François Asselineau, président de l'UPR (Union populaire républicaine), débute ce samedi 20 juin 2015 une visite de neuf jours à La Réunion et Mayotte. L'homme politique - qui a vécu à La Réunion dans les années 80 - animera dans l'océan Indien une série de conférences autour de l'Europe et des formations politiques. L'occasion également de présenter son parti qui sera présent aux prochaines élections régionales.
Quelle est la raison de votre visite dans l'océan Indien ?
Je passe neuf jours à La Réunion et Mayotte, ce qui témoigne de l'intérêt que je porte à ce voyage. J'ai horreur de traiter les gens par-dessus la jambe et de faire des voyages superficiels. L'objet de cette visite est de donner un maximum d'informations aux gens qui voudront bien m'écouter sur les problèmes de l'île de La Réunion qui en fait sont l'illustration des problèmes que rencontre la France plus généralement. Nous voulons également dynamiser notre parti au niveau local : nous avons plus de 60 adhérents à La Réunion et 5 à Mayotte, j'aimerais bien que ce voyage permette de doper ces structures. Enfin, nous allons présenter en décembre une liste aux élections régionales, et cela permet un maximum de dynamique dès le début.
Vous voulez "libérer la France" en sortant de l'Union européenne et de l'OTAN. En quoi cette thématique concerne La Réunion qui est à 10 000 kilomètres de Bruxelles ?
C'est la même chose en France. Les gens ne s'intéressent pas - ou ne s'intéressaient pas - aux questions européennes. Quand vous parlez d'Europe, au bout de deux minutes les gens disent qu'ils s'ennuient. Mais pour la première fois de l'histoire, nous avons une dictature qui ne dit pas son nom et s'impose justement par l'ennui et la complexité. C'est tellement ennuyeux et complexe que les gens ne veulent pas s'en préoccuper : c'est là où est le piège.
Comment comptez-vous convaincre les Réunionnais ?
Je viens parler aux Réunionnais car la situation de l'emploi, la désindustrialisation et l'avenir très compromis de la filière canne… Tout cela découle directement de notre appartenance à l'Union européenne et à la zone euro. L'euro est beaucoup trop élevé pour l'économie française et réunionnaise. La liberté totale de circulation des capitaux et des marchandises fait que la filière canne à sucre risque d'être démantelée. Régulièrement la commission européenne demande le démantèlement de l'octroi de mer. Si on ne fait rien, La Réunion aura dans 30 ans un taux de chômage de 60 % et les gens qui auront un emploi travailleront pour un "île-musée". Il y aura un musée de la canne à sucre, un musée du rhum, un musée du géranium et un musée de la vanille. Ce sera peut-être une destination touristique avec des gens qui pourront en vivre, mais le gros de la population ne pourra pas en vivre. Ce n'est pas désirable de devenir un musée. Nous voulons que la France et La Réunion soient vivantes.
Par exemple, en quoi la sortie de l'Union européenne pourrait régler le problème de la filière canne qui sera soumise au marché mondial ?
Comme cela a été le cas auparavant : avec le protectionnisme. Qu'est-ce que l'octoi de mer sinon du protectionnisme ? Le protectionnisme a mauvaise presse parce que de très grands conglomérats financiers tiennent les très grands médias nationaux. Un peu de protection, c'est bien. Evidemment, il ne faut pas totalement être fermé sur le monde. Ça n'a jamais été notre programme. Mais avoir une protection qui permette de préserver le niveau de vie des Réunionnais par rapport à l'environnement régional immédiat, c'est absolument indispensable. Sinon, on aura une augmentation du chômage et un appauvrissement de la population.
Quelle est votre position quant à la question du droit du sol ? Faut-il le remettre en cause, notamment à Mayotte qui doit faire face à un problème d'immigration clandestine ?
Le problème de Mayotte est un cas tout à fait particulier. Sur les questions d'immigration, notre mouvement politique se réserve le droit de poser la question aux Français directement. Nous n'avons jamais demandé aux Français ce qu'ils veulent. Une fois parvenus au pouvoir, on fera un référendum sur trois grands sujets : l'immigration, la dette publique et les questions énergétiques. Nous voulons qu'il y ait un grand débat national qui sera tranché par les Français. L'immigration est un sujet sur lequel on ne peut pas répondre d'un seul coup d'un seul. Ce sont des drames humains terribles qu'il y a derrière. Les gens quittent leur patrie car ils y sont contraints et forcés par des conditions de vie épouvantables. Nous voulons trouver un traitement humain, sans déstabiliser pour autant la France métropolitaine et Mayotte.
Votre parti sera présent aux élections régionales. Quel est votre objectif à La Réunion ?
Nous nous sommes présentés aux élections européennes de mai 2014 en faisant 1,18 %. Ce n'est pas négligeable compte tenu qu'il y avait 19 listes. Cette fois-ci, pour les régionales, on pense qu'il y aura une douzaine de listes. Il y aura moins de candidatures, donc moins d'éparpillement des voix. Entre temps, notre mouvement grimpe en notoriété et je viens aussi pour le promouvoir. Notre objectif est d'au moins doubler notre score. Peut-être plus, on va voir.
Le programme de François Asselineau à La Réunion :
Samedi 20 juin à Saint-Pierre - "Le Domaine des Pierres" - 60 CD 26 (route de l’Entre-Deux)
- 19h00 à 23h00 : Faut-il avoir peur de sortir de l'euro ?
Dimanche 21 juin à Saint-Denis - à l’hôtel Mercure-Créolia - 14, rue du Stade Montgaillard
- 14h30 à 18h00 : " Qu'arrive-t-il à La France et à La Réunion "
- 19h00 à 23h00 : " Les partis politiques respectent-ils l'intelligence des Français ? "
Lundi 22 juin à Saint-Leu - au Domaine des Lys - 37 avenue des Artisans - Pointe des Châteaux
- 14h00 à 18h00 - Débats et Tables Rondes
- 19h00 à 23h00 -" Qui gouverne la France et l'Union Européenne? "
Mardi 23 juin à Saint-Gilles-les-Bains - à l’hôtel l’Alamanda - 81, avenue de Bourbon
- 19h00 à 23h00 – " Les origines cachées de la construction européenne "
Mercredi 24 juin à Saint-Benoit - restaurant " Le Beauvallon " - rue du Stade - Rivière Des Roches
- 19h00 à 23h00 - " Qu'arrive-t-il à La France et à La Réunion? "
Jeudi 25 juin à Saint-Leu au Domaine des Lys - 37 avenue des Artisans - Pointe des Châteaux
- 14h00 à 18h00 - Débats et Tables Rondes
- 19h00 à 23h00 - " Le jour d'après. "
www.ipreunion.com
Bj comment venir assister à la conférence de Mr Asselineau sur St. Paul ( numéro de téléphone svp)
FN c'est l'extrême droite ça c'est certains
MR et non Mister (laissé la langue à qui de droit) lui a été classé en liste divers, en quoi pouvez-vous arriver à cette conclusion Miss Denise, il faudrait étayer un peu plus comme critiquer sur le programme. Qu'avez-vous contre les 3 propositions de L'UPR que même le FN ne propose pas.
Nous offrons d'ailleurs une caisse de 6 bouteilles de champagne de grand cru, à celui qui nous apportera une promesse de foi ou un prospectus envoyés aux électeurs et où y il serait mention des propositions de L'UPR.
Alors ma très cher Denise soit, vous êtes du malhonnêteté intellectuel affligeante ou bien vous ne connaissez en rien le programme proposé par le FN qui n'est en rien celui de L'UPR. Pourriez-vous argumenter ce en quoi il vous a permis d'en arriver à se raisonnement. Je tiens à vous rappelez aussi que l'on a jamais dit que c'était mieux avant, mais que ceux qui s'en sortent n'appliquent pas les mêmes règles que nous : contrôle des capitaux, taux de change externes, délocalisations, monnaie national, protection du fleurons industriels...etc. Nous sommes les seuls dans le monde a utiliser, au sein de L'UE, des règles que personne d'autres ne s'appliquent à par nous. Alors quand le FN proposera réellement de sortir via l'article 50, alors oui vous pourrez comparez les 2, en attendant Marine et son nouveau groupe européen ne semble pas pressés de nous en faire sortir !
Ayant regarde les conferences videos de UPR je me suis vite apercu que le mister asselineau est tout a fait dans le meme creneau que le Front National c'est a se demander si ce n'est pas simplement un parti leurre pour diminuer le poids du FN.
Les meme themes et la meme demagogie puis le repli c'est a dire la fuite dans le c'etait mieux avant.
Bref, un parti passeiste qui roule pour l'extreme droite nationaliste.
Beurk!
C'est fascinant ce besoin pour certains de vouloir associer L'UPR à l’extrême Droite, ou Soral, le FN, les souverainistes...etc. Alors que son programme présenté en 2012 ( http://www.upr.fr/programme-politique ) a été classer en Liste Divers par le Ministère de l'intérieur et que jamais il est critiqué sur ce même programme.
François Asselineau qui souhaite ouvrir des débats publique avec les autres représentants politique lui est toujours refusé par peur de ne pouvoir le critiquer sur ce programme en dehors de TOUT clivages, puisque la priorité avant tout est de mettre ce débats sur la table !
Il est risible en lisant certains posts de voir toujours les mêmes articles, textes utilisés en permanence comme preuve de la malveillance de François Asselineau, alors que ces débats ont déjà étaient maintes fois argumentés par ses détracteurs qui encore une fois sont incapables de critiquer le fonds de son diagnostique !
