[EN DIRECT] À la veille d'une nouvelle mobilisation

Retraites: "la loi sur les retraites est derrière nous", martèle Olivier Véran

  • Publié le 27 mars 2023 à 13:35

A la veille d'une dixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, l'exécutif tente de reprendre la main en clamant sa volonté d'"apaisement" et en dessinant une feuille de route tournée vers l'avenir, dans une atmosphère de plus en plus tendue.

  • C'est la fin de ce live, merci de nous avoir suivi.

  • Gérald Darmanin appelle au calme

    "Les services du ministère de l'Intérieur anticipe de graves troubles à l'ordre public" affirme le ministre, indiquant que des "étrangers" et des "éléments radicalisés" seront présents à Paris. "Devant cette situation, j'ai décidé de déployer un dispositif exceptionnel de 13.000 policiers et gendarmes, dont 5.500 à Paris."

    "J'ai rappelé l'indispensable , je demande de ne répondre à aucune provocation. J'appelle solennellement au calme. J'appelle les manifestants calmes à se désolidariser des violences"

    17 enquêtes ont par ailleurs été ouvertes par l'IGPN

  • Gérald Darmanin s'exprime à la veille de la 10ème journée de mobilisation contre la réforme des retraites.

    "Depuis le 16 mars, les forces de l'ordre sont confrontées à des actions extrêmement violentes, notamment dans le cadre de manifestations non-déclarées" dit Gérald Darmanin, listant les préfectures, sous-préfectures ou encore mairies a avoir été la cible d'incendies ou de tentatives d'incendies. Nous dénombrons 114 actes de vandalisme contre des permanences politiques et parlementaires" affirme le ministre.

    "Dans les Deux-Sèvres, nos forces de l'ordre ont affronté des violences inouïes. Nous ne laissons pas s'installer la loi du plus fort" affirme-t-il, ayant "une pensée" pour les deux manifestants actuellement dans le coma.

  • Emmanuel Macron accuse La France Insoumise de vouloir "délégitimer" les institutions

    Emmanuel Macron reçoit actuellement la Première ministre Élizabeth Borne et les principaux cadres de sa majorité à l'Assemblée Nationale pour une réunion avant, demain, la dixième journée de mobilisation contre la réforme des retraites. Selon une information de BFMTV, il accuse La France Insoumise (LFI) de vouloir "délégitimer" les institutions.

  • Au moins 15 % de stations touchées par des pénurie de carburants

    Plus de 15% des stations-service de France sont lundi à court d'essence ou de gazole, la pénurie étant plus prononcée dans l'ouest du pays, à la suite des mobilisations dans les raffineries pour protester contre la réforme des retraites.

    Le département le plus touché reste la Loire-Atlantique (55,06% des stations en pénurie d'au moins un carburant), selon des données du site gouvernemental des prix des carburants, analysées par l'AFP.

    D'autres départements à l'ouest sont également très affectés (Mayenne, Ille-et-Vilaine, Maine-et-Loire, tous au-dessus de 40% de stations en pénurie), et le Sud reste lui aussi fortement touché (Bouches-du-Rhône au-dessus de 40%, plusieurs autres départements à plus de 30%).

  • L'intersyndicale a envoyé son courrier et ses arguments au Conseil constitutionnel

    Comme annoncé la semaine dernière par l'intersyndicale, les syndicats ont, ce lundi, «adressé un courrier et des argumentaires au Conseil constitutionnel expliquant pourquoi cette loi est contraire à la Constitution», indique Force ouvrière (FO) dans un communiqué.

    «Conjointement aux différentes actions et mobilisations qui se poursuivent dans tous les secteurs professionnels du pays, l'intersyndicale se saisit des armes juridiques à sa disposition pour s'opposer à la réforme des retraites», ajoute FO. Après avoir été adoptée via un 49.3 à l'Assemblée, la réforme des retraites va désormais passer entre les mains du Conseil constitutionnel, qui doit statuer sur la conformité du projet de loi avec la Constitution.

