Si pendant les Jeux paralympiques, la question de l'accessibilité et du respect des droits des personnes en situation de handicap étaient sur toutes les lèvres, le sujet s'est vite retrouvé sous le tapis. Alors que le gouvernement s'est félicité du succès de cette compétition, nombreux sont les athlètes et citoyens à avoir rappelé que Paris – ville hôte des épreuves – est très loin d'être accessible aux personnes à mobilité réduite (PMR). Le nouveau gouvernement, très soucieux de cette question, n'avait par ailleurs pas prévu de secrétariat d'Etat dédié initialement. Les difficultés de déplacement n'épargnent pas La Réunion, loin de là, malgré les efforts des communes pour tenter de palier aux difficultés rencontrées par les PMR (Photo d'illustration rb/www.imazpress.com)
"Il y a eu des améliorations, mais on est loin du compte" lance Noël Thomas, président de l'association Saint-Paul Handisport. "Le problème, c'est que les personnes handicapées sont très peu consultées quand il s'agit de prendre des décisions" assure-t-il.
Accessibilité aux locaux communaux, intercommunaux, aux transports, à la vie quotidienne…Etre PMR, c'est être en difficulté au quotidien pour se déplacer. Et souvent, avoir des difficultés à se faire entendre auprès des élus.
"Depuis février 2005, la loi oblige les communes de plus de 5.000 habitants à avoir une commission communale d’accessibilité. Combien de communes respectent la loi ?" interroge-t-il.
La Réunion est en retard, même pour respecter les lois. Si ces commissions communales et intercommunales existent bel et bien à Saint-Denis, à Saint-Pierre, à la Cinor ou encore à la Casud, elles ont été créées il y a seulement quelques années. D'autres communes et intercommunalités comme Saint-Paul ou le Territoires de l'ouest, contactées, n'ont pas répondu à nos sollicitations pour confirmer, ou non, l'existence de ces commissions.
Thomas Noël souligne par ailleurs que "même là où ça existe, les personnes qui y siègent ne sont pas nécessairement assez informées". "Il y a des gens par exemple qui sont en établissement médico-social, et n'ont donc pas forcément les capacités de parler de la gestion de l'espace public" dit-il.
Dans cette période où le handicap, notamment moteur, est mis à l'avant de la scène, les collectivités ont été frileuses pour répondre aux questions portant sur ce sujet. Il faut dire qu'il y a beaucoup de travail à faire, et beaucoup à penser dans une île où la topographie rend tous les déplacements particulièrement compliqués, et que la population est vieillissante.
Les collectivités qui ont, elles, accepté de répondre, assurent toutes de leur engagement face à l'accessibilité.
- Des efforts qui prennent du temps -
L'intercommunalité de la Casud "s'est engagée à améliorer l'accès pour tous en menant des actions concrètes telles que l'aménagement des infrastructures de transport, l'acquisition de bus accessible, la mise en conformité de ses gares, ainsi que l'accompagnement des personnes à mobilité réduite" assure-t-elle.
La collectivité précise avoir mené un diagnostic accessibilité du public sur l'ensemble des bâtiments de la Casud afin d'établir un plan d'actions en 2022.
"Ainsi des travaux ont été menés au Tampon, au siège social avec la création de parking, la mise en place du cheminement et d'une signalétique sur les espaces accessibles au public ; soit l'accueil et la salle de réunion, et une rampe accès au bureau du service prévention" détaille-t-elle.
La Casud note par ailleurs que "toutes les Gares du réseau CARSUD et certains arrêts de bus sont accessibles".
Si l'intercommunalité admet que tout n'est pas parfait en termes de déplacement, "la situation s'améliore" estime-t-elle. Elle n'est cependant pas compétente en matière de voierie, les communes en étant en charge. Communes qui n'ont pas répondu à nos sollicitations.
La Casud précise cependant que "pour ce qui est de ses compétences et notamment les transports et en lien avec les communes, un élargissement des trottoirs aux arrêts de bus" a été réalisé.
Au nord, à Saint-Denis, nombreux sont ceux à dénoncer les difficultés pour se déplacer de façon indépendante.
La mairie affirme travailler sérieusement sur le sujet. "Depuis 2018, nous avons une obligation d'avoir un agenda programmé de l'accessibilité. C'est un calendrier transmis à l'Etat pour expliquer comment nous allons procéder à la mise en conformité de nos bâtiments en huit ans" explique Patrick Sambassouredy, adjoint à l'hyper-proximité et des services techniques à la mairie de Saint-Denis.
