À la suite du passage du cyclone Garance et des dommages causés sur les constructions, le préfet de La Réunion a demandé un diagnostic des dégâts occasionnés sur le bâti à l’échelle de tout le département. (Photo photo Sly/www.imazpress.com)
La direction de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DEAL) a été chargée de la mise en place d’un groupe de travail rassemblant le conseil de l’ordre des architectes de La Réunion et Mayotte (COARM), le conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement (CAUE) de La Réunion et le centre scientifique technique du bâtiment (CSTB).
Pour ce faire, des travaux sont menés en parallèle :
- Un état des lieux des bâtiments publics et du parc des bailleurs sociaux, puis de l’ensemble des dégâts sur les bâtiments de La Réunion. Pour cela le CSTB se basera sur le croisement de données issues de vues satellitaires, aériennes et proches.
- Une analyse technique des causes probables des dégâts : à cette fin, une dizaine d’architectes du COARM et du CAUE sillonnent le Nord et l’Est du département pour, avec l’appui technique du CSTB, comprendre les raisons techniques pour lesquelles les bâtiments n’ont pas résisté.
Ce diagnostic technique vise à alimenter les études en cours et les guides de recommandations sur l’entretien des bâtiments et sur les modes et normes de construction pour les adapter à la réalité des cyclones à La Réunion, dans un contexte global où le dérèglement climatique implique que des phénomènes météo de l’ampleur de Garance et Belal, affectent de manière plus fréquente La Réunion dans les années à venir.
C'est pas au CAUE, à l'ordre des architectes et au CSTB qu'il faut confier une telle mission mais à l'AQC, aux assureurs dommages qui indemnisent les dégâts et a leurs experts et aux experts judiciaires du secteur de la construction qui ont les informations sur les causes des désordres.
Ceux qui vont assurer cette mission ne sont pas capables d'assurer celle ci de manière efficace car ils ne sont jamais au contact des désordres.
Qu'on commence par SIDR Marjonaines à ste clotilde :
- peu entretenu
- 6 voitures ventouse dans chaque parking
- 5 voitures en réparations sur espace publique
- dégâts non réparés (vitre)
- travaux réhabilitation pas terminés dans certains logements
- etc etc