C'est une première depuis 1962, et seulement la deuxième sous la Vème République : le gouvernement a été renversé. La motion de censure du NFP visant le gouvernement de Michel Barnier a été adoptée, grâce aux voix de la gauche et de l'extrême-droite. Tous les députés de La Réunion ont voté pour la censure Michel Barnier a présenté sa démission à Emmanuel Macron ce jeudi. Suivez-nous, nous sommes en direct (Photo AFP)
Regardez l'allocution d'Emmanuel Macron
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C'est la fin de ce direct, merci de nous avoir suivis
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Emmanuel Macron appelle à "rebâtir la nation"
"Partout où il y a des emportements, de l’insulte", il appelle à "remettre de la sagesse et partout où il y a de la division, vouloir l’unité partout où les uns cèdent à l’angoisse, vouloir l’espérance".
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Une loi spéciale bientôt déposée
"Je nommerai dans les prochains jours un Premier ministre. Il aura à mener ses consulations et former un gouvernement ressérer à votre service", souligne-t-il.
"Une loi spéciale sera déposée à la mi-décembre au Parlement, et cette loi temporaire permettra, comme c’est prévu d’ailleurs par notre Constitution, la continuité des services publics et de la vie du pays", ajoute le chef de l'Etat. "En début d'année, le gouvernement proposera un nouveau budget."
"Je ne pourrai pas me représenter en 2027, c'est pourquoi le calendrier qui m'intéresse ce n'est pas celui des élections", assure le Président.
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Emmanuel Macron exclut de démissionner
"Le mandat que vous m'avez démocratiquement confié est un mandat de cinq ans, et je l’exercerai pleinement jusqu’à son terme", assure le Président. "Ma responsabilité exige de veiller à la continuité de l’Etat, au bon fonctionnement de nos institutions, à l’indépendance de notre pays et à votre protection à tous", dit-il.
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Le Président rejette la faute sur l'opposition
Michel Barnier "était susceptible de rassemblement". "Le gouvernement a été censuré, et cela malgré les concessions faites aux divers groupes politiques. L'extrême-droite et l'extrême-gauche se sont unies, dans un front anti-républicain", dénonce-t-il.
"Je n'assumerai jamais l'irresponsabilité des autres", lance Emmanuel Macron. Le RN "a choisi le désordre". "Pourquoi ces députés ont-ils agi ainsi ? Ils ne pensent pas à vos projets, ils pensent à la présidentielle."
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Emmanuel Macron s'exprime au lendemain de la censure du gouvernement
Emmanuel Macron débute son discours en remerciant Michel Barnier. "Lui et ses ministres se sont montrés à la hauteur du moment, contrairement à certains", dit-il. La décision de la dissolution "n'a pas été comprise", admet-il. "Vous avez pris votre responsabilité en allant massivement voter, et ce vote ainsi que les désistements n'ont pas permis de dégager une majorité", rappelle le Président.
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Emmanuel Macron ne nommera pas de Premier ministre ce soir
D'après plusieurs médias nationaux, le Président n'annoncera pas le nom du Premier ministre lors de son intervention télévisée prévue à 23h
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Les Français partagés sur la censure, six sur dix réclament la démission de Macron, selon deux sondages
Les Français sont partagés sur la motion de censure du gouvernement votée par l’Assemblée, mais six sur dix d’entre eux réclament la démission d’Emmanuel Macron, selon deux sondages, l’un Odoxa Backbone pour Le Figaro, l’autre Elabe pour BFMTV, parus jeudi.
La censure adoptée mercredi soir est "plutôt une bonne chose" pour 52% des personnes interrogées et "plutôt une mauvaise chose" pour 48%, deux scores dont les marges d’erreur se recoupent, pour Odoxa. Elabe donne une légère avance aux satisfaits, à 54%.
Emmanuel Macron est par ailleurs jugé comme responsable de la situation par 41% à 46% des Français, loin devant "l’ensemble des forces politiques qui ne sont pas parvenues à s’entendre" (29% pour Odoxa) ou Michel Barnier, cité par seulement 4% des sondés chez Odoxa et 10% chez Elabe.
Le départ du chef de l’Etat est désormais souhaité par 59% à 61% des Français. Si Odoxa compte 5 points de plus qu’en septembre, Elabe note une baisse de deux points par rapport à une enquête réalisée les 26 et 27 novembre.
Dans le détail, selon le sondage réalisé par Odoxa, 85% des sympathisants lepénistes et 83% de ceux de La France insoumise réclament sa démission.