L’UPR est par exemple le seul parti politique français :
à noter que le processus de construction d’un ensemble politique continental, doté d’un gouvernement supranational comme l’est la Commission européenne, n’est imité nulle part ailleurs dans le monde, où triomphe tout au contraire le principe d’État-nation,
à relever qu’il n’existe, au vu de toutes les statistiques mondiales disponibles, aucune corrélation entre la taille d’un Etat et le niveau de vie de sa population ; mais qu’il semble, en revanche, en exister une entre le patriotisme et la croissance économique,
à souligner que les entreprises en Europe nouent de plus en plus fréquemment des alliances avec d’autres entreprises à travers le monde, notamment en Asie, pour mieux concurrencer des entreprises d’autres pays européens. Cette tendance lourde de la vie des affaires prouve l’entière fausseté de l’argument qui prétend que la construction européenne serait une nécessité économique et industrielle et qu’elle nous permettrait de bâtir des « champions européens » 1,
à clarifier minutieusement le circuit des prises de décision au sein des instances communautaires, la marginalisation de la France, et le poids considérable qu’y jouent les relais d’influence américains,
à informer nos concitoyens du coût net, de plus en plus considérable, qu’occasionne la construction européenne sur l’économie et les finances publiques françaises,
à démontrer, comparaisons statistiques à l’appui, que la France n’est pas dans la situation financière catastrophique que l’on nous annonce,
à révéler que bien des pays du monde, à commencer par le Japon et les Etats-Unis, ne respectent nullement les critères de Maastricht que l’on nous présente pourtant comme un impératif de bonne gestion économique et financière,
à expliquer que s’il est un pays qui risque la banqueroute, ce sont les États-Unis d’Amérique où tous les acteurs économiques (État fédéral, États fédérés, entreprises et ménages) sont beaucoup plus endettés que leurs homologues français 2.
Très lucide sur les problèmes économiques et sociaux, l’UPR fait bien entendu sienne l’exigence de compétitivité et de dynamisme industriel, scientifique et commercial, comme elle fait également sienne la légitime détermination des Français à garder leur système social et leur conception de la vie en société.
Mais l’UPR affirme qu’aucun des problèmes graves que connaît la France ne peut être durablement résolu si la politique menée ne recueille pas l’assentiment clair et massif des Français. Or un tel assentiment ne peut pas être obtenu de nos concitoyens si le pouvoir qui s’exerce réellement sur eux n’émane pas d’une volonté librement consentie de la nation, dans le cadre de choix authentiquement démocratiques. Car on ne peut pas diriger longtemps la France contre son peuple.
ASSELINEAU, L'ULTRA-DROITE SOUVERAINISTE
Même si son influence reste groupusculaire, François Asselineau est un personnage plutôt bien placé dans la nébuleuse réactionnaire et conspirationniste. Son parcours, ses discours et ses amitiés fleurent bon une droite extrême et réactionnaire : " Il fait ses études à H.E.C. (1980) et l'E.N.A (1985). En 1985 il est inspecteur général à l'inspection générale des Finances. De 1989 à 1990, il est le chef de la mission pour le Crédit National. Il a aussi été le président de la Société pour l'Analyse Économique et Financière (SADEF). Ensuite, il occupa le poste de directeur de cabinet auprès de ministres du gouvernement Juppé (1995-1996), avant de rejoindre en 1999 le R.P.F. de Philippe de Villiers et Charles Pasqua. Entre 2000 et 2004, il occupe des postes importants de conseillers aux côtés de Pasqua, alors président du Conseil Général des Hauts-de-Seine. Toujours avec le même, alors allié à Jean Tibéri, il est élu sur une liste de droite dissidente aux municipales parisiennes de 2001. C'est sans étonnement qu'on le voit nommé par Nicolas Sarkozy le 20 octobre 2004 à la tête de la Direction Générale à l'Intelligence Economique à Bercy ; il travaille alors en étroite collaboration avec Jean-Pierre Raffarin. Le 31 décembre 2004, il a décidé de rejoindre le groupe l'Union pour un Mouvement Populaire (UMP) au Conseil de Paris. En mars 2007, il crée l'UPR.
Son parti " l'Union Populaire Républicaine " a des accointances affichées avec les paranoïaques d'Egalité et Réconciliation, ou du mouvement LaRouche. Les cadres du mouvement l'expliquaient dans un communiqué par une volonté de ratisser large, sans pour autant forcément partager leurs opinions. D'ailleurs, ce groupuscule ne se prétend " ni de droite ni de gauche, en lutte contre l'Union Européenne, jugée comme la priorité absolue, devant laquelle doivent s'effacer tous les clivages. ". Les références à la résistance sur fond de gaullisme " arrêtons les clivages pour s'en prendre à notre ennemi " (l'Europe toujours) sont monnaie courante.
Son idéologie est présente dans la vision qu'il a de l'Histoire de France. Le mythe de la " France éternelle ", vieille antienne de l'extrême droite, y est développé, autour duquel s'accroche une historiographie profondément réactionnaire : mise en avant de " nos ancêtres les Gaulois " comme des " premiers Français " et des " premiers résistants " à l'invasion étrangère (suivant une historiographie très " 3eme République "), ou bien une histoire des 19eme et 20eme siècle axée sur la valorisation de la " nation Française que tous les peuples du monde envient ", dans laquelle n'apparaît ni l'affaire Dreyfus, ni le Front Populaire, ni la guerre d'Algérie (au contraire, la colonisation a bien entendu eu des aspects positifs) ni Mai-68. Des oublis idéologiquement significatifs, puisqu'ils ont tous trait à l'histoire de la gauche et du mouvement ouvrier. Et quand il n'oublie pas d'en parler, Asselineau réécrit leur histoire.
Ainsi, il ne parle de la Commune de Paris que comme un mouvement patriote de résistance à l'invasion étrangère. Tout ceci pour arriver à la conclusion que le nouvel ennemi venu de l'étranger qu'il faudrait abattre serait l'" empire " Européen. Cette vision transparaît aussi à la lecture de la charte de l'U.P.R., qui prétend rétablir la " souveraineté nationale " et " redonner à la France sa vraie personnalité ", tout en ne disant rien sur le rôle fondamental des Etats-nations dans la construction européenne et la complicité de leurs gouvernements dans la mise en place des politiques ultralibérales et destructrices de services publics, certes décidées au niveau européen, mais qui vont parfaitement dans le sens des politiques voulues par les gouvernements de chaque Etat, et ce depuis de longues années.
Les gens de droite aiment brouiller les pistes et c'est bien normal, car les sondages montrent que nombreux sont ceux qui s'opposent au capitalisme et au libéralisme, dont ils voient les effets, alors on les manipule et on les trompe en leur disant ce qu'ils veulent entendre et en déformant la perception de la réalité. Le problème est qu'au lieu de voter vraiment à gauche, ils votent pour des démagos de droite ou sociaux-libéraux, le système étant bien verrouillé pour éviter le vrai changement.
Sur internet, les partisans de l'UPR font passer un message bien rodé pour appâter le chaland : " Le programme de l'UPR, c'est un copié/collé de celui du CNR, fortement inspiré par feu le PCF, du temps où il défendait la France et les français, avant de devenir, lui aussi européiste. " Quant à la question de savoir pourquoi on ne les voit jamais dans les luttes, ou soutenir des ouvriers en grève ? Là aussi la réponse est toute prête, non, ce n'est pas parce qu'ils ont peur de s'opposer au patronat et au capital, non, mais plus simplement parce que : " l'UPR préfère s'attaquer aux causes qu'aux conséquences. Les causes sont les traités européens. La ligne de séparation aujourd'hui ne se fait plus en Droite/Gauche, mais entre européistes et non européistes. "
Asselineau tente de se faire inviter ou se fait inviter par des radios de gauche, sinon alternatives, ce genre d'invitation lui sert de caution contre les mauvaises langues qui auraient l'audace de le dénoncer comme un personnage d'extrême droite. Ainsi, alors que l'U.P.R. a été mise en cause sur le site d'information libre H.N.S.-Infos pour avoir tenté d'infiltrer le mouvement des " Indignés " Parisiens, il écrit un communiqué pour se défendre de telles pratiques en prenant prétexte comme argument ses passages dans ces diverses radios. Au final c'est bien un représentant d'extrême droite qui essaie de faire passer ses idées réactionnaires en les prétendant " ni de gauche, ni de droite "
http://2ccr.wordpress.com/2013/12/20/5583/
Sortir de l'Euro ? La grande farce de Asselineau !
1. Notre déficit commercial est en grande partie causé par nos importations en énergie (pétrole, gaz). Dévaluer va-t-il remplir nos sols d'or noir et de gaz ? Le prix du pétrole va grimper => explosion du prix de l'essence et donc de toutes les denrées (alimentaires comprises car elles voyagent beaucoup) => forte inflation => baisse du pouvoir d'achat = appauvrissement de la population.
2. La dévaluation relancerait l'économie. Ah oui ? avez-vous compris que le monde a changé ? L'économie est désormais globalisée, les produits sont faits de pièces issues du monde entier puis assemblées (le plus souvent dans la plus grande usine du monde qu'est la Chine). Croire qu'en dévaluant, la France va se mettre à construire des iPhones (les pièces + l'assemblage) c'est juste une mauvaise plaisanterie (je vous invite à faire un stage dans l'industrie pour comprendre comment cela fonctionne au 21eme siècle et non en 1950 !).
3. Nous sommes pénalisés par une monnaie forte ? C'est vrai en effet pour certains produits mais nous exportons de moins en moins car nous sommes de plus en plus désindustrialisés pour plein d'autres raisons (manque de flexibilité, charges sociales élevées...). Qu'aurons-nous vraiment à exporter de nouveau quand notre monnaie sera dévaluée et que les Français auront vu fondre leur épargne sur leurs comptes bancaires ou d'assurances vie ? Pensez-vous sérieusement que les investisseurs vont revenir ? Quant aux produits de Luxe qui sont un des atouts de notre industrie, ils ne demandent qu'une chose : être vendus chers !
Et puis regardez le niveau élevé du franc Suisse, a-t-il à ce point pénalisé l'économie de la Suisse ?
