BONSOIR LA RÉUNION - À la une de ce mardi soir 26 novembre 2024 : - Les Avirons : le père tue ses deux filles de 4 ans et 7 ans et se donne la mort, la mère en état de choc - VIH, IST : des dépistages plus fréquents mais des diagnostics posés encore tardivement - EDF au Port : fin de la grève, un accord trouvé entre la direction et les salariés - Procès des viols de Mazan : 12 ans de prison requis contre l'accusé originaire de La Réunion
Les corps sans vie de deux petites filles de 4 et 7 ans et d'un adulte ont été découverts dans une résidence des Avirons ce mardi matin 26 novembre 2024. Selon le parquet, les premières constatations permettent d’envisager un double meurtre suivi du suicide du père de famille. Les autopsies des corps seront réalisées dans les prochains jours et permettront de préciser les causes exactes des décès. C'est la mère qui a alerté les gendarmes après avoir reçu des messages inquiétants de la part du père. Elle a ensuite été hospitalisée en état de choc. Le couple était en train de se séparer.
VIH, IST : des dépistages plus fréquents mais des diagnostics posés encore tardivement
À La Réunion, les dépistages du VIH comme des IST sont toujours plus fréquents et diagnostiquées qu’en France hexagonale. Ce constat s’accompagne toutefois d’une tendance à la hausse des découvertes de SIDA, signe que certains diagnostics sont encore posés tardivement, malgré l’amélioration globale de l’accès au dépistage. Concernant le VIH, le dépistage est de 123,6/1 000 personnes. Le taux de dépistage étant plus élevé chez les femmes que les hommes, sauf chez les 50 ans et plus.
EDF au Port : fin de la grève, un accord trouvé entre la direction et les salariés
Ce mardi 26 novembre 2024 et après huit jours de mobilisation, la grève vient de se terminer à la centrale EDF du Port. Après une dernière réunion de négociation, les salariés et la direction sont parvenus à un accord. Il n'y aura donc pas de réunion avec la préfecture ce mardi soir.
Procès des viols de Mazan : 12 ans de prison requis contre l'accusé originaire de La Réunion
Après avoir réclamé lundi la peine maximale de 20 ans de réclusion à l'encontre de Dominique Pelicot et des sanctions sévères contre 20 de ses coaccusés, l'accusation a poursuivi ses réquisitions mardi matin au procès des viols de Mazan, réclamant à chaque fois entre 12 et 14 ans de prison. Une peine de 12 ans de prison a été requise contre l'accusé originaire de La Réunion.