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Raphaël Glucksmann appelle à une "plateforme minimale entre les forces du front républicain"
Le leader de Place publique ainsi que l'eurodéputée Aurore Lalucq et le député Aurélien Rousseau ont appelé ce jeudi, dans une tribune parue dans Le Monde, à la création "plateforme minimale" entre les forces politiques ayant fait barrage à l'extrême droite aux dernières élections législatives.
La tribune fustige les forces politiques "incapables d'accepter réellement l'idée de compromis entre rivaux et adversaires".
"Cela nous a fait perdre un temps précieux, à un moment en plus où la gauche pouvait profiter d'un rapport de force favorable pour imposer un certain nombre d'avancées pour l'ensemble des Français", après les législatives, ajoutent les élus.
Ils reprochent par ailleurs LR d'avoir "rejeté ce barrage républicain".
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Emmanuel Macron accepte la démission de Michel Barnier
Emmanuel Macron "a pris acte" de la démission de Michel Barnier, annonce l'Élysée dans un communiqué. "Michel Barnier assure, avec les membres du gouvernement, le traitement des affaires courantes jusqu’à la nomination d’un nouveau gouvernement", précise l'Élysée.
Le Premier ministre a remis ce jour la démission de son Gouvernement au Président de la République qui en a pris acte.
— Élysée (@Elysee) December 5, 2024
Michel Barnier assure, avec les membres du Gouvernement, le traitement des affaires courantes jusqu'à la nomination d'un nouveau Gouvernement.Voici la lettre de démission de Michel Barnier datée et signée le 5 décembre 2024
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Les députés Perceval Gaillard et Jean-Hugues Ratenon vont rencontrer le directeur de cabinet de l'Elysée
"Suite à la censure du gouvernement, le directeur de cabinet de l'Elysée souhaite nous rencontrer, à la demande du Président de la République, aujourd'hui à 15h30 (heure de l'Hexagone ; ndlr) pour faire le point sur ce qui ne va pas dans les Outre-mer", annoncent les deux élus par voie de communiqué de presse.
"Conscients de l'immense responsabilité du Président dans la crise politique que traverse le pays ; conscients de l'urgence sociale, économique, écologique dans laquelle se trouvent nos territoires, nous irons à ce rendez-vous pour écouter ce que l'Elysée a à nous dire et rappeler notre position au Président", soulignent-ils."Nous réaffirmons que Emmanuel Macron doit démissionner pour éviter le chaos dont il est responsable."
D'après nos informations, les élus ultra-marins de plusieurs groupes ont été invités, à l'instar du groupe Socialiste et du groupe de la Gauche démocrate et républicaine.
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Les internautes ont de l'humour (et on ne commentera pas...)
Barnier qui signe sa lettre de démission à Macron après seulement 91 jours en poste : https://t.co/pxnNVIwUyj pic.twitter.com/DHMZMVRXHT
— Jason Burne (@Monty_Brogan69) December 5, 2024 -
Mathilde Panot : "on censurera automatiquement" un Premier ministre qui ne serait pas issu du NFP
Mathilde Panot, cheffe de file de députés LFI à l'Assemblée nationale, prévient : si Macron ne nomme pas un Premier ministre issu du Nouveau front popoulaire (NFP) "on censurera automatiquement"
«Nous ne sommes pas d’accord avec le fait que la politique macroniste continue»
— 20 Minutes (@20Minutes) December 5, 2024
➡️ https://t.co/2XjvYPqO42 pic.twitter.com/t0MsatnDG5 -
Olivier Faure, Boris Vallaud et Patrick Kanner demandent à Emmanuel Macron de recevoir les représentants du Front républicain
Dans un communiqué, ces derniers demandent au chef de l'Etat "de recevoir ce jour les chefs de partis et les présidents des groupes parlementaires de l’Assemblée nationale et du Sénat ayant participé au Front républicain, afin de confronter [leurs] points de vue sur les issues possibles d’une sortie de crise".
Au nom du Parti socialiste, nous vous demandons solennellement, Monsieur le Président, de recevoir ce jour les chefs de partis et les présidents des groupes parlementaires de l’Assemblée nationale et du Sénat ayant participé au front républicain, afin de confronter nos points de… pic.twitter.com/BXAqpXn4iw
— Olivier Faure (@faureolivier) December 5, 2024 -
Quand sera nommé le nouveau Premier ministre ?
La présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet a exhorté jeudi Emmanuel Macron à le faire "rapidement" pour "ne pas laisser s’installer le flottement". La titulaire (Renaissance) du perchoir sera reçue par le chef de l’Etat à 12H15, son homologue (LR) au Sénat, Gérard Larcher, à 18h.