En conclusion : sortons de l'Euro et nous rejoindrons définitivement les pays pauvres. Nous ne produirons rien de plus, et nous ne pourrons plus rien acheter ! La classe moyenne, les pauvres et nombreux futurs pauvres pourront dire merci à François Asselineau pour sa proposition !
Sur un dossier de Asselineau, sur son site UPR, consacré à Robert Schuman, on peut voir une photo de ce dernier tenu au bout de ficelles, tel un pantin dont le maître serait la CIA via des officines. Dans cette lecture, la construction européenne depuis ses origines serait le cheval de Troie de l’hégémonie américaine.
Le Nationaliste Asselineau combat cela de toutes ses forces. Cela l’amène à aller partout et « ne rejeter aucune invitation », a remarqué Jean-Yves Camus. Comme ce 8 avril 2010, où il mène une réunion publique au Local 92, à Paris, tenu par un certain Serge Ayoub, alias « Batskin » (3) : « Je ne savais pas du tout où je mettais les pieds (sic !) et je ne connaissais pas Monsieur Ayoub […] J’ai donné ma conférence devant une cinquantaine de personnes, mais nous n’avons strictement aucun lien avec ces groupes. »
« Malgré sa rhétorique basée principalement sur le rejet du ‘‘Système’’, François Asselineau reste un homme ancré à la droite de la droite, analyse Rudy Reichstadt. A mon avis, son objectif est de faire une sorte d’OPA sur le public séduit par les discours complotistes de sites comme le Réseau Voltaire ou Égalité et Réconciliation, d’Alain Soral, qui récusent la pertinence du clivage droite-gauche. Je crois qu’il y voit un potentiel électoral à exploiter. »
Jean-Yves Camus se risque à une autre hypothèse : « On peut imaginer qu’il distraie les électeurs du Front national. Candidat bien sous tous rapports, il peut détourner ceux qui sont séduits par le souverainisme et la droite dure. »
(3) Serge Ayoub dirige les Jeunesses nationalistes révolutionnaires. Le gouvernement a depuis procédé à sa dissolution à la suite du meurtre de Clément Méric, dans lequel certains de ses membres auraient été mêlés.
Derrière les trolls d’Internet, qui est vraiment l’UPR ?
l’UPR est un parti en marge, une secte peuplée de "geeks des traités européens" et de gros trolls obéissant à une sorte de gourou du Web qui leur « prémâche » ce qu’ils doivent penser. Le mandarom Asselineau de l’Union Pasquaïenne Relookée...
Enquête : Qui est vraiment l’UPR ?
http://www.marianne.net/Qui-est-vraiment-l-UPR_a239725.html
http://www.arretsurimages.net/articles/2014-09-24/Mais-qui-est-Francois-Asselineau-le-souverainiste-sans-page-Wikipedia-id7078
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1242473-onpc-en-invitant-francois-asselineau-laurent-ruquier-cede-a-la-pression-des-complotistes.html
http://blogs.mediapart.fr/blog/luttonscontrelefn/290115/l-union-populaire-republicaine-upr
http://www.info-tours.fr/articles/politique/2015/03/19/1899-droit-de-reponse-de-l-upr-suite-a-notre-article-du-2-mars-dernier.html
Satirique Wiki :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Wikip%C3%A9dia:Pastiches/Flavius_Acelinus
Droit de réponse à Arrêt sur images – Calomnie, manipulation et amalgame : la réponse médiatique aux analyses de l’UPR
Droit de réponse à Arrêt sur images – Calomnie, manipulation et amalgame : la réponse médiatique aux analyses de l’UPR
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Lecture : 17 min
Publié le 1 octobre 2014 dans France
Ce texte est un droit de réponse de l’Union Populaire Républicaine à « l’enquête » de Laure Daussy « Mais qui est François Asselineau, le souverainiste sans page Wikipedia ? », publiée sur le site d’Arrêt sur images le 24 septembre 2014.
Irrités mais peu surpris, nous constatons que les médias dominants, au lieu de rendre compte loyalement et de débattre des analyses et propositions de l’UPR, ont choisi d’essayer de faire passer notre mouvement serein, rationnel et républicain pour une bande de conspirationnistes illuminés d’extrême droite. En quelque sorte, cela nous rassure ; c’est la preuve que nous sommes difficilement attaquables sur le fond.
En effet, nos adversaires n’ont rien de consistant à objecter à nos analyses précises et détaillées. Ils se rabattent donc sur la calomnie, en s’efforçant de nous discréditer en inventant de toutes pièces des éléments compromettants ou en faisant des interprétations biaisées.
Nous sommes surpris qu’Arrêt sur images participe à cette campagne de dénigrement ; nous pensions qu’ASI serait plus rigoureux et honnête. Corrigeons donc point par point les erreurs et les approximations de l’article qui nous a été consacré suite à la diffusion de l’interview de François Asselineau le 20 septembre 2014 dans l’émission de France 2 « On n’est pas couché » (il faut préciser au passage que cette interview a été expurgée au montage de nombreux passages importants ; au total les coupes concernent 19 minutes, plus de la moitié du temps de réponse de François Asselineau a disparu).
Le parcours politique de François Asselineau
À chaque fois qu’il est question du passé de François Asselineau, les médias qui ont un a priori négatif sur l’UPR sélectionnent quelques éléments pour lui donner une image de « droitard pasquaïen ». Il suffit ici de renvoyer à deux textes publiés sur notre site Internet : la présentation du parcours de François Asselineau et une mise au point quant à ses liens avec Charles Pasqua. Après les avoir lus, on ne peut qu’être frappé par la malveillance de cette vision très orientée de la trajectoire politique du président de l’UPR. Les journalistes d’Arrêt sur images incriminent-ils François Hollande parce qu’il fut un très proche de François Mitterrand, titulaire de la francisque n° 2202 et protecteur de René Bousquet, l’auteur de la rafle du Vel d’Hiv’ ?
Ajoutons que des journalistes rigoureux devraient se poser la question suivante : si le président de l’UPR est censé être si à droite, pourquoi la majorité des adhérents de ce mouvement viennent-ils de la gauche ? Pourquoi d’ailleurs les journalistes refusent-ils de s’intéresser de façon approfondie à l’intégralité du programme de l’UPR et à la composition sociologique de ses adhérents ?
Quant à la mention du bref passage de M. Asselineau au RIF dirigé alors par Paul-Marie Coûteaux, elle est malhonnête car privée de précisions importantes : à l’époque, le RIF prétendait vouloir rassembler les souverainistes de droite et de gauche et M. Coûteaux n’avait aucun lien public avec le Front national. C’est plus tard qu’il s’est rapproché de l’extrême droite et de Marine Le Pen. Du reste, Paul-Marie Coûteaux étant l’un des cofondateurs d’Attac, pourquoi les journalistes d’ASI n’insinuent-ils pas que les responsables de l’association altermondialiste sont d’extrême droite ?
Quand on veut rendre compte honnêtement du parcours et de l’identité politiques de quelqu’un, il est essentiel d’être précis quant aux faits, notamment en ce qui concerne la chronologie.
Ajoutons que le ministère de l’Intérieur a classé les listes UPR aux dernières élections européennes en catégorie « listes divers » (LDIV), donc ni à droite ni à gauche. Il a par exemple classé les listes Nous Citoyens, Debout La République et Force Vie en « listes divers droite » (LDVD) et la liste Nouvelle Donne en « liste divers gauche » (LDVG). Il existe aussi des catégories « liste extrême gauche » (LEXG) et « liste extrême droite » (LEXD). Tout ceci peut être vérifié, département par département, dans les résultats publiés sur le site du ministère de l’Intérieur.
Ainsi, quel que soit l’angle par lequel on traite le sujet, affirmer ou insinuer que l’UPR et François Asselineau seraient d’extrême droite relève de l’erreur ou du mensonge.
L’UPR et Wikipédia
L’anomalie que constitue l’absence de notices sur François Asselineau et l’UPR dans la version française de Wikipédia a été étudiée et commentée dans ce dossier très complet. Il y est notamment question de l’émission dans laquelle ASI a reçu Rémi Mathis (président de Wikimédia France) et Pierre-Carl Langlais (un des administrateurs de l’encyclopédie).
Nous finissons par trouver amusant d’avoir des notices dans une dizaine de langues sur Wikipédia mais aucune en français. Nous espérons que cette curiosité stimulera le goût de l’enquête des journalistes ; il y a peut-être quelque chose à creuser du côté du fonctionnement de Wikipédia.
Ajout de dernière minute : une notice de François Asselineau vient d’être d’être mise en ligne sur Wikipédia en français. Comme l’indique le titre du présent texte, c’est encore « calomnie, manipulation et amalgame ». Et de quelles sources s’inspire principalement cette notice ? De l’article mensonger et malveillant du « Plus » du Nouvel Observateur et… de celui d’Arrêt sur images.
L’UPR sur Internet et les réseaux sociaux
L’article d’ASI fait une présentation lacunaire des données sur la présence de l’UPR sur Internet. En effet, pourquoi dire que le « compte Twitter [de François Asselineau] n’est pas particulièrement suivi, par rapport à d’autres politiques : 8200 followers » (nous avons rejoint Twitter tardivement) et par contre cacher le nombre élevé des « fans » de notre page Facebook : 30 000 ?
