Santé

Cancer du col de l'utérus : des risques liés aux vaccins

  • Publié le 18 juillet 2015 à 17:00

L'Agence européenne du médicament (EMA) se penche actuellement sur certains risques sanitaires associés aux vaccins contre le papillomavirus humain (anti-HPV) qui lutte contre les cancers du col de l'utérus. Ces vaccins sont contestés par certains, en France notamment, a-t-elle annoncé en juillet 2015.

"L’Agence européenne du médicament a engagé l'examen des vaccins anti-HPV pour clarifier à nouveau leur profil en matière de risque", a indiqué l’EMA basée à Londres via un communiqué. Cet examen engagé à la demande du Danemark se concentrera sur la survenue de deux syndromes spécifiques et "rares". Ainsi sont concernés le syndrome douloureux régional complexe (SDRC) et le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP).

Le SRDC s'exprime par des douleurs chroniques touchant les membres tandis que le STOP est caractérisé par une augmentation du rythme cardiaque lors d'un changement de position du corps. A cela, peut être associés des vertiges, évanouissements, maux de tête ou faiblesse, indique le site. Les deux syndromes avaient déjà été rapportés par le passé chez des jeunes femmes vaccinées avec les anti-HPV mais "aucun lien causal avec les vaccins n'a pu être établi" affirme l'EMA. Ces syndromes peuvent d'ailleurs apparaître chez des personnes non vaccinées. " Il sera primordial pour cette étude de déterminer si les cas sont plus importants ou non parmi les femmes ayant reçu des vaccins anti-HPV ", note Le Parisien.

Après analyse des résultats, l'EMA décidera ou non de modifier l'information sur ces produits mais selon le site, l'agence souligne d'ores et déjà que son "examen ne remet pas en cause les bénéfices" de ces vaccins déjà administrés à 72 millions de personnes dans le monde pour stopper la transmission par voie sexuelle du papillomavirus. Un virus à l'origine de lésions précancéreuses pouvant évoluer au fil des années en cancer du col de l'utérus, du canal anal ou de la gorge.

La plupart des pays recommandent actuellement la vaccination des jeunes filles âgées de 9 à 12 ans soit avant leur première relation sexuelle. Dans l’Héxagone, "des plaintes avaient été déposées en 2014 contre Sanofi Pasteur MSD accusant son vaccin anti-HPV d'être à l'origine de maladies auto-immunes, en particulier la sclérose en plaques (SEP), parmi les jeunes filles vaccinées".

Pour rappel, sur l'île, le médecin et président de l'association Med'Océan, Philippe de Chazournes avait adressé une lettre au président de la république en 2014. Ce dernier mettait en garde de la généralisation de la vaccination contre le cancer du col de l'utérus. Une mesure qui figurait dans le nouveau plan cancer du gouvernement. Le médecin réunionnais estimait à l'époque qu'il y avait trop d'incertitudes autour de ces vaccins et notamment celui du Gardasil.

www.ipreunion.com

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2 Commentaires
FOX
FOX
9 ans

Je ne suis NULLEMENT surpris par ce genre d articles !......Ceux qui sont à l origine de ces nombreux vaccins .....miracles, sont des assassins, car ils savent très bien ce qu ils font....ça reste au stade de l expérimentation......et les humains restent leur meilleurs cobayes !.......arrètez de mentir , de tromper les gens !.....OUI j accuse......vous ètes des assassins...et comme dab, IP.....qui me parait ètre un organe de presse.....muselé......va encore me muselé.....libre à vous......bientot si vous continuez à pratiquer la censure.....EUH NON rien pour l instant....

les socialauds champions de la trahison
les socialauds champions de la trahison
9 ans

Du temps ou elle etait deputé Marisol Touraine s'etait engagée contre les vaccins à l'aluminium et depuis qu'elle est ministre plus rien. Dernierement mon medecin m'a prescrit un rappel Dt-polio. apres verfication de la presence d'aluminium j'ai mis l'ordonnance à la poubelle et imprimé la petition pour la prochaine visite chez mon medecin referant.