  • Le renseignement territorial anticipe un bond de la participation des jeunes

    D'après BFMTV, "le renseignement territorial anticipe une importante présence des jeunes dans les cortèges des manifestations de mardi. Leur participation, estimée à 30 000 personnes le 23 mars, pourrait tripler, selon une note du renseignement territorial".
  • "Notre détermination doit s’amplifier toujours", déclare Jean-Hugues Ratenon

    À la veille de cette 10ème journée de mobilisation contre la retraite à 64 ans, le député Jean-Hugues Ratenon renouvelle son soutien à l’intersyndicale et à tous les manifestants dans la lutte.

    "Notre détermination doit s’amplifier toujours et encore plus jusqu’au retrait pur et simple de ce texte injuste et injustifié.

    Le mépris et l’arrogance de Macron doivent être sanctionnés par la rue. Sa méthode de gouverner est anti-démocratique. Par ailleurs, devant la répression du mouvement social, notre groupe LFI-NUPES va transmettre dans les prochaines semaines un rapport détaillé sur cette répression au Comité des droits de l’Homme des Nations Unies, compétent pour superviser l’application du Pacte international relatifs aux droits civils et politiques par les Etats membres. Face à autant de coups de forces, la voix du peuple doit s’imposer.

    Aussi, j’appelle la population à descendre dans la rue avec l’intersyndicale pour dire NON aux attaques à venir contre les plus pauvres, NON à la réforme des retraites."

  • Civis : pas de transport scolaire pour les écoles primaires

    Dans un communiqué, la Civis informe "que les services de transport scolaire ne pourront être assurés sur les 6 communes membres, pour les écoles du premier degré (maternelles et élémentaires)". Cependant, "pour les collèges et lycées, les services de transport scolaire sont maintenus avec des risques de perturbation", les parents sont appelés à prendre leurs dispositions.
  • 650.000 à 900.000 manifestants attendus demain

    Selon une note du renseignement territorial , entre 650.000 à 900.000 personnes sont attendues dans la rue, dont 70.000 à 100.000 manifestants à Paris.

    Les renseignements notent par ailleurs une participation double, voire triple des jeunes par rapport à la précédente manifestation, qui avait déjà vu une hausse de la mobilisation de ce public. Des blocages d'établissements tôt le matin sont à prévoir.

    Par ailleurs, les syndicats auraient alerté sur "une radicalisation de certains de leurs adhérents qui sont tentés de rejoindre certains mouvements citoyens ou groupes radicalisés." Des blocages dès 05h du matin et jusqu'au soir sont également prévus pour "épuiser les forces de l'ordre".

  • Des perturbations dans les écoles à Saint-Denis et Saint-Pierre

    Face aux mouvements de grève prévu à Saint-Denis et Saint-Pierre mardi 28 mars 2023, les deux communes ont indiqué qu'il y aurait de fait, "un fort risque de perturbations dans le fonctionnement des écoles".

    "L’accueil, la restauration scolaire ainsi que la surveillance méridienne" seront également soumis à de fortes perturbations. Les deux communes invitent donc les parents à prendre leurs dispositions.

  • «La loi sur les retraites est derrière nous», martèle Véran

    Le gouvernement souhaite tourner la page de la réforme des retraites. Sur BFMTV, lundi matin, le porte-parole de l'exécutif a souligné que «la loi sur les retraites est derrière nous».

    «On attend la validation par le Conseil constitutionnel [...]. On peut nous reprocher plein de trucs, mais pas de ne pas respecter nos institutions», a déclaré Olivier Véran. La majorité souhaite désormais renouer le dialogue avec les syndicats, estimant que le désaccord sur les retraites ne devait pas «empêcher de parler de tout ce qui importe dans la vie des Français, dans leur quotidien».