Et lorsqu’il est affirmé ensuite que le nombre de vues des vidéos de M. Asselineau n’est « pas extraordinaire au regard du succès que peuvent remporter certaines vidéos virales », il nous semble que la barre de l’absurdité est franchie. Comparons le nombre de vues de cette vidéo de la dernière conférence de presse de François Hollande avec ce montage d’images de chats faisant des choses amusantes ou avec ce clip de Lady Gaga. Faut-il ajouter quelque chose ? Oui, ceci : que l’on nous montre des vidéos de responsables politiques obtenant de meilleurs scores que celles de François Asselineau. Même sans tenir compte du volume d’exposition médiatique – très défavorable au président de l’UPR –, peu de dirigeants (aucun ?) de parti politique peuvent rivaliser. Même Marine Le Pen est à la peine malgré une couverture médiatique très généreuse. On vante pourtant les succès du FN sur Internet…
Nos analyses sur les États-Unis
Dès que l’on critique la politique étrangère des États-Unis, les médias du système s’empressent de lancer l’accusation d’ « anti-américanisme primaire ». Avant de se pencher sur l’hypothétique validité de ce qualificatif en ce qui concerne l’UPR, suggérons que c’est plutôt le « pro-américanisme primaire » des grands médias français qui devrait être un sujet d’interrogation et d’indignation.
Comme nous l’avons dit à plusieurs reprises, par exemple dans ce texte, non, l’UPR ne fait pas d’ « anti-américanisme primaire ». Certes, nous critiquons fermement les agissements des États-Unis en matière de politique étrangère, de surveillance (cf. les révélations de WikiLeaks et d’Edward Snowden) et de guerre, mais nous n’avons rien contre le peuple américain, qui souffre lui aussi des décisions prises par ses gouvernants.
Les analyses que nous faisons sur le rôle très néfaste des États-Unis dans le monde sont partagées par de nombreux Américains, dont certains sont des intellectuels de premier plan. Lire par exemple De la guerre comme politique étrangère des États-Unis de Noam Chomsky, Les Guerres scélérates : les interventions de l’armée américaine et de la CIA depuis 1945 de William Blum ou L’Horreur impériale : les États-Unis et l’hégémonie mondiale de Michael Parenti. On peut aussi se référer aux critiques (souvent beaucoup plus radicales que les nôtres) exprimées par l’économiste et journaliste Paul Craig Roberts ; l’UPR a rendu compte de certains des articles de ce dissident qui fut secrétaire adjoint au Trésor dans l’administration Reagan.
En ce qui concerne nos analyses sur le rôle des États-Unis dans la construction européenne, elles sont comme toujours étayées. Aussi nous attendons que nos contradicteurs démontrent l’inexactitude de ce qu’avance le journaliste britannique Ambrose Evans-Pritchard dans son article – basé sur des archives déclassifiées – publié dans le Daily Telegraph du 19 septembre 2000 (nous en avons proposé une traduction). Pareil pour l’enquête de Rémi Kauffer intitulée sobrement « La CIA finance la construction européenne » publiée dans le magazine Historia (n°675, mars 2003). De même pour notre dossier sur Robert Schuman ou celui-ci, montrant preuve à l’appui le soutien des États-Unis, dès les années 1960, à l’union monétaire européenne.
Au lieu d’accuser systématiquement d’ « anti-américanisme primaire » tous ceux qui critiquent l’impérialisme belliqueux des États-Unis, les journalistes devraient se documenter et enquêter sur ces sujets. Nous sommes ouverts au débat, s’ils ont des objections à formuler, nous sommes tout ouïe.
Quant à l’intervention militaire en cours contre l’État islamique, nous ne faisons que signaler que c’est l’Occident lui-même qui a permis l’émergence de cette force. En détruisant ou déstabilisant les États laïcs en Irak, Libye et Syrie, les États-Unis et leurs subordonnés européens ont ouvert un boulevard à des groupes djihadistes que les occidentaux utilisent sans aucune gêne quand ceux-ci servent ses intérêts géostratégiques (en Syrie aujourd’hui pour renverser le régime de Bashar al-Assad, en Afghanistan autrefois pour combattre l’URSS).
L’Occident-après-moi-le-déluge ayant un lourd passif de pompier-pyromane, il n’est pas interdit de s’interroger sur l’origine des financements de l’EI. À propos, l’Arabie Saoudite, allié protégé des États-Unis, a procédé selon le magazine britannique The Economist à 22 décapitations pour le seul mois d’août dernier (79 au cours de l’année 2013). L’UPR s’insurge contre le deux poids deux mesures permanent pratiqué par la prétendue « communauté internationale » et ses médias.
Quand les interventions militaires américaines causent des centaines de milliers de morts en Irak et en Afghanistan ou quand l’Arabie Saoudite décapite à tour de bras, ces victimes arabes disparaissent dans l’indifférence médiatique, leurs vies n’ayant manifestement pas la même valeur que celles des quelques malheureux occidentaux qui ont été assassinés récemment. Pour notre part, nous trouvons cette indignation sélective abjecte. Une vie est une vie, quelle que soit l’origine nationale ou la religion.
On cherche à discréditer l’UPR, à intimider les Français qui s’intéressent à nos idées, alors que les partis et les médias installés soutiennent la dangereuse politique des pays de l’OTAN vis-à-vis de la Russie et du monde arabo-musulman. Qui ouvre la boîte de Pandore ? Qui représente la plus grande menace pour la paix dans le monde ? C’est parce que l’UPR considère que la France devrait se désolidariser de cet Occident-là – États-Unis, Union européenne, OTAN – qu’elle est autant attaquée (ou ignorée).
Alors, où est « l’obsession du complot américain » dont parle l’article d’ASI ? Encore une fois, si nos analyses apparaissent erronées à quiconque, nous sommes toujours disposés à avoir un débat rationnel, y compris avec des obsédés de la soumission aux États-Unis…
Nos analyses sur le Front national
Arrêt sur images moque nos affirmations sur le rôle et les soutiens du Front national. Nous conseillons donc à la rédaction d’organiser une diffusion du documentaire Le Diable de la République : 40 ans de Front national réalisé par Grégoire Kauffmann, Emmanuel Blanchard et Jean-Charles Deniau. Ce film diffusé sur France 3 le 30 novembre 2011 confirme ce que l’UPR avance par la voix même de Pierre Ceyrac, ancien élu FN et secrétaire général de CAUSA International, filiale politique de la secte Moon. Voir cet extrait du documentaire.
S’ils estiment que tout ceci relève du « complotisme », nous suggérons aux journalistes d’ASI de prendre contact avec les auteurs du documentaire et la rédaction de France 3. Avant de décrocher le téléphone, il peut être utile de consulter cette page du site Prevensectes, cet article du Monde, ou encore celui-ci des Inrockuptibles.
Quant à la promotion médiatique du Front national demandée par François Mitterrand, c’est Roland Dumas qui le dit.
Et pour ceux qui prétendent que la proximité du FN avec la droite américaine est de l’histoire ancienne, voici un article intéressant des spécialistes de l’extrême droite au Monde.
Au lieu de défendre le clan Le Pen, les journalistes devraient demander aux dirigeants du FN ce qu’ils pensent de nos analyses argumentées sur son rôle d’épouvantail consentant au service du système ou sur son refus de proposer réellement la sortie de l’euro et de l’UE.
Concernant Alain Soral, le rabatteur intermittent du FN, nous avons déjà dit que l’UPR n’avait aucun lien avec lui dans un droit de réponse à Rue89.
Nous regrettons une autre imprécision malheureuse (curieusement, elles nous sont toujours défavorables…) dans la mention de la présence de Robert Ménard lors d’une table ronde à l’Université d’automne 2012 de l’UPR. Non seulement il y avait aussi des personnalités de gauche à cet événement – Jacques Nikonoff, par exemple –, mais en plus, Robert Ménard, un invité parmi bien d’autres, n’était pas encore à l’époque le candidat soutenu par le FN à la mairie de Béziers. Là encore, la chronologie est importante.
La suppression du crime de haute trahison dans la Constitution
L’article de ASI présente cette suppression comme s’il s’agissait d’une lubie du président de l’UPR et affirme qu’« en réalité », cette suppression aurait visé simplement à préciser une formulation « trop flou[e] ».
Or, l’incrimination de « haute trahison » du président de la République, qui a bel et bien été retirée de l’article 68 de la Constitution de la République par la loi constitutionnelle du 23 février 2007 (quelques semaines avant l’élection de Nicolas Sarkozy), a été remplacée par la formule « manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l’exercice de son mandat ». Tout un chacun peut juger que, contrairement à ce qu’affirme ASI, cette nouvelle formule n’est en rien « plus précise » que l’ancienne. Elle a pour effet de retirer l’incrimination de « haute trahison » et elle lui substitue une formulation floue qui semble ne plus viser que d’éventuels problèmes de santé physique ou mentale qui frapperaient le chef de l’État.
Au passage, il est dommage que le réquisitoire d’ASI ne se soit pas intéressé au fait que François Asselineau signale que l’incrimination de « complot contre la sûreté de l’État », qui figurait dans le même article 68 de la Constitution de 1958, a elle aussi été retirée de notre Loi fondamentale par la loi constitutionnelle du 27 juillet 1993, dans la foulée de la ratification du traité de Maastricht. Ce silence signifie-t-il qu’Arrêt sur images juge que Charles de Gaulle était un « complotiste », à l’égal de François Asselineau ?
Le 11 septembre
Nous sommes tombés des nues quand nous avons lu ceci dans le dernier paragraphe de l’article d’ASI : « Tout ceci nous amène à la question fatidique : quelle est la position de l’UPR sur le 11 septembre ? » Relisons : « Tout ceci nous amène » ; « la question fatidique »… Qui est obsédé par le 11 septembre au juste ?
Notre position, ou plutôt notre refus de prendre position sur ce type de sujet est exposé et expliqué dans ce texte. Si ASI estime que l’on ne parle pas assez du 11 septembre dans les médias, ça ne nous regarde pas.
Disons pour finir que nous déplorons qu’Arrêt sur images se soit prêté à l’injuste pratique de la culpabilité par association (X a croisé Y, qui fréquente Z ; X a été vu dans ce lieu, Z aussi ; etc.). Nous nous demandons ce qui reste du débat sur les analyses et les propositions dans cette « en quête de proximités ».
Le choix très orienté des mots-clés associés à « l’enquête » se passe de commentaires : « 11 septembre, Asselineau, CIA, Front National, Meyssan, OTAN, Pasqua ».
