Mercredi 23 septembre 2015, la population du quartier des Lataniers s'est trouvée réunie à l'école du secteur en présence du maire de La Possession, des administratifs de la ville, des services de l'Etat et de la Préfecture, sur le thème du PPR (plan de protection des risques " inondation, mouvements de terrain et aléas côtiers ").
A la question " quels risques encourent le village des Lataniers et les falaises en cas de tirs d’explosifs si la carrière des Lataniers est exploitée ? ", Vanessa Miranville explique que des engagements sur l’ouverture et l’exploitation de la carrière voisine ont été pris par l’ancienne municipalité de Roland Robert en 2013. Une convention signée à l’époque induirait, parait-il, un remboursement de fortes sommes à la Région en cas de dénonciation…
Alors… qu’en est-il réellement ? Et bien, il suffit de relire ce document signé en 2013 pour découvrir qu’il n’y est absolument pas question de l’exploitation de la carrière ! Il n’y est d’ailleurs pas non plus question que l’accord de la municipalité sur cette exploitation aurait été acquis en échange de travaux sur la commune financés par la Région !
Maintenant, quid de la question quant aux risques encourus ? Personne, n’a pu y répondre ! Se soucierait-on davantage d’un pseudo-accord avec la Région que de la protection du patrimoine possessionnais ?
Il a aussi été question du manque de moyen de la commune en citant l’exemple de l’école Raymond-Mondon. C’est ici que je dois rappeler, à titre d’exemple, le contenu du rapport d’un bureau d’études mandaté par la mairie pour analyser les fissures actuelles de l’école. Ce serait une fuite d’eau qui aurait provoqué des variations du niveau de l’eau dans le sous-sol entraînant ainsi tous ces dégâts dans les murs des bâtiments (l’école Raymond-Mondon et tout le périmètre du Camp Magloire reposeraient sur une nappe phréatique).
Alors… si de simples variations du niveau de l’eau dans le sous-sol provoquent de telles fissures, que se passera-t-il en cas d’exploitation de la carrière ?Les vibrations souterraines occasionnées auront, croyez-moi, des conséquences bien au-delà de simples fissures dans les bâtiments ! Alors, s’il faut évidemment respecter le PPR (plan de protection des risques) et limiter les dégâts qui pourraient éventuellement être occasionnés et survenir un jour, je pense qu’il est tout aussi urgent de se préoccuper, dès aujourd’hui, des risques, de mise en danger d’une partie de la population par l’exploitation de la carrière des Lataniers.
La municipalité doit donc impérativement faire délibérer le Conseil municipal et donner un avis défavorable à cette exploitation.
La Rivière qui s'exprime, laisse couler!
Pour moi cette dame n'est qu'un frein à toute évolution.
Ce que je sais c que les tirs de mines fragilisé la roche et donc oui il peut y avoir un risque pour les habitants des lataniers. D'où le besoin soudain de déplacer ces populations rapidement. Mais le pire c'est que miranville avait promis kil n'y aurai pas de carrière tant qu'elle serait maire...une promesse de plus?
mi pé di a zot in nafére ?
mercredi 30 septembre dans l'ordre du jour conseil municipal na poin rien i concerne la ravine lataniers , ni carriere , ni zabitant . rien rien !
lé entrin roule a zot !
a chaque fois que cette personne écrit une tribune c'est qu'une élection va avoir lieu et elle est entrain de trouver une bonne place éligible pour elle meme ou un membre de sa famille .ou est passer (supprimé pour prise à partie - webmaster ipreunion.com et j'en passe ?
je serais au conseil municipale ce mercredi 30 septembre pour manifester mon mécontentement