  • Pour la députée EELV Sandrine Rousseau, Emmanuel Macron et Gérald Darmanin « cherchent l’incident »

    La députée écologiste a accusé lundi le président de la République et le ministre de l’intérieur d’« aller chercher l’incident » en déployant « une débauche de moyens » pour contrer les violences dans les manifestations, qu’elle a par ailleurs condamnées. « Je condamne toutes les violences, mais là il y a une responsabilité dans le maintien de l’ordre (…), il y a une responsabilité du pouvoir politique », a estimé Sandrine Rousseau, interrogée sur Public Sénat, deux jours après les affrontements très violents qui ont opposé manifestants et forces de l’ordre à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres.

    Sandrine Rousseau a appelé Gérald Darmanin à dénoncer « la violence de ses forces de l’ordre plutôt que de dire que c’est de “la fatigue d’individus isolés” », et à dissoudre les BRAV-M, l’unité de policiers circulant à moto mise en cause dans ces violences.

  • Mobilisation au Musée du Louvre

    La CGT-Culture revendique, ce lundi matin, dans un communiqué, le blocage du Musée du Louvre et sa fermeture depuis 9 heures ce matin, « à l’initiative de l’intersyndicale des personnels du musée ».

    « Cette initiative s’inscrit dans la poursuite de la mobilisation de l’intersyndicale Culture pour exiger le retrait de la réforme des retraites », peut-on lire dans ce communiqué.

  • L'université Paris-Dauphine bloquée

    Le site de l'université Paris-Dauphine est ce matin bloqué dans le cadre des contestations contre la réforme des retraites.

  • Contre la réforme des retraites : manifestations à Saint-Denis et Saint-Pierre ce mardi

    À La Réunion, deux mobilisations sont prévues ce mardi 28 mars.

    La première partira de Saint-Denis au Jardin de l’État ce mardi, dès 9 heures. Le défilé descendra la rue de Paris avant de prendre le chemin de la rue Labourdonnais, la rue Jean Châtel avant de se rendre vers le Barachois.

    À Saint-Pierre, rendez-vous est donné dès 5h30 au rond-point de Pierrefonds pour une opération escargot en direction du boulevard Bank. À 9 heures, un cortège se rendra jusqu’au front de mer.

  • "Le climat est dangereux, raison de plus pour mettre sur pause", déclare Laurent Berger

    Le secrétaire général de la CFDT s'est inquiété que "les actions violentes de quelques-uns", qu'il condamne, ne fassent de l'ombre à la contestation sociale contre la réforme des retraites, menée depuis maintenant deux mois. "Si vous prenez la manifestation de jeudi dernier, c'est la 2e plus grande manifestation depuis le début du mouvement social. On a vu trop les images de gens qui cassaient que des images qui de gens qui manifestaient partout en France. Le climat est dangereux, raison de plus pour mettre sur pause", a insisté Laurent Berger sur France 2.

    Il s'est étonné par ailleurs des appels de la part du gouvernement à discuter après plusieurs mois sans échange. "Il faut que le gouvernement dise : 'les 64 ans ne s'appliqueront pas' et on rediscute des retraites et du travail", juge le responsable syndical, qui souhaite une "issue à ce mouvement social". "Je pense qu'on est dans un mouvement de crispation total", s'est-il inquiété.

  • Élisabeth Borne ne veut plus recourir au 49.3 en dehors des textes budgétaires

    Le gouvernement essaie de calmer les esprits, attisés par le recours au 49.3 pour faire adopter la réforme des retraites, en donnant des gages… sur le 49.3.

    «L'objectif que je fixe pour l'avenir, c'est pas de 49.3 en dehors des textes financiers», a affirmé Élisabeth Borne dimanche, dans un entretien à l'AFP.

  • Une pétition pour dissoudre la Brav-M publiée sur la plateforme citoyenne de l'Assemblée nationale

    Une pétition pour la dissolution de cette unité a été publiée jeudi sur la plateforme de pétitions à l'Assemblée nationale. À ce jour, 60.551 signatures ont déjà été récoltées.

    Il en faudra 500.000 pour que la pétition soit débattue dans l'hémicycle.