Nous regrettons qu’ASI, qui fait parfois de la critique des médias, ait raté une occasion de questionner l’UPR sur son programme ambitieux sur les médias (qui ne s’arrête pas à la renationalisation de TF1).
François Asselineau 1er Octobre 2014
Que tous les VRAIS DEMOCRATES se regroupent autours de Francois Asselineau !
VIVE l'UPR !!!!
Je suis dégoûté de la droite et encore plus de la gauche. J'ai compris que ça ne voulait plus rien dire aujourd'hui, on a une alternance mais au fond c'est la même politique et se diviser en votant pour l'extrême-gauche ou l'extrême-droite n'est pas non plus la solution... la maison brûle et si on continue à se battre entre pompier il ne nous restera que les yeux pour pleurer.
La France, notre style de vie et nos acquis sont en danger de mort, ils sont entrain de se diluer dans la "construction européenne" (le fédéralisme européen est plus que jamais dans la bouche des européistes). Et si on laisse faire sans réagir, on verra s'envoler tout espoir de retrouver un jour la possibilité de décider pour nous-même de notre avenir, d'avoir la souveraineté sur nos vies.
Qu'importe qu'on soit de "droite" ou de "gauche" ils faut faire bloc, comme ce fut le cas en 2005 ce qui permis la victoire du non contre la constitution européenne. Constatez vous même comme moi je l'ai constaté, que le programme de l'UPR vise bien à redonner aux français le pouvoir de décider par eux-même :
1. reprise de notre souveraineté monétaire par la sortir urgente de l'euro, voulu par de plus en plus de gens et dont les effets sont désastreux dans tous les domaines. De toutes façons sa désintégration est inéluctable, il faut l'anticiper pour ne pas se retrouver piégé.
2. récupération de notre politique budgétaire par la réattribution à la Banque de France de son rôle normal de financement de l'État et des collectivités locales, sans quoi tout contrôle de l'endettement public est voué à l'échec (abrogation de la "loi de 73" aujourd'hui transposée dans les traités européens)
3. réappropriation par la France de son droit inaliénable à défendre elle-même ses propres intérêts à l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC), sans laisser cette tâche, cruciale pour contrer les délocalisations, à la Commission européenne qui a par exemple saboté volontairement notre filière textile et notre industrie lourde.
4. le rétablissement effectif du contrôle des flux de capitaux, de marchandises, de services et de personnes, seule mesure de sauvegarde permettant de donner un coup d'arrêt à la débâcle économique et sociale en cours. Cela ne veut pas dire qu'on interdit tout échange mais bien qu'on récupère le droit de dire oui ou non en fonction des intérêts économiques du pays.
5. la renationalisation de notre politique étrangère, accompagnée d'une sortie de l'OTAN qui n'est plus une force de défense depuis la chute de l'URSS mais une force d'agression au service de la politique guerrière de Washington. Ces guerres illégales au regard du droit international sont moralement honteuses, économiquement contre-productives et déplorable pour l'image du pays et ses relations avec les 3/4 du globe.
6. la sortie au plus vite de l'Union européenne SANS QUOI TOUTES LES MESURES PRÉCÉDENTES SERAIENT SANS EFFETS puisqu'elles sont toutes contraires aux traités européens. Cette sortie est parfaitement possible de façon juridique puisqu'elle est prévue par l'article 50 du traité sur l'UE qui prévoit une négociation de retrait en bonne et due forme avec nos voisins (qui resteront nos partenaires).
7. l'instauration du référendum d'initiative citoyenne pour que les français puissent imposer leur choix au gouvernement si ce dernier est approuvé par une majorité, plus tout un ensemble de réforme sur les médias, le travail, les syndicats, l'éducation, etc. Plus 3 grands référendums nationaux sur la question de notre dette, de notre avenir énergétique et sur l'immigration, parceque ces sujets engagent directement l'avenir et la bonne entente entre nous autre les citoyens français.
@Mapoko : Je trouve votre commentaire révoltant, parce qu'il reprend intégralement tous les arguments fallacieux servis par les partisans de "l'Union" €uropéenne et abondamment par les médias de grande diffusion depuis des décennies.
Et puisque vous en êtes à prétendre recenser ce que Asselineau passerait sous silence, que pensez-vous de ça ?
- "l'Union" €uropéenne est en train de détruire la Grèce, victime des traités et de la technocratie, des "institutions" européenne. Où est-elle "l'Union" ?
- le traité de Lisbonne contient l'intégralité de ce qui constituait le projet de "Traité de constitution européenne" qui a été rejeté par les Français en 2005. Comment se fait-il que nous soyons toujours dans "l'Union" 10 ans plus tard ? Qu'en est-il du "plus de démocratie" de "l'Union" ?
- un proportion importante des dirigeants dans les institutions européennes viennent de Goldman Sachs. Vous n'en dites rien ?
- Walter Hallstein est-il, oui ou non, un juriste nazi qui avait travaillé sur le projet de "Nouvelle Europe" du 3ème Reich. Est-ce la même personne qui s'est retrouvée président de la première commission européenne ?
- "l'Union" €uropéenne a découvert qu'elle était victime d'un espionnage massif des États-Unis. Ont-ils pris des mesures, ont-ils rompu les relations ou négociations avec l'administration américaine ?
- Que pensez-vous du projet de TTIP, négocié en secret sur des textes dont les auteurs sont inconnus ? On le garde secret parce qu'il nous sera très certainement bénéfique, n'est-ce pas ?
- Et que pensez-vous du MES ? Vous savez, ce mécanisme européen de stabilité, qui impose aux États de fournir immédiatement les sommes qu'il exige, constitué de membres inattaquables judiciairement et bénéficiant d'une immunité totale. C'est une institution démocratique, n'est-ce pas ?
Et je pourrais continuer encore longtemps avec des arguments vérifiables, là où vous n'êtes capable que de calomnie.
A Mapoko. Vous n'êtes pas crédible. Pour preuve même Giscard maintenant, Fillon, Mariani, en viennent à dénoncer l'alignement de l'Europe aux États Unis... Pas de bol !
http://www.atlantico.fr/decryptage/apres-visite-poutine-giscard-prend-tout-monde-contrepied-roland-hureaux-2204611.html#xStlOoA0T5JIlhrD.99
1)- Le refus délibéré et constant du l'UPR d'expliquer ce qui se cache derrière, l'eurasisme et l'union eurasienne, qui en fut à l'origine et dans quels buts.
=> Au cas où vous l'ignoreriez, l'URSS n'existe plus et la Russie n'est pas l'URSS
=> Vous ne savez pas ce que les 30 glorieuses doivent aux chars soviétiques
2)- La critique constante de l'OTAN, de la construction européenne et de son soi-disant contrôle par les États-Unis.
=> Parce que c'est faux ?
=> On ne peut rien pour vous : cela s'appelle un déni de réalité
3)- La volonté de l'UPR de proposer aux Français de sortir de l'UE, de l'euro, et de l'OTAN.
=> Pas que ca ce n'est pas la panacée ! Loin de là !
4)- La volonté de l'UPR de se couper de notre capacité de négocier dans un marché de 500 millions d'habitants, d'instaurer un planisme économique dans une économie ouverte et de se rapprocher des intérêts politiques de pays alliés de Moscou et très peu respectueux des droits de l'Homme : Iran, Chine, Venezuela. Et donc d'affaiblir les relations privilégiés commerciales avec nos principaux partenaire économique actuels UE, USA, et donc d'affaiblir la in fine la France.
=> parce que le Qatar et l'Arabie saoudite si proches de nos dirigeants c'est mieux ?
=> Avez vous entendu parler du TAFTA promis par vos chers amis ?
=> Etant donné votre avalanche de connerie, j’arrête là ...
5)- Le refus constant de François Asselineau et de l'UPR de reconnaître la menace du terrorisme islamique en France et en Europe, afin de satisfaire pleinement à la vision "meyssanienne" du "Complot permanent de Washington"
=> Parce que balancer des bombes sur des gens cela en fait des enfants de coeur ?
=> Irak, Libye, Syrie : armements, financements des rebelles en violation totale du droit international
6)- de façon générale, la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice - de François Asselineau et de l'UPR sur les traités de libre-échanges comparables au TAFTA par la Chine et la Russie ni sur les comportement dictatoriaux des classes dirigeantes dans tous les domaines : en Russie et chez ses pays alliés en Iran, en Chine, au Venezuela.
=> lol: on ne connait pas le même Francois Asselineau, le vôtre doit s'appeller JC Juncker
7)- Le soutien quasi permanent de François Asselineau et de l'UPR sur la politique étrangère du Kremlin, notamment du soutien immédiat de l'annexion illégale de la Crimée par la Russie, et les invitations régulières de François Asselineau sur des chaines très proches du pouvoir du Kremlin puis d'un entretien sur une revue éditée par un proche conseiller de Vladimir Poutine, l'invitation d'un diplomate de l'ambassade russe pour participer à la Table Ronde de l'Université de l'UPR.
=> Annexion illégale en Crimée ? Un référendum gagné à 90 % par les pro russes (la Crimée fut Russe pendant des siècles et Ukrainienne ...22 ans)
=> C'est ria que depuis le Traité de Lisbonne vos amis n'aiment pas les référendums
8)- La dénonciation par François Asselineau et par l'UPR du "fascisme" en Ukraine, et dans les pays baltes - reprenant ainsi toute la rhétorique du Kremlin - mais la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice du soutien de Moscou à toute l'extrême-droite de l'UE, notamment des invitations de personnalités d'extrême-droite en Russie - dont des proches du parti néo-nazie grec Aube Dorée - par des proches du Kremlin et les financements louches et les invitation à la Douma de représentants de partis d'extrême-droite en Europe.
=> Connaissez vous Porochenko ? et les milices nazis Svoboda ? Non ? Soutenue par l'UE (avec vos impôts) . Cela ne vous dit rien ?
