Aujourd'hui, le 4 mars 2024, un chapitre essentiel dans l'histoire des droits des femmes en France a été écrit. La sacralisation de l'IVG dans la Constitution marque un tournant décisif dans la lutte pour l'égalité entre les sexes. C'est une avancée historique, un pas significatif vers l'émancipation des femmes et la reconnaissance de leur droit fondamental de disposer de leur corps.
Cet acte symbolique, qui intervient 80 ans après l'obtention du droit de vote des femmes, témoigne de l'engagement incessant des individus et des associations qui se sont dévoués corps et âme pour cette cause. Une reconnaissance rendue à ces femmes « debout » qui nous ont montré le chemin : Olympes de Gouges, Simone de Beauvoir, Gisèle Halimi, Simone Veil. Leur détermination et leur persévérance ont finalement porté leurs fruits, renforçant ainsi le socle des droits fondamentaux et des libertés individuelles en France.
Dans un contexte mondial où les droits des femmes sont souvent remis en question et où des reculs alarmants sont constatés dans de nombreux pays, il est réconfortant de voir la France prendre l'initiative et servir de modèle en matière de protection des droits reproductifs des femmes. Ce geste exemplaire envoie un message fort non seulement à la population française, mais aussi à la communauté internationale, affirmant que les droits des femmes ne doivent jamais être compromis ni sacrifiés.
Bien que cette victoire soit significative, il reste encore beaucoup de travail à accomplir. Cependant, le vote d'aujourd'hui est un signe prometteur pour l'avenir et une source d'inspiration pour les générations futures. Ensemble, continuons à œuvrer pour un monde où l'égalité des sexes est une réalité incontestée et où chaque individu, quel que soit son genre, peut exercer ses droits en toute liberté et dignité. Leur détermination et leur persévérance ont finalement porté leurs fruits, renforçant ainsi le socle des droits fondamentaux et des libertés individuelles en France.
Monique ORPHÉ
Ancienne Parlementaire Ancienne vice-présidente de la commission des droits des femmes
Membre fondateur de l’association OSONS RE-AGIR
Mr où Mme kinté avant de critiquer ce que dit ou fait l’élu qui a porté bon nombre d’actions ! Essayez de marché dans ses pas, de faire autant qu’elle fait, de continuez à se battre sur toutes les inégalités et ne rien lâcher…
Là vous pourrez éventuellement critiquer.
En attendant vous avez fait quoi qui puisse faire bouger les choses Mr où Mme Kinté?
Où êtes vous nommé pour vos actions ?
La critique est si facile.
Vos actions Mr où Mme Kinté sont inexistants.
Cordialement avec tout le respect que j’ai pour moi et pour les personnes respectueuses.
Tata monique se met à écrire un zistoir, un grand moment, une découverte ...
Demande à tata monique de relire l'article 1 de la loi veil, sur l'avortement de 1974 ...
Semble t-il, il n'y avait pas besoin tout ce cinéma RIO, rue Mal Leclerc ...
Chaque femme est propriétaire de son corps, libre à elle de décider ...
A quand tata monique se pencherait sur l'insécurité sur la commune de sin dni, en particulier le Chaudron ?
Elue conseillère départementale, le canton 9 (Saint Denis 1) a disparu de l'écran radar ...
Tata monique se vante d'ête un socialiste K' viar !!!!