    Ce dimanche, des membres du collectif "Stop GAV Arbitraires" se sont rassemblés devant l'Hôtel de ville de Paris pour demander la dissolution de l'unité.

    https://twitter.com/afpfr/status/1640297714888896513

  • Le dépôt de camions-bennes d'Aubervilliers bloqué

    Dans le nord de Paris, des manifestants tentent de bloquer l'incinérateur d'Aubervilliers d'où partent des camions-bennes réquisitionnés pour ramasser les ordures dans la capitale. Des forces de l'ordre sont présents sur place.

     

  • L’IGPN saisie de 17 enquêtes

    Plusieurs questions entourent la journée d’action de mardi. S’inscrira-t-elle dans le sillage de la précédente, marquée par un rebond de la mobilisation, avec entre 1,09 million (Beauvau) et 3,5 millions (CGT) de participants ?

    Le Conseil de l’Europe s’est alarmé d’un “usage excessif de la force” et les critiques se concentrent sur la BRAV-M, unité à moto chargée du maintien de l’ordre dans la capitale et dont la dissolution n’est “pas à l’ordre du jour”, selon le préfet de police Laurent Nuñez.

    Au total, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie de 17 enquêtes judiciaires depuis la première journée nationale de mobilisation contre la réforme des retraites en janvier, a indiqué dimanche sa directrice.

  • Borne tend la main aux syndicats avant un 10e round dans la rue mardi

    A l’orée d’une dixième journée de manifestations mardi contre la réforme des retraites, la Première ministre Elisabeth Borne a tendu dimanche la main aux syndicats et aux partis politiques afin de “mettre de l’apaisement” et tenter de conjurer un climat délétère et violent.

    “Je suis à la disposition des partenaires sociaux. Il faut qu’on trouve le bon chemin: est-ce que ce sont des rencontres bilatérales, une intersyndicale ? Il faut qu’on mette de l’apaisement. Et que l’on puisse reprendre le travail sur tous ces chantiers” de la pénibilité, des reconversions professionnelles etc., a affirmé la Première ministre dans un entretien à l’AFP.

    La cheffe du gouvernement a prévu dans son agenda un créneau pour recevoir éventuellement les organisations syndicales et les organisations patronales dans la semaine du 10 avril.

    Elle recevra dans la semaine du 3 avril les groupes parlementaires et les partis politiques, y compris ceux de l’opposition, ainsi que les représentants des collectivités, dans le but “d’apaiser le pays” et de “dialoguer avec tous les acteurs sur la méthode qu’on veut mettre en place”.

    Lire l'article ici.
  • Bonjour à toutes et à tous!

    Bonjour zot tout. Bienvenue sur ce direct consacré au suivi de l'actualité liée à la réforme des retraites ce lundi 27 mars, à la veille d'une 10e journée nationale de mobilisation intersyndicale.

    "La Première ministre va présenter au président la feuille de route des consultations qu’elle compte mener puis elle le fera aux chefs de la majorité et à des ministres au déjeuner à l’Élysée", a précisé la présidence. "Elle répond ainsi à la demande du Président cette semaine qui lui a confié le mandat d’élargir la majorité", a-t-elle ajouté.

À propos

Inflexible sur le fond de la réforme, qui recule notamment l'âge de départ de 62 à 64 ans, Emmanuel Macron n'a toujours pas trouvé les clés pour éteindre la colère de la rue.

Le chef de l'Etat et ses ministres ont pourtant répété à l'envi leur souhait d'aplanir la situation, à l'image d'Elisabeth Borne dimanche soir.

"Il y a de la tension forcément en lien avec la réforme. Il faut être à l’écoute de cela", a-t-elle reconnu auprès de l'AFP. La Première ministre s'est ainsi fixé deux objectifs: "apaiser le pays face à ces tensions et accélérer les réponses aux attentes des Français."

Pour ce faire, Mme Borne va ouvrir lundi une vaste séquence de consultations étalées sur trois semaines, avec les parlementaires, les partis politiques, les représentants d'élus locaux et les partenaires sociaux s'ils le souhaitent. Ce "plan d'action" sera d'abord détaillé à midi à Emmanuel Macron, puis, toujours à l'Elysée, aux cadres de la majorité, parmi lesquels les patrons de groupes parlementaires, les chefs de partis et quelques membres de gouvernement.