9)- La dénonciation permanente par François Asselineau et par l'UPR de la "guerre économique" des États-Unis vis-à-vis de l'Europe, mais la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice du soutien de Moscou - quant à la l'utilisation de l'arme gazière via le monopole étatique Gazprom par la Russie pour faire pression sur les pays limitrophes et sur l'Europe en général.
=> Ah ca alors, les Russes il sont gonflés : mettre leur pays tout près des bases américaines !
=> mais enfin pourquoi ne sont ils pas allé s'installer sur la Lune ou sur Mars ? Hein ?
10) et plus encore mais je n'ai pas le temps d'en faire un livre, peut-être un jour…
Au fait, en parlant de livre, où
=> Laissez tomber je ne crois pas que ce genre de livre sera pour vous, vous êtes trop intelligent !!!
Mapopo, arrêtez de lire des journaux subventionnés par l'état au main d'une oligarchie ou de financiers pour nous abrutir. Allez voir les conférences de l'UPR. A moins que vous soyez d'origine un abruti.
« Ce rassemblement est rendu possible par la volonté de ne pas s’exprimer sur les sujets clivants et sociétaux. Contrairement aux autres mouvements politiques, l’UPR n’a pas vocation à s’installer durablement au pouvoir. Le parti souhaite rassembler provisoirement les Français dans le but d’appliquer son programme, afin de garantir la souveraineté populaire et l’indépendance nationale, puis de s’en aller.
La Charte de l’Union Populaire Républicaine
Les adhérents de l’UPR sont liés par la Charte de l’Union Populaire Républicaine. Ce document de référence précise les orientations politiques du mouvement et la logique de rassemblement qui anime le parti. Tous les adhérents sont tenus de la respecter.
Conformément à cette Charte, l’UPR refuse de s’exprimer sur les sujets sociétaux qui dissimulent les véritables enjeux et divisent les Français. Elle ne s’exprime pas sur le mariage pour tous, l’euthanasie, l’avortement, la prostitution, etc.
En agissant ainsi, l’UPR refuse de s’inscrire dans le traditionnel clivage droite-centre-gauche qu’il estime vidé de substance, dans la mesure où les dirigeants politiques sont privés des moyens de mener des politiques différentes.
Des Français appartenant à toutes les sensibilités politiques
L’UPR rassemble des Français venus de tous les horizons sociaux, professionnels, religieux, ethniques, et de toutes sensibilités politiques. La moyenne d’âge des adhérents est de 40 ans et 80 % d’entre eux n’ont jamais adhéré à un parti politique auparavant.
L’UPR est présente sur les cinq continents et compte 6% d’adhérents situés hors du territoire français alors que la moyenne nationale est de 2%.
Le mouvement compte dans ses rangs des experts et des chercheurs travaillant sur l’économie, la monnaie, la géopolitique, les relations internationales, la défense, le numérique, etc ».
1)- Le refus délibéré et constant du l'UPR d'expliquer ce qui se cache derrière, l'eurasisme et l'union eurasienne, qui en fut à l'origine et dans quels buts.
=> Au cas où vous l'ignoreriez, l'URSS n'existe plus et la Russie n'est pas l'URSS
=> Vous ne savez pas ce que les 30 glorieuses doivent aux chars soviétiques
2)- La critique constante de l'OTAN, de la construction européenne et de son soi-disant contrôle par les États-Unis.
=> Parce que c'est faux ?
=> On ne peut rien pour vous : cela s'appelle un déni de réalité
3)- La volonté de l'UPR de proposer aux Français de sortir de l'UE, de l'euro, et de l'OTAN.
=> Pas que ca ce n'est pas la panacée ! Loin de là !
4)- La volonté de l'UPR de se couper de notre capacité de négocier dans un marché de 500 millions d'habitants, d'instaurer un planisme économique dans une économie ouverte et de se rapprocher des intérêts politiques de pays alliés de Moscou et très peu respectueux des droits de l'Homme : Iran, Chine, Venezuela. Et donc d'affaiblir les relations privilégiés commerciales avec nos principaux partenaire économique actuels UE, USA, et donc d'affaiblir la in fine la France.
=> parce que le Qatar et l'Arabie saoudite si proches de nos dirigeants c'est mieux ?
=> Avez vous entendu parler du TAFTA promis par vos chers amis ?
=> Etant donné votre avalanche de connerie, j’arrête là ...
5)- Le refus constant de François Asselineau et de l'UPR de reconnaître la menace du terrorisme islamique en France et en Europe, afin de satisfaire pleinement à la vision "meyssanienne" du "Complot permanent de Washington"
=> Parce que balancer des bombes sur des gens cela en fait des enfants de coeur ?
=> Irak, Libye, Syrie : armements, financements des rebelles en violation totale du droit international
6)- de façon générale, la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice - de François Asselineau et de l'UPR sur les traités de libre-échanges comparables au TAFTA par la Chine et la Russie ni sur les comportement dictatoriaux des classes dirigeantes dans tous les domaines : en Russie et chez ses pays alliés en Iran, en Chine, au Venezuela.
=> lol: on ne connait pas le même Francois Asselineau, le vôtre doit s'appeller JC Juncker
7)- Le soutien quasi permanent de François Asselineau et de l'UPR sur la politique étrangère du Kremlin, notamment du soutien immédiat de l'annexion illégale de la Crimée par la Russie, et les invitations régulières de François Asselineau sur des chaines très proches du pouvoir du Kremlin puis d'un entretien sur une revue éditée par un proche conseiller de Vladimir Poutine, l'invitation d'un diplomate de l'ambassade russe pour participer à la Table Ronde de l'Université de l'UPR.
=> Annexion illégale en Crimée ? Un référendum gagné à 90 % par les pro russes (la Crimée fut Russe pendant des siècles et Ukrainienne ...22 ans)
=> C'est ria que depuis le Traité de Lisbonne vos amis n'aiment pas les référendums
8)- La dénonciation par François Asselineau et par l'UPR du "fascisme" en Ukraine, et dans les pays baltes - reprenant ainsi toute la rhétorique du Kremlin - mais la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice du soutien de Moscou à toute l'extrême-droite de l'UE, notamment des invitations de personnalités d'extrême-droite en Russie - dont des proches du parti néo-nazie grec Aube Dorée - par des proches du Kremlin et les financements louches et les invitation à la Douma de représentants de partis d'extrême-droite en Europe.
=> Connaissez vous Porochenko ? et les milices nazis Svoboda ? Non ? Soutenue par l'UE (avec vos impôts) . Cela ne vous dit rien ?
9)- La dénonciation permanente par François Asselineau et par l'UPR de la "guerre économique" des États-Unis vis-à-vis de l'Europe, mais la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice du soutien de Moscou - quant à la l'utilisation de l'arme gazière via le monopole étatique Gazprom par la Russie pour faire pression sur les pays limitrophes et sur l'Europe en général.
=> Ah ca alors, les Russes il sont gonflés : mettre leur pays tout près des bases américaines !
=> mais enfin pourquoi ne sont ils pas allé s'installer sur la Lune ou sur Mars ? Hein ?
10) et plus encore mais je n'ai pas le temps d'en faire un livre, peut-être un jour…
Au fait, en parlant de livre, où
=> Laissez tomber je ne crois pas que ce genre de livre sera pour vous, vous êtes trop intelligent !!!
b[Mais qui est François Asselineau, le souverainiste sans page Wikipedia ? ]b
Thèses, parcours, entourage, d'un obsédé du complot américain
Qui est-il ? Ancien proche de Charles Pasqua, l'énarque François Asselineau a créé en 2007 "l'Union Populaire Républicaine", un parti "ni de gauche ni de droite" qui revendique 5900 adhérents. Peu invité par les médias, Asselineau, qui préconise une sortie de la France de l'Otan, de l'euro, mais aussi de l'Union Européenne, était le week-end dernier l'invité politique principal de Laurent Ruquier dans "On n'est pas couché" sur France 2. Portrait, parcours et entourages d'un politique qui voit la main des États-Unis derrière des entités aussi diverses que l'UE, l’État islamique, ou même le Front National, puisque "Marine Le Pen est payée pour pourrir mon discours".
"De nombreux téléspectateurs s'interrogent : qui c'est? Pourquoi lui?". C'est ainsi que Laurent Ruquier lance, samedi 20 septembre, son invité François Asselineau, président de l'UPR, Union Populaire Républicaine. "Ca fait à peu près un an que je reçois des tweets ou des messages sur Facebook : pourquoi vous n’invitez pas Asselineau?", explique Ruquier pour justifier son invitation.
Dans l'émission, Asselineau expose ses thèmes centraux, la sortie de l'Otan, la sortie de l'Union européenne, ou encore son opposition à l'intervention en Irak contre l'organisation de l'Etat islamique.
http://www.dailymotion.com/video/kmyxa4bni5aTeO8V67o?start=4
Asselineau, est de fait, peu invité dans les médias. Contacté par @si, il dénonce une "anomalie". "Aux Européennes, on a fait 76 000 voix, soit plus que le NPA qui a obtenu 74 000 voix . Or Poutou et Besancenot ont été invités dans Mots croisés, pas moi": Il explique avoir dû saisir le CSA pendant la campagne des élections européennes, pour avoir accès aux médias. Il a finalement été interviewé par Bourdin sur RMC. On repère en 2012, un passage dans l'émission "Ce soir ou jamais" (Taddei signifie ici son étonnement d'avoir été souvent interpellé pour l'inviter). Asselineau, nous en avons parlé nous-même dans une émission consacrée à Wikipedia car il se plaignait précisément de n'avoir pas de page Wikipédia (étonnamment, il en a dans d'autres langues, mais pas en français, les "wikipédiens" ayant estimé que... ses références dans les médias traditionnels sont trop peu nombreuses).
