Sixième semaine du développement durable

Sept jours pour penser à la planète

  • Publié le 21 mars 2007 à 00:00

Du 1er au 7 avril 2007, la semaine du développement durable permettra de mettre l'accent sur la nécessité de préserver l'environnement. Dans toute l'île, des manifestations seront organisées. L'occasion de découvrir les différents aspects de ce concept si indispensable pour garantir l'avenir des générations futures.

Les établissements scolaires, des entreprises, des associations de protection de la nature ou sportives, les collectivités et des mairies... À voir tous les
participants à la semaine du développement durable du 1er au 7 avril 2007, il semble qu'un élan national est en train de se produire. La cause est juste et elle devient de plus en plus préoccupante. D'après une étude de juillet 2006, 57 % des Français affirmaient avoir déjà entendu parler de développement durable et, parmi eux, 41 % se disaient bien informés sur le sujet. Ils n'étaient que 23 % en juin 2002 à avoir entendu parler de développement durable. Signe que l'urgence à agir est de plus en plus partagée dans les esprits.

Trois piliers du développement durable

Aux quatre coins de l'île, de nombreux établissements scolaires, des collectivités territoriales et mairies, des associations sportives, des associations de protection de la nature (SREPEN, Tran'Shère environnement...), les TAAF, le conservatoire botanique des Mascarins, l'observatoire de l'eau mais aussi des entreprises comme EDF, Véolia propreté ou encore France Télécom organisent des manifestations.
Parmi les thèmes abordés, on compte le changement climatique, la biodiversité, le traitement des déchets et la façon citoyenne d'aborder ces sujets. Comment économiser l'eau ? L'énergie ? Protéger la nature ?
Mais aussi le volet social du développement durable comme le commerce équitable, les éco-investissements ou encore l'insertion professionnelle. Car le développement durable repose sur trois piliers : l'économie, le social et l'environnement. Si une de ces composantes pêche, le projet est caduc. Concilier les trois permet de garantir la pérennité des actions dans le respect de l'environnement.
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