructures médicales.
Un constat s’impose : la population réunionnaise est extrêmement vulnérable. Si nous attendons que la pandémie prenne de l’ampleur pour mieux la contrer, il sera trop tard.
Ne perdons pas de temps, #NePerdonsPlusDeTemps.
Nous devons tous soutenir l’initiative des Professeurs Philippe Douste-Blazy, Professeur de santé publique et d’épidémiologie, ancien Ministre de la Santé ; Christian Perronne, Chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Raymond Poincaré de Garches ; François Bricaire, ancien Chef du service de maladies infectieuses à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, Membre de l’Académie de Médecine ; des docteurs Patrick Pelloux, Président de l’Association des médecins urgentistes de France ; Michèle Barzach, ancienne Ministre de la Santé, pour que :
- l'hydroxychloroquine ou, à défaut, de la chloroquine soient mis à la disposition de nos pharmacies en quantité suffisante ;
- un stock significatif d'hydroxychloroquine/chloroquine soit constitué dans les plus brefs délais à la Réunion ;
- chaque médecin hospitalier puisse en prescrire à tous les malades atteints de forme symptomatiques de l'affection à Covid-19 au stade le plus précoce, avant toute mise sous assistance respiratoire.
D'ailleurs, tous les Réunionnais connaissent la nivaquine, un médicament contre le paludisme. Ainsi, que ce soit à l’époque à La Réunion, ou encore maintenant lorsqu’ils se rendent dans des pays voisins concernés, les Réunionnais prennent de la nivaquine pour se prémunir contre le paludisme.
Il faut savoir que la nivaquine, c’est le nom du médicament à base de chloroquine. La pétition qui a été lancée vise à permettre l’utilisation de la chloroquine, sur prescription médicale, dans la lutte contre le coronavirus
Nous invitons tous les Réunionnais à signer la pétition "Traitement Covid-19: ne perdons plus de temps ! #NePerdonsPlusDeTemps".
André THIEN AH KOON
Maire du Tampon
Qu'es ce qu'on attend qu'il y ait plus de décès?
Non ! pas pour tous les cas, car les conséquences peuvent être dramatiques chez certains patients (voir les détails des études scientifiques) !
Attention TAK , ne pas confondre vitesse et précipitation . L'affaire du Mediator est une affaire sanitaire et judiciaire concernant les personnes s'estimant victimes de la prise de benfluorex, commercialisé sous le nom de Mediator par les laboratoires Servier. . Des familles ont souffert par des irresponsables de l' industrie pharmaceutique france
Il a raison !Entre ne rien faire et risquer des conséquences graves, voire mourir et prendre la chloroquine et risquer les effets secondaires qui ne sont pas bien méchants ( dans une très très grande majorité des cas ), il n'y a pas à hésiter. Ca + des masques anti-projections en tissus ( pour diminuer les risques de véhiculer et émettre des facteurs de contamination, permettra une sortie de crise efficace et moins longue que ce qui nous attend si nous n'avançons pas. Le Maire du Tampon est un pragmatique, un vrai gestionnaire politique !Le gouvernement devrait s'en inspirer !!!
Oui tout a fait d accord pour la chloroquine mieux vaut ça que rien après tous ces morts