"Cet agenda avait été chiffré 27 millions d'euros approximativement, et nous avons recherché des maîtres d'œuvres…Sauf que nous avons eu énormément de mal à trouver des architectes volontaires pour ce travail" explique l'élu de Saint-Denis.
"Ca nous a pris quatre ans pour trouver ces maîtres d'œuvres, ce qui nous a énormément retardé" regrette-t-il. "A côté de cela, toutes les opérations de neuf ont été construits avec l'accessibilité en tête" précise-t-il.
Sur Saint-Denis, plus de 50% des bâtiments étaient accessibles au moment du diagnostic en 2018. "Depuis 2023, on a commencé nos opérations accessibilité. La particularité, c'est par exemple qu'il faut avoir des ascenceurs là où il y a des étages. On va donc les voir fleurir dans les années à venir" détaille
Les études de conception sont en cours pour neuf établissements scolaires, avec comme priorité les écoles accueillant des classes ULIS (Unité localisée pour l'inclusion scolaire). "Mais il y a des établissements, dans les hauts notamment, où on ne pourra pas réaliser ces travaux" précise-t-il.
"On va avancer sur l'agenda, et à côté de nos ça toutes nos nouvelles opérations incluent directement l'accessibilité."
- Les communes assurent leur engagement -
A Saint-Paul, le programme de mise en accessibilité de nos bâtiments "est important et des aménagements sont réalisés chaque année pour améliorer l’accessibilité de nos équipements et notamment les écoles sur lesquelles les conditions d'accès sont globalement satisfaisantes" estime la ville.
"Toutefois, ce programme a pris du retard du fait de contraintes budgétaires. Sur les écoles, le programme de réhabilitation et d'amélioration du confort thermique concerne au total 28 écoles sur toute la commune et intègre le volet accessibilité" détaille-t-elle.
Beaucoup d'équipements "sont ou ont été rendus accessibles grâce notamment au Plan d'Accessibilité Voirie qui a été mis en place".
Un plan d'accessibilité "réalisé avec la commission d'accessibilité de la commune et validé par celui-ci". "Il englobe une réflexion prenant en compte la chaîne de déplacement allant de l'arrêt de bus aux équipements recevant du public ou de la place PMR vers ce même équipement pour s’assurer une fluidité des déplacements. Les services travaillent au fil de l'eau pour résorber les non conformités et la situation s'améliore régulièrement avec la réalisation de cheminements piétons aux normes" ajoute la ville.
Elle précise aussi que "les 66 écoles du territoire sont accessibles et de nombreux travaux ont été réalisés par le Pôle Ville Nouvelle et Transition Écologique concernant l’accessibilité" et qu'elle aa "entrepris plusieurs aménagements en collaboration avec diverses associations pour améliorer l’accessibilité des personnes en situation de handicap".
Du côté de Saint-Pierre, on assure que "accorde une place importante à l’amélioration de la vie de ses concitoyens", avec des "travaux de rénovation d’ERP, de constructions nouvelles et d’amélioration du réseau routier ainsi que des places de stationnement pour les personnes à mobilité réduite".
Côté déplacements, "les abris voyageurs sont conçus de manière à faciliter la montée et la descente à bord des bus". "Néanmoins, il n’est pas toujours possible de garantir toute la chaîne de déplacement dans le cadre de l’accessibilité" admet la ville. Fin d’année 2019, la ville de Saint-Pierre comptait 79 arrêts de bus accessibles.
Sur le réseau Alternéo, fin 2019, le parc véhicule "étaient accessibles à 84% soit 120 véhicules sur 143 au total sur tout le territoire de la CIVIS. S’agissant de la commune de Saint-Pierre, la CIVIS avait recensé 76 véhicules accessibles sur nos lignes y compris la ligne (littoral)."
La Civis assure par ailleurs "gratuitement le transport des personnes à mobilité réduite selon le taux d’incapacité (50 à 79%), grâce à son réseau Alternéo, avec la carte «Pass’nGo»".- La voierie, bête noire des PMR -
Mais au-delà des bâtiments, la plus grosse difficulté reste finalement la voierie. Sujet que personne ne semble vraiment vouloir aborder, malgré nos relances.
"C'est extrêmement compliqué de se déplacer dans le centre-ville quand on sort des axes principaux" confie Max, qui se déplace en fauteuil roulant. "Entre les voitures qui se garent à moitié sur le trottoir, les propriétaires qui laissent les poubelles dehors, les rues où il est difficile de traverser...C'est fatigant au quotidien" souffle-t-il.
"Les communes pensent à l'accessibilité, mais le cheminement est mal fait. Il y a des trottoirs qui ne mènent finalement nulle part, car ils sont accessibles mais il n'y a pas d'abaissement en face pour traverser ou alors la rue en face est trop étroite. Dans ce cas-là, la personne en fauteuil doit faire demi-tour" dénonce Noël Thomas.