Et dans Envoyé spécial qui consacrait une enquête à Wikipédia, il était interviewé pour s'en plaindre :
http://www.dailymotion.com/video/k6fkO0S8OunZHP8V6cd?start=2
sortie de l'UE, de l'Euro et de l'OTAN
Qui est donc François Asselineau, l'homme sans page Wikipedia ? Pas de page, et pourtant, il s'exprime abondamment sur internet, par son site. Sur le plateau de Ruquier, il assure que le site s'est "hissé au tout premier rang des sites politiques français pendant les Européennes". On peut y prendre connaissance de ses positions dans de nombreuses vidéos, vues en moyenne entre 10 000 et 150 000 fois (un score pas extraordinaire au regard du succès que peuvent remporter certaines vidéos virales). Son programme est décliné en vidéo (5 heures au total). On trouve surtout toute une série de conférences en vidéo, toutes autour de la critique de l'Europe: "Qui gouverne la France en Europe?", (150 000 vues), une autre où il décrit l'Union Européenne comme une dictature, on y reviendra. Son compte Twitter n'est pas particulièrement suivi, par rapport à d'autres politiques : 8200 followers
Son parcours est celui, classique, d'un énarque de droite, aux lisières de l'extrême-droite : il a occupé les fonctions de directeur de cabinet auprès de ministres du gouvernement Juppé (1995-1996), avant de rejoindre en 1999 le RPF de Philippe de Villiers et Charles Pasqua. Entre 2000 et 2004, il occupe des postes de conseiller aux côtés de Pasqua, alors président du Conseil général des Hauts-de-Seine. Toujours avec Pasqua, alors allié à Jean Tibéri il est élu sur une liste de droite dissidente aux municipales parisiennes de 2001. Le 25 mars 2007, il crée son parti, l'UPR, après avoir milité quelques mois au RIF (Rassemblement pour l'indépendance de la France) de Paul-Marie Couteaux (aujourd'hui militant au Rassemblement Bleu marine). En 2012, il souhaite se présenter à l'élection présidentielle mais n'obtient pas les 500 signatures. En 2013, il se présente à la législative partielle de Villeneuve sur Lot, dans la circonscription de Jérôme Cahuzac, comme trois autres recalés de l'élection présidentielle. Il obtient 0,58% des voix. Et en 2014, aux élections européennes, il obtient 0,41% des suffrages.
Asselineau, ancien du RIF de Couteaux, est-il proche du FN ? Interrogé sur ce sujet par Ruquier, il assure être "l'un des opposants les plus résolus au FN". Il s'en démarque en assurant n'avoir "rien à voir avec un mouvement de stigmatisation d’une partie de la population". Mais il s'en démarque aussi en allant encore plus loin sur la question de l'Europe. Il assure que le FN ne propose pas de sortir de l’UE, contrairement à son parti, et propose d'en sortir avec l'article 50 du Traité de l'Union européenne, qui prévoit une sortie officielle et juridique de l'Union Européenne. Il ajoute aussi : "Nous voulons également sortir de l’Otan". Otan qu'il considère comme le cheval de Troie des États-Unis. "Les Français élisent des marionnettes, tout est décidé par l'Otan, la BCE et la commission européenne", dénonce-t-il.
Mc Cain a-t-il rencontré al Baghdadi ?
Une chose est sûre, pour lui, les États-Unis sont partout. Y compris derrière l'organisation de l’État islamique. Asselineau est d'ailleurs interrogé sur ce sujet dans "On n'est pas couché", comme on le voit dans l'extrait ci-dessus. Interrogé sur la notion de "guerre juste" et notamment contre le groupe de l'EI, il répond seulement : "Qui finance l’État islamique?". Mais dans cet article, il va plus loin. Il cite des médias russes assurant que l'occident soutiendrait l'EI. Il en veut pour preuve une photo, diffusée sur les réseaux sociaux, du sénateur John Mac Cain rencontrant, en mai 2013, en Syrie, un homme qui ressemble à Al Baghdadi, le "calife" de l'EI. L'idée étant de montrer que l'EI serait une création des États-Unis. Même si l'authenticité de la photo semble improuvable, et fait l'objet de discussions passionnées et non conclusives sur Wikipedia, elle est reprise, sans surprise, sur de nombreux sites comme le réseau Voltaire.
http://www.arretsurimages.net/articles/2014-09-24/Mais-qui-est-Francois-Asselineau-le-souverainiste-sans-page-Wikipedia-id7078
Et l'Union Européenne elle-même, serait une création des États-Unis. Dans ce document, intitulé très explicitement "De Pétain à la CIA, la face cachée de Robert Schuman", Asselineau présente la construction européenne, dès ses origines, comme une création des Etats-Unis. Une thèse qu'il développe avec ce petit schéma :
http://www.arretsurimages.net/media/article/s71/id7078/original.74715.demi.jpg
Contacté par @si, il développe sa vision de l'Europe, assurant qu'elle comporte un "principe racialiste". Il cite le discours de Victor Hugo sur les "États-Unis d'Europe", qui serait un appel à coloniser le reste du monde. "L'Europe est un apartheid qui entraîne le monde blanc à la guerre contre le monde arabo-musulman, contre la Russie et contre la Chine", assure-t-il. L'Europe veut atteindre la souveraineté nationale de la France : il en veut pour preuve la suppression du crime de "Haute trahison et de sureté contre l'Etat" supprimé en 1993. "Est-ce par hasard si c'est après l'adoption du traité de Maastricht", glisse-t-il. En réalité, l'article avait été réécrit comme l'explique la fiche Wikipedia, car trop flou.
"Marine le pen est payée pour pourrir mon discours"
Les États-Unis seraient donc derrière l'État Islamique, et derrière l'Europe. Mais pas seulement. Autre création américaine : le FN de Jean-Marie Le Pen. Une tribune du Plus du Nouvel obs a retrouvé cet extrait, édifiant :
"Les Américains ont acheté les élites du monde occidental. (...) Vous savez où est actuellement John Major, le premier ministre britannique, celui-là même qui a fait avaler le traité de Maastricht aux Britanniques (...)? Et bien il est actuellement au Fond Carlyle, le fonds qui gère la fortune Bush, de Ben Laden, dirigé par l'ancien directeur adjoint de la CIA, le fond qui embauche le demi-frère de Sarkozy, le fond qui a comme représentant en France Yves de Chaisemartin qui possède 25% du magazine Marianne, magazine qui fait la promotion de Marine le Pen pour faire élire Monsieur Strauss-Kahn dans un an". (...) Le FN est l'élément clé pour maintenir le système en France. (...) Il a été inventé en 1983 par Monsieur Mitterrand et Attali qui ont donné ordre aux médias de le faire mousser. Qui a financé le FN entre 1985 et 1992 ? C'est Pierre Ceyrac, le bras financier de la secte Moon, Causa international, c'est la CIA et c'est la famille Bush qui est derrière".
Et d'ailleurs, vous ne le saviez pas, l'objectif de Marine le Pen elle-même est de nuire à François Asselineau. Celui-ci explique : "elle est chargée de polluer mon discours. Elle nous a envoyé des gens pour pomper ce que je dis, tout en le soupoudrant d'ordures sur les immigrés pour être bien sûre de pourrir mon discours. C'est ça, elle est payée pour ça".
http://www.dailymotion.com/video/k50STUb3AvdvDF8VpJN?start=1
11 septembre : "on laisse les gens penser ce qu'ils veulent"
Dans les discours ou les écrits d'Asselineau, c'est donc le complot américain, multiforme mais permanent au moins depuis la Libération, qui est la clé principale, voire unique, d'explication du monde. A la différence d'autres figures intellectuellement proches de l'extrême-droite, cet anti-américanisme est exclusif de toute trace d'islamophobie, de racisme, ou d'antisémitisme. Mais il aurait été étonnant qu'il ne croise pas le chemin de quelques dieudonno-soraliens, et autres skinheads. Sur le plateau de Ruquier, lui est reprochée la tenue d'une conférence en 2010 dans le local du skinhead Serge Ayoub, leader du mouvement d'extrême-droite Troisième voie. Asselineau assure... qu'il n'avait pas d'autre local pour s'exprimer, et qu'il ne savait pas alors, qui était Ayoub. "J'ai fait 280 conférences, dont certaines devant les amis du Monde diplomatique et on ne me parle que de celle-ci" déplore-t-il.Soral ? Le polémiste antisémite lui a proposé de le rejoindre, (Soral l'explique dans cet article). Refus d'Asselineau : Soral ne respecte pas notre charte, explique-t-il. "Nous bannissons toute stigmatisation d'une partie de la population". Depuis son refus, Soral multiplie les vidéos pour insulter Asselineau.
Que penser de la galaxie qui l'entoure? Patrick D'Hondt, qui se présente dans plusieurs vidéos comme porte-parole et délégué départemental en Seine-Saint-Denis de l'UPR, rappeur connu aussi sous le nom de Tepa, fondateur par ailleurs de la web TV Meta TV, qui se présente comme le "média public de la résistance". Sous le pseudo de Tepa, il participe à un concert du "bal des quenelles", cérémonie lancée par Dieudonné "pour récompenser les personnalités, qui par leurs actions ou leurs paroles, ont dénoncé l'idéologie dominante ou apporté leur soutien à l'humoriste." (Le concert est visible ici, et la remise de prix par Dieudonné ici). On le voit aussi dans une manif pro-Dieudonné, interviewé par l'AFP. Mais Asselineau assure que Tepa "s'est baptisé lui-même porte-parole" et qu'il a quitté l'UPR il y a trois ans, en même temps qu'un autre militant proche de Dieudonné, Erick Mary, (décédé depuis). Un communiqué avait été publié pour expliquer le départ de Mary, à la suite d'une vidéo dans laquelle il avait incrusté des ananas, symbole faisant référence à Dieudonné.