L’entourage du chef de l’Etat ne fournit à ce stade aucun calendrier, mais plusieurs de ses familiers ont confié qu’il entendait cette fois agir vite. Dès jeudi soir ? "Il n’a pas le choix", s’avance un de ses proches.
Quel que soit son choix, il fera une allocution aux Français à 23h.Il s’agit désormais pour le chef de l’Etat de résoudre la quadrature du cercle, entre reconduite du "socle commun" entre macronistes et LR ou élargissement de ses contours afin de dégager une coalition gouvernementale plus solide pour résister à une future tentative de censure.
Sébastien Lecornu, François Bayrou, Bernard Cazeneuve ou Lucie Castets… Ces noms, certains déjà évoqués cet été, reviennent avec insistance pour succéder à Michel Barnier après la chute de son gouvernement ce mercredi
— 20 Minutes (@20Minutes) December 5, 2024
➡️ https://t.co/nKtZ2j1N9p#barnier #censure #gouvernement pic.twitter.com/efLxoExa9O -
Emmanuel Macron a reçu Michel Barnier
Michel Barnier, renversé la veille par 331 députés et qui détient désormais le peu enviable record de brièveté à Matignon sous la Ve République, a quitté l’Élysée vers 14h (heure de La Réunion), après une heure d’entretien avec Emmanuel Macron. L’annonce officielle de la démission de son gouvernement est attendue.
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Bonjour à tous, bienvenue dans ce direct
Au lendemain de la mission de censure, Emmanuel Macron a reçu la démission de Michel Barnier. Plusieurs entretiens sont prévus ce jeudi, avant sa prise de parole ce soir.
À propos
Il est 23h26 (heure de La Réunion) quand la sentence tombe, fatale. "Pour la motion, 331". Michel Barnier se lève et quitte fugitivement l'hémicycle. En un instant, il vient de devenir le deuxième Premier ministre censuré sous la Ve République, après seulement trois mois en poste. Un record de brièveté sous la Vème République.
L'Assemblée nationale a fait chuter le gouvernement de Michel Barnier, un geste inédit depuis 1962, qui plonge le pays dans une période de fortes incertitudes politiques et financières, six mois après la dissolution #AFPVertical ⤵️ pic.twitter.com/kBGLa0vBJ6
— Agence France-Presse (@afpfr) December 4, 2024
Le Palais Bourbon vient de vivre une journée comme il en connaît peu, suspendue à une motion de censure inéluctable, qui plonge le pays dans une incertitude plus profonde.
- Michel Barnier a tenté de convaincre jusqu'au bout -
Jusqu'au bout, Michel Barnier aura tenté de convaincre, décortiquant les reproches de chacun de ses pourfendeurs avec argumentation et patience. "Déstabilisation institutionnelle", "moment de vérité"... Mais face à une Assemblée aussi fracturée, face à une gauche et un Rassemblement national déterminés à le faire tomber, aucun mot ne pouvait suffire.
Car la messe était dite depuis longtemps. La longue ovation du bloc central à l'adresse du Savoyard en fut l'ultime signal: la scène a surtout ressemblé à une cérémonie d'adieux. Le Premier ministre, "touché", n'a pu d'ailleurs réprimer un mouvement de main en direction de son coeur, comme pour dire "merci".
Accueilli par une standing ovation des députés du socle commun, @MichelBarnier se dit "très touché" par cette attitude.#DirectAN #MotionDeCensure pic.twitter.com/PohqcicA1E
— LCP (@LCP) December 4, 2024
Lire aussi - Michel Barnier présentera jeudi sa démission
- Les membres du gouvernement sonnés -
Sonnés, tête basse, les ministres sortent enfin de leur torpeur et se lèvent pour applaudir à leur tour leur chef de file. Mais l'échec est amer: tous, ou presque, savent qu'ils s'apprêtent à faire leurs cartons, après une parenthèse de trois petits mois seulement.
Les yeux rivés sur son smartphone, le ministre du Budget Laurent Saint-Martin voit peut-être défiler les centaines d'heures passées à l'Assemblée et au Sénat à défendre les textes budgétaires, finalement sanctionnés dès le premier 49.3 de l'automne.
Entre solennité et accès de colère, l'après-midi dans l'hémicycle aura résumé toute l'impasse politique du moment. Avec à la manoeuvre, une Marine Le Pen concentrée et grave, qui a longuement annoté son discours avant de porter l'estocade, soutenue par 140 parlementaires convaincus.
