Appels à projets

La Réunion veut lutter contre la racisme, l’antisémitisme, la haine anti-LGBT et pour la fraternité

  • Publié le 5 décembre 2024 à 15:34
  • Actualisé le 5 décembre 2024 à 16:56

Sous l'égide de la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH), le préfet de La Réunion lance l’appel à projets régional pour 2025, "Contre le racisme, l’antisémitisme, les discriminations liées à l’origine et la haine anti-LGBT+". Les candidatures sont à déposer jusqu’au 19 janvier 2025. Nous publions ci-dessous le communiqué de la préfecture. (Photo photo RB/www.imazpress.com)

Dans la continuité de la précédente édition, l’appel à projets est entièrement déconcentré et a pour objectifs de soutenir les actions d’éducation, de prévention, de formation et d’aide aux victimes, ainsi que celles relatives à la communication et à l’organisation d’événements en lien avec la lutte contre le racisme et l’antisémitisme, les discriminations liées à l’origine, ainsi que la lutte contre la haine anti-LGBT+.

Cet appel à projets vise à accompagner les porteurs de projets pour des actions qui s’inscrivent dans le cadre du plan national de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations liées à l’origine 2023-2026, d’une part, et le plan national pour l’égalité, contre la haine et les discriminations anti-LGBT+ 2023-2026, d’autre part.

Les dossiers de demande de subventions devront être déposés uniquement par voie électronique à l’adresse suivante : [email protected] au plus tard le 19 janvier 2025 inclus.

Le cahier des charges de l’appel à projets, ainsi que le dossier de demande de subvention sont à télécharger sur le site de la préfecture de La Réunion à l’adresse suivante : https://www.reunion.gouv.fr/Publications/Appels-a-projets/Lancement-de-l-appel-a-projets-DILCRAH-2025

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1 Commentaires
kalou
kalou
3 mois

Le monde est secoué par des secousses géopolitiques , économiques et sociétales de haute intensité.
La priorité des politiques est de s'occuper du bien-être des minorités sexuelles comptant pour moins de 1 % de la population.
Il serait plus judicieux de s'occuper du bien-être de 99% de la population et de s'orienter sur autre chose que les préférences sexuelles qui apparaissent dans le contexte actuel comme étant complètement hors-sujet.