Seule la mairie de Saint-Denis a détaillé l'organisation de ces travaux. "On est sur des sujets de mises en largeur pour qu'il y ait au moins un des deux côtés accessibles, et une mise à niveau de tous les carrefours pour qu'ils soient navigables. C'est réalisé dès qu'on rénove une portion de voierie" détaille par exemple Patrick Sambassouredy.
"On essaie d'avoir devant chaque école une place PMR, on l'entretient annuellement, et on fait attention à ce que ces places soient respectées. L'objectif est d'avoir un cheminement sûr pour les PMR"
Dans une ville aux rues étroites, "le choix principal est de ne plus faire de stationnement sur les deux côtés". "Dans la rue de Malartic, c'est par exemple ce que nous avons fait : il y a un côté où il n'y a plus de stationnement et nous avons même pu ajouter une piste cyclable"
Il rappelle que les rues de La Réunion sont loin d'être comparables à l'Hexagone. "Nous ne pouvons pas élargir les rues, il faut donc faire des choix" insiste-t-il.
Sur Saint-Denis, "nous faisons de six à huit millions d'euros de travaux sur la voierie chaque année". "A chaque tronçon, nous pensons à un des deux côtés qui soit accessible. On va par exemple refaire tout le boulevard de la Providence avec au moins un côté normalisé. Mais on ne fait pas le travail à moitié : si on refait le trottoir, on refait aussi la chaussée, ça demande beaucoup de programmation"
"On essaie aussi d'avoir des continuités : il faut pouvoir se déplacer d'une rue à l'autre, et nous pensons donc à comment lier un bâtiment public à un autre. Si une personne doit faire deux démarches, il faut qu'il puisse le faire dans la même journée. L'interconnexion est prioritaire".
Alors que le chef-lieu veut limiter la circulation des voitures dans le centre-ville, la mairie se dit confiante face à l'amélioration de l'accessibilité.
Le plus grand défi reste les Hauts de l'île. "Dans les hauts, les personnes handicapées qui sortent sont très peu" souligne Noël Thomas. "Quand la ligne qu'une personne prend habituellement n'est pas accessible, elle reste chez elle. Certains transports sont là mais il faut réserver : si on a un imprévu ça pose problème, et ça les élus ne veulent pas l'entendre" dénonce-t-il.
Une problématique dont la mairie de Saint-Denis est bien consciente. "Dans les Hauts, à chaque fois qu'on a l'occasion de créer un trottoir, on le fait. C'est surtout réalisé au cas par cas, quand on nous sollicite" explique Patrick Sambassouredy. "Il y a une liste de priorité à réaliser dans la ville. Nous avons estimé à 20 millions d'euros les travaux prioritaires"
La mairie estime à "quatre à cinq ans" l'agenda pour une ville plus accessible.
- Des transports spéciaux mais sous condition -
Saint-Denis est loin d'être l'unique ville à connaître des difficultés pour aménager sa voierie. En réalité, c'est toute l'île qui est concernée. Les quelques collectivités qui ont accepté de répondre à nos questions assurent toutes avoir conscience des difficultés, et mettrent en oeuvre des plans d'aménagement.
La ville de Saint-Paul souligne par exemple que "le poids de la marche à pied dans la mobilité quotidienne et la place privilégiée qu’elle occupe dans les déplacements des personnes les plus vulnérables ( enfants, adolescents et personne âgées) justifient que la politique publique de mobilité s’intéresse à la sécurité et au confort d’usage de ce mode".
Elle rappelle aussi "l’objectif de réduction de (son) bilan carbone, qui passe par le développement de la mobilité piétonne".
"Les motifs d’insatisfaction, quant au confort ou à la sécurité des cheminements piétons, sont le niveau de sécurité pour les déplacements autonomes des enfants,les vitesses trop importantes des automobilistes, et l’encombrement des trottoirs et espaces piétons" liste la commune.
Pour changer cet état de fait, la ville assure "s’engager dans l’élaboration d’un plan de mobilité piétonne". Une étude qui devrait permettre "de définir un plan d’actions et de mise en œuvre pluriannuel d’investissements en faveur des différents quartiers de la Commune autour des pôles générateurs de flux piétons, une priorité sera axée sur nos 62 écoles."
Dans le Territoire de l'ouest, "des accès PMR ont été pris en compte avec des emplacements adaptés en matière de hauteur sur les bornes". "Les trottoirs permettant de desservir ces points de collecte ne sont pas toujours existants… c’est un autre sujet mais globalement, la personne n’y a toujours pas accès…" admet l'intercommunalité.