Jean-Luc Mélenchon ne pouvait pas rater ça, lui non plus: discrètement, il se faufile en tribune, parmi les spectateurs, pour observer la prise de parole de sa rivale. Un peu plus tôt, le leader insoumis emmenait son air satisfait dans les jardins de l'Assemblée. Et osait une plaisanterie: "Il y a quelque chose aujourd'hui ?"
- Branle-bas de combat à l'Assemblée nationale -
Au regard du branle-bas de combat qui se tient au Palais Bourbon, cela ne fait aucun doute, il se passait bien quelque chose.
Des dizaines d'équipes TV sont en place depuis le matin, des journalistes internationaux venus couvrir cet événement unique depuis plus de 60 ans s'activent et se bousculent.
Les huissiers et agents du Palais suent à grosses gouttes. Il a même fallu retirer des meubles pour faire de la place. Dans le personnel, "personne n'a vécu la censure avant", reconnaît l'une d'entre eux. "On bat tous les records", dit un administrateur.
Les parlementaires, eux, errent au milieu de cette effusion. L'air triomphant de Laure Lavalette (RN), qui multiplie les interviews, répond à la mine grave de Gabriel Attal (Renaissance), qui file à toute vitesse vers l'hémicycle.
- "Une décision prise en responsabilité", souligne Emeline K/Bidi, députée de La Réunion -
"On vit une petite fraction d'histoire", glisse le RN Thomas Ménagé. L'Insoumis Eric Coquerel va plus loin: "Nous faisons l'histoire". En séance, les invectives fusent. LFI ? "Che-guevaristes de carnaval", lance Marine Le Pen. Les lepénistes ? Des "semeurs de chaos", tonne Laurent Wauquiez (Les Républicains).
Mais dans les couloirs, tout le monde est déjà projeté sur la suite. La sentence ? Elle semblait irrévocable depuis plusieurs jours. Alors l'avenir est à écrire.
"Il nous faut ouvrir le jeu", dit le député écologiste Pouria Amirshahi, dans une encadrure de porte, entouré par cinq journalistes qui gribouillent sur leur cahier. Un peu plus loin, le porte-parole du groupe socialiste, Arthur Delaporte, plaide pour "l'alternance", que les "macronistes sortent du déni".
Gérald Darmanin est collé à son téléphone, François Hollande patiente lui sagement sur les bancs rouge vif de la chambre basse.
Dans le camp gouvernemental, c'est aussi l'heure des embrassades et des remerciements. En public dans l'hémicycle, mais aussi en privé: pendant les opérations de vote, les ministres se sont éclipsés pour un temps. A Matignon, un pot de départ les attendait.
"C'est une décision que nous avons pris en responsabilité", déclare Emeline K/Bidi, députée réunionnaise et vice-présidente du groupe GDR à l'issue du vote.
"Au cours des dernières heures, on a beaucoup entendu ceux qui s'accrochaient au gouvernement Barnier nous faire un mauvais procès à coup de mensonges", dénonce-t-elle. "On croit qu'il y a une alternative possible, nous rejettons la politique d'austérité, la politique d'Emmanuel Macron. Ce qui peut se préparer peut être quelque chose de meilleur, à condition qu'Emmanuel Macron accepte d'écouter la voix des urnes et la voix des Français", estime l'élue.
Lire aussi - Tous les députés de La Reunion ont voté pour la censure du gouvernement
- A La Réunion, inquiétudes et appels à la démission d'Emmanuel Macron -
A La Réunion, les réactions divergent. Perceval Gaillard, député LFI, a d'ores et déjà appelé Emmanuel Macron à démissionner. Le député réunionnais estime qu'"en censurant ce gouvernement illégitime, l'Assemblée nationale a soldé les comptes de la macronie", "des gilets jaunes à la réforme des retraites, de la dissolution au non-respect du résultat des élections".
"Aujourd'hui nous avons rappelé à "Jupiter" que la roche Tarpéienne n'est jamais loin du Capitole. Prochaine étape : la démission ou la destitution du Président qui est responsable de la crise politique dans le pays", appelle-t-il.
"Seule une élection présidentielle anticipée permettra d'éviter le blocage institutionnel et le chaos économique et social. Seul le Nouveau Front Populaire sera capable de mettre en place une alternative politique sociale, écologique et démocratique", estime l'élu.
Cyrille Melchior, président du Département fait lui part de sa "profonde inquiétude pour l'avenir de notre pays, et pour les Outremer en particulier qui, nous le savons, sont des territoires où les décisions prises au niveau national ont un impact amplifié".
- Emmnauel Macron va parler jeudi soir -
"On ne peut donc que redouter les conséquences catastrophiques pour nos territoires confrontés au chômage, à la pauvreté, à la vie chère et à la fragilité du tissu économique", écrit-il.