La Première ministre doit aussi rencontrer dans l'après-midi les présidents de commission à l'Assemblée, puis enchaînera mardi avec les présidents du Sénat Gérard Larcher et de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet. En jeu: esquisser un "programme législatif" de textes en s'assurant de bâtir dessus "des majorités en amont" et ainsi éviter le recours à un nouveau 49.3.

- Une mobilisation crescendo ? -

"A-t-on besoin d'apaisement? Evidemment et il y a une manière très simple de l'obtenir, c'est de retirer le texte", a de son côté estimé l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon, en appelant aussi au départ de Mme Borne.

Aux syndicats, qui demandent le retrait ou, tout du moins, la suspension de la réforme, Mme Borne propose de "reprendre le travail" sur différents chantiers, de la pénibilité à l'emploi des seniors, en passant par les reconversions.

Cela suffira-t-il à les amadouer, alors que le patron de la CFDT Laurent Berger fustigeait encore ce week-end dans un entretien à la revue Le Grand continent "l’absence de dialogue, l’injustice de la mesure et l’incompréhension d'une mobilisation sociale de ces deux mois et demi" ?

Jusqu'au matin de la précédente journée d'action jeudi dernier, l'exécutif tablait sur une décrue de la contestation, à l'image de ce ministre de premier plan: "le scénario le plus probable est que le Conseil constitutionnel valide le texte et la grogne sociale se calme". La mobilisation s'en est finalement allée crescendo, entre 1,09 million (Beauvau) et 3,5 millions (CGT) de participants.

Ce rebond s'est aussi accompagné de violences en marge des cortèges, avec 457 interpellations et 441 policiers et gendarmes blessés, dans un climat général électrique. Le terrain des affrontements s'est déplacé samedi à Sainte-Soline dans les Deux-Sèvres, où une manifestation contre les bassines a fait des dizaines de blessés du côté des forces de l'ordre comme des manifestants, avec un membre du cortège entre la vie et la mort dimanche.

- L'IGPN saisie -

La polémique enfle aussi autour d'un "usage excessif de la force", selon les mots du Conseil de l'Europe. Au total, l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été saisie de 17 enquêtes judiciaires depuis la première journée nationale de mobilisation contre la réforme des retraites en janvier, a indiqué dimanche sa directrice.

Samedi, les défilés qui ont réuni quelques centaines de personnes dans plusieurs villes n'ont pas donné lieu à des débordements majeurs, et les regards seront braqués sur ceux de mardi, avec notamment un cortège parisien qui défilera de la place de la République à Nation.

Sur le terrain en Ile-de-France, le trafic des RER s'annonce "très perturbé" mardi, avec un train sur deux sur les lignes A et B, selon la RATP. Dans le métro, les fréquences de passage seront réduites sur la plupart des lignes, dont certaines fermeront plus tôt que d'habitude. Les prévisions de circulation à la SNCF seront connues lundi.

Dans la capitale, où des éboueurs sont en grève depuis plus de 20 jours, le volume de déchets non ramassés était en baisse dimanche avec 7.828 tonnes toujours en souffrance.

Et la Direction générale de l'aviation civile a aussi demandé aux compagnies d'annuler 20% de leurs vols à Paris-Orly, Marseille, Toulouse et Bordeaux mardi et mercredi.

© AFP
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2 Commentaires
HULK
HULK
2 ans

Ben voyons. VÉRAN,le menteur patenté, il voudrait bien que çà se passe comme çà. Il faut absolument lui montrer que, comme d'habitude, il raconte n'importe quoi.La loi elle n'est pas encore promulguée et pas encore appliquée. Il y a encore du chemin à faire semé d'embûches.

Pas d'autre choix !
Pas d'autre choix !
2 ans

1 seule voie : RETRAIT !