Autre personnage controversé, invité d'une université d'été de l'UPR en 2012 à une table ronde "démocratie, souveraineté et résistance", Alain Benajam, co-fondateur du réseau Voltaire avec Thierry Meyssan, (pour lequel, rappelons le, aucun avion ne s'est écrasé sur le Pentagone le 11 Septembre 2011). "Il n'a pas été question du 11 septembre dans le débat, répond Asselineau à @si. Nous l'avons invité car il a une vision anti-impérialiste du monde". Invités de la même table ronde : Etienne Chouard, (figure en 2005 du non à la constitution européenne, qui flirte maintenant avec le mouvement d'Alain Soral, nous l'évoquions ici) et Robert Ménard, ex-président de Reporters sans frontières, nouveau maire de Béziers, où il a été élu avec le soutien de Marine Le Pen (comme quoi Asselineau n'ostracise pas toujours les satellites du FN).
http://www.arretsurimages.net/media/article/s71/id7078/original.74718.demi.jpg
Tout ceci nous amène à la question fatidique : quelle est la position de l'UPR sur le 11 septembre ? Asselineau entretient le doute : "Il y a des sujets que nous n'évoquons pas car trop clivants. Nous laissons les adhérents libres de penser ce qu'ils veulent". Et, elliptique : "Nous ne sommes ni myopes ni presbytes". Et lui-même ? Il refuse catégoriquement de donner sa propre position sur le sujet. "Je ne vous le dirai pas. Aurait-on demandé à de Gaulle, en juin 40, quel est son point de vue personnel sur tel ou tel sujet?" Sans réplique.
Par Laure Daussy le 24/09/2014 @si
http://www.arretsurimages.net/articles/2014-09-24/Mais-qui-est-Francois-Asselineau-le-souverainiste-sans-page-Wikipedia-id7078
Vous oubliez que l'ue nous mène droit dans le mur, le bilan est catastrophique, vos analyses sont volontairement faussées... On avait dit non à Maastricht, on avait raison !
Il ne s'agit pas de fusionner avec la Russie, comme nous sommes actuellement en train de fusionner avec les Etats-Unis. Pourquoi aurions-nous des échanges commerciaux uniquement avec les pays faisant partie d'un même bloc géographique ? Il s'agit d'avoir une politique internationale indépendante, de respecter le droit international, d'avoir des échanges avec tous les pays du monde (y compris les pays européens et les Etats-Unis), de faire des partenariats comme Airbus et Ariane (qui sont des projets internationaux et non exclusivement européens), etc.
Par rapport au rôle joué par les Etats-Unis et au lien très étroit entre UE et OTAN, il est primordial d'assister à la conférence "Qui gouverne la France ?".
https://www.upr.fr/conferences/qui-gouverne-la-france
Asselineau c'est (entre autres...) :
1)- Le refus délibéré et constant du l'UPR d'expliquer ce qui se cache derrière, l'eurasisme et l'union eurasienne, qui en fut à l'origine et dans quels buts.
2)- La critique constante de l'OTAN, de la construction européenne et de son soi-disant contrôle par les États-Unis.
3)- La volonté de l'UPR de proposer aux Français de sortir de l'UE, de l'euro, et de l'OTAN.
4)- La volonté de l'UPR de se couper de notre capacité de négocier dans un marché de 500 millions d'habitants, d'instaurer un planisme économique dans une économie ouverte et de se rapprocher des intérêts politiques de pays alliés de Moscou et très peu respectueux des droits de l'Homme : Iran, Chine, Venezuela. Et donc d'affaiblir les relations privilégiés commerciales avec nos principaux partenaire économique actuels UE, USA, et donc d'affaiblir la in fine la France.
5)- Le refus constant de François Asselineau et de l'UPR de reconnaître la menace du terrorisme islamique en France et en Europe, afin de satisfaire pleinement à la vision "meyssanienne" du "Complot permanent de Washington"
6)- de façon générale, la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice - de François Asselineau et de l'UPR sur les traités de libre-échanges comparables au TAFTA par la Chine et la Russie ni sur les comportement dictatoriaux des classes dirigeantes dans tous les domaines : en Russie et chez ses pays alliés en Iran, en Chine, au Venezuela.
7)- Le soutien quasi permanent de François Asselineau et de l'UPR sur la politique étrangère du Kremlin, notamment du soutien immédiat de l'annexion illégale de la Crimée par la Russie, et les invitations régulières de François Asselineau sur des chaines très proches du pouvoir du Kremlin puis d'un entretien sur une revue éditée par un proche conseiller de Vladimir Poutine, l'invitation d'un diplomate de l'ambassade russe pour participer à la Table Ronde de l'Université de l'UPR.
8)- La dénonciation par François Asselineau et par l'UPR du "fascisme" en Ukraine, et dans les pays baltes - reprenant ainsi toute la rhétorique du Kremlin - mais la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice du soutien de Moscou à toute l'extrême-droite de l'UE, notamment des invitations de personnalités d'extrême-droite en Russie - dont des proches du parti néo-nazie grec Aube Dorée - par des proches du Kremlin et les financements louches et les invitation à la Douma de représentants de partis d'extrême-droite en Europe.
9)- La dénonciation permanente par François Asselineau et par l'UPR de la "guerre économique" des États-Unis vis-à-vis de l'Europe, mais la très grande discrétion - pour ne pas dire le silence complice du soutien de Moscou - quant à la l'utilisation de l'arme gazière via le monopole étatique Gazprom par la Russie pour faire pression sur les pays limitrophes et sur l'Europe en général.
10) et plus encore mais je n'ai pas le temps d'en faire un livre, peut-être un jour...
Au fait, en parlant de livre, où est le livre de Asselineau qu'il promettait à ses fans et à leur demande de sortir depuis plusieurs années ???
@Mapoko
Qui est vraiment Marianne ? Un journal détenu à 57% par un ex-conseiller de Carlyle Europe (voir Wikipedia) ? Je comprends qu'ils aient envie d'essayer de salir l'UPR...
Ce parti a une charte et un programme depuis sa création, qui n'a pas bougé d'une ligne, ça change de toute la "rigolade" servie par tous les autres partis.... Le programme est d'une très grande simplicité et efficacité, pour être très au fait des sujets de l'économie, je pense sincèrement que c'est la seule solution à tous les mensonges européistes et politiques.http://www.upr.fr/programme-politique
Si on ne fait rien dans 30 ans vous serez mort!
qui est vraiment l'UPR ?
http://www.marianne.net/Qui-est-vraiment-l-UPR_a239725.html
Ce monsieur mérite qu'on l'écoute.
@Bertucat,
Rien dérange Dan Run , simplement la couyoniss
A bon entendeur salut !
De Gaulle a libéré la France depuis les Outre-mer. François Asselineau président de l’Union Populaire Républicaine suit le même chemin pour rassembler les forces de libération et atteindre son objectif: sortir de l’UE, de l’Euro et de l’OTAN par l’article 50 du TUE.
Il sera à la Réunion du 20 au 25 juin et à Mayotte du 26 au 29 juin 2015. Ses conférences sont édifiantes et ouvertes au débat avec les réunionnais et les mahorais. Le programme est disponible sur le site de l’UPR Dom-Tom https://www.facebook.com/pages/UPR-DOM-TOM/176832239132593? dont le représentant est Dominique Frut.
L’UPR compte 7930 adhérents (+10/jours) au 20 juin 2015 au-delà des 5000 adhérents d’EELV, des 3500 de DLF et des 2000 adhérents du NPA. Ce parti positionné au-dessus du clivage droite-gauche est classé Divers.
Cet homme m'a redonné foi en la politique et je ne pensais pas cela possible et j'espère vraiment qu'il touchera de nombreuses personnes. Ses conférences sont édifiantes. Continuez Mr Asselineau et ne vous découragez pas ! C'est un réel plaisir de voir quelqu'un qui se préoccupe du bien-être des français.
@Dan Run : qu'est ce qui vous déranges dans cette première visite officielle d'un jeune Mouvement qui compte presque 9 000 Adhérents aujourd'hui ?
Ne trouvez-vous pas un peu réducteur de comparer les prochaines élections Régionales Réunionnaise, à du "Blabla sous les cocotiers" ?
L'UPR est la seule à poser la question fondamentale qu’aucun parti ni aucun média ne veut poser : "Avons-nous oui ou non intérêt à rester encore dans l’Union européenne ?" Sachant que la France est contributrice nette au budget de l'Union Européenne, cela revient à dire que la Réunion pourrait recevoir des investissements 1,5x plus importants pour l'ensemble des projets qu'on nous annonce officiellement comme étant financés par l'UE. Les fonds FEDER sont intégralement de l'argent payé par les contribuables français http://www.reunioneurope.org/UE_PROJ_FEDER.asp Avons-nous le droit de débattre de ces sujets ?
François Asselineau n'a jamais eu la prétention de détenir toutes les vérité et son programme est inspiré de celui du CNR et qui a montré son efficacité par le passé. De plus son Mouvement appel à rassembler TOUT les Français que sur seulement 3 choses :
_ La Sortie de L'UE
_ De L'Euro
_ Et de L'OTAN
Mais n'aborde pas d'autres sujets comme le Nucléaire, OGM, immigrations...etc. Qui divisent les Français et qui de toute façon ne sont plus des décisions de la Gauche ou de la Droite, mais des Traités Européen et du seul pouvoir décisionnel de la Commission Européenne car rappelons que le Parlement européen n'a pas le dernier mots sur la décision final. Chaque Parlement Nationaux quant à eux, ne font aujourd'hui que retranscrire les directives et la Loi Macron est un exemple parfait de ce que demande la commission en échange de prêt, la Grèce n'est pas en reste !
Tout un plat sur ce M. François Asselineau , pour qu'en final son mouvement soit présent aux élections régionales sous les cocotiers .
C'est vrai quand on est bien invité chez le voisin pour blablater , l' Europe a bon dos