Lire aussi - L'exécutif désavoué : les réactions à La Réunion
"Je suis d'autant plus inquiet que, suite à mes différentes rencontres au sein des ministères ces dernières semaines, j'avais pu obtenir des avancées, voire même des garanties, afin de préserver la population réunionnaise, notre économie, mais aussi les finances du Département, particulièrement exsangues compte tenu de la dynamique de croissance de nos dépenses obligatoires, liées notamment au versement des allocations individuelles de solidarité", déplore l'élu.
Emmanuel Macron s'adressera aux Français ce jeudi, à 23h (heure de La Réunion). Il pourrait déjà annoncer le nom du nouveau ou de la nouvelle Premier.e ministre, certains médias rapportant que le Président ne souhaite pas "rester sans chef du gouvernement plus de 24h".
www.imazpress.com avec l'AFP
bien fait pour lui
LREM c'est La République Emmanuel Macron
ou La République En Marche
il croit que la France lui appartient a jamais
Macron et ses acolytes devront démissionner de leurs postes et les consorts
nous payons leurs erreurs
C’est une farce pour les deux cocos non ?
Ratenon va enfin voir la lumière
Il y en eu plus de 11millions la dernière fois,142 députés, et la prochaine fois ce sera plus. Au lieu d'être contre, vous feriez mieux d'être bons, çà changerait et çà éviterait au RN de gagner des voix à chaque fois. Mais hélas vous ne savez pas faire.
Le NFP avait déjà proposé la censure du gouvernement Barnier, mais les complices de la macronie, le RN, ne l'avait pas votée... cherchez l'erreur !
Marine Le Pen, en procès pour emplois fictifs et détournements de fonds au Parlement européen avec 26 de ses laquais du Système (capitaliste), l'a finalement voté. Sûrement à contre cœur, car les politiques que le RN propose sont les mêmes que celles de Macron.
En fait, elle voudrait être élue présidente avant sa condamnation et celle de son parti de dupes.
MACRON DÉMISSION ET PAS UNE VOIX POUR L'EXTRÊME-DROITE !
Emmanuel Macron n’existe et n’est président de la République que parce qu’il y a eu l’affaire Fillon.
« On a mis un gamin à l’Elysée et on va le payer très cher ! » Luc Ferry
Charles Gave : " Le vrai problème de Macron est qu'il est idiot "
Macron, c’est l’arnaque du siècle !
"Macron sent que tout lui échappe !"
Oui mais ils trouveront d’autres prétextes pour ne pas reconnaître leur part de responsabilité. L’important étant d’avoir un bouc émissaire bien partagé.
les "extrêmes"... votent en "communion" alors qu'ils sont opposés sur tous les plans !!! Ratenon "la limière" et sa bande "en jouissance" qui demandent la démission de "Macron" ... attention au retour "des ténèbres" !!!
Assez normal... Il va pouvoir goûter aux joies de la retraite et s'occuper de ses petits enfants. Quant à Macron, le voilà encore un peu plus stigmatisé, tel un coq de basse-cour, les pieds bien enfoncés dans la m...
Oui Mme je suis à 100% d'accord avec vous.il faut un nettoyage complet.
Et les bobos gauchos jubilent. Pas pour longtemps. La réalité économique va les rattraper vite fait. Terminé, la politique de l'autruche.
Le FLI SEUL NE PEUT JAMAIS CENSURER UN GOUVERNEMENT ÇA C'EST UNE VÉRITÉ. QUAND J'ENTENDS RATENON, PERCEVAL DIRE QU'ILS VONT CENSURER SI LA GAUCHE N'EST PAS AU POUVOIR, IL FAUT QU'ILS REPRENNENT LES COURS DE MATH. AVEC LE RN C'EST LA SEULE VOIRE L'UNIQUE POSSIBILITÉ L'ALLIANCE DES EXTRÊMES....
Faudrait également demander la démission des magistrats de la Réunion et des Préfets qui s'acoquinent avec les élus locaux .... et qui ne font rien pour contrôler ces mêmes élus ...
Mais oui, vous êtes dans le vrai...
Cela les moucherait...
Cette bande d'abrutis incompétents, clientélismes à souhait, quand ils ne détournent pas l'argent public...
A leur décharge cependant, ce système date de Mathusalem...
Et si nous à la Réunion on demandait la démission de la présidente de la région avec sa politique d'embauche, la démission des Maires qui ont affaire avec la justice.....n'est-il pas du bon sens ? Faut-il attendre que juillet 2025 pour foutre dehors nos députés pacotilles, maillot, perceval, lebon.....?