Pour le réseau urbain Kar’Ouest, "14 lignes sont totalement accessibles (place pour usagers en fauteuil roulant, annonces sonores, annonces visuelles adaptées en cours)" précise la ville.
"Pour le réseau Kar’Ouest Mouv’, tous les véhicules sont accessibles aux usagers en fauteuil roulant. Il s'agit du premier réseau de transport des Personnes à Mobilité Réduite des Outre mer à être certifié NF 281" ajoute-t-elle. 13 véhicules adaptés assurent l’exécution du service, pour les 1250 usagers inscrits.
La mairie de Saint-Denis rappelle aussi l'existence de City Kèr. "Il y a une structure et un circuit de prise en charge spécifique, mais sur rendez-vous. La personne n'est pas isolée du circuit de déplacement, mais elle n'a effectivement pas de transport à l'instant T" admet la ville.
- Sortir de la logique du coût -
Pour Thomas Noël, derrière tous ces travaux, la problématique reste "qu'on ramène toujours l'accessibilité à un surcoût". Chaque collectivité met en effet en avant les efforts financiers qui sont avancés pour réaliser ces mises en accessibilité.
"Mais il faut rappeler que la population est vieillissante, et donc nous allons avoir de plus en plus de personnes qui ne sront plus en capacité de se mouvoir facilement." D'où l'urgence d'aménager au mieux le territoire pour le rendre le plus accessible possible. "Les PMR, ça englobe beaucou de choses, ce n'est pas seulement les personnes en fauteil roulant. Même un parent avec une poussette est considéré comme PMR" rappelle-t-il. "C'est comme ça qu'il faut réfléchir à l'espace public" estime-t-il.
"En France on pense à tout par le prisme du coût. Je prends en exemple la piscine de Boucan : on devait avoir un acheminement pour les PMR, finalement Tamarun a proposé un cheminement en béton, donc la DEAL a logiquement dit non. La plage de Boucan est donc inaccessible de tous les côtés. On a alerté mais personne n'a bronché. Il faut toujours se battre pour qu'on pense aux PMR" critique Thomas Noël.
Il appelle à la création d'une étude à grande échelle pour évaluer les besoins de l'île, mais aussi à la mise en place des commissions obligatoires.
"On veut simplement être consultés, il y a pleins de textes de loi qui ne sont pas appliqués" dénonce-t-il. "Ca serait bien qu'une association nationale s'implante à La Réunion pour avoir plus de poids. C'est un vrai manque, avec un mur en face. On ne peut pas faire des procès, on est même subventionné par les mêmes mairies et donc il faut faire avec."
"L'handicap, c'est l'angle mort de la société. Ce qui est fait aux personnes handicapées on ne le fait pas aux autres minorités. Il y a des efforts qui sont fait, tout n'est pas négatif, mais ce n'est pas suffisant" conclut Noël Thomas.
as/www.imazpress.com/redac@ipreunion.com
on devrait permettre aux handicapés d'appeler la fourrière pour faire enlever les véhicules gênant et dans l'immédiat
En 2008 l'AG élective avait été invalidée par le directeur jeunesse et sports de l'époque et la commission des affaires électorale de la FFH.
En 2023, 5 asso demandait à la FFH par courrier recommandé un audit financier et la mise sous tutelle du comité handisport de la Réunion. Dénonçant également les atteintes à la démocratie, des associations affiliées ne sont jamais convoquées aux AG ; et d'autres entorses.
https://imazpress.com/sports/le-comite-regional-handisport-en-situation-de-depot-de-bilan
a quand l'accessibilité au comité handisport de la reunion et de la transparence quand on sait que lors des jeux elle ANNIE demande de l'argent aux personnes handicapés alors que le billet a été finance doublement...par la CRC et par la région reunion la supercherie est découverte
Et pendant ce temps, le Conseil Général a payé 200.000 Euros pour la flamme Olympique, des affiches pub des JO partout à St Denis + 5.000 Euros pour un container destiné au matériel (tentes, jeux, etc), privatise parkings et Jardin de l'Etat + orchestre pour cocktails : remises de médailles et pour la "rentrée du personnel" de fin de congés, etc. IL FAUT ARRÉTER CES GABEGIES QUE NOUS PAYONS TRÉS CHÉRES. STOP.
Il y a accessibilité... la mobilité...pour tous ... à prendre en compte dès on programme un projet de bâtiments de voiries !!!
Que dire du Conseil Départemental et de "sa filiale" la MDPH ... une mauvaise connaissance du handicap..."les textes" mais pas la pratique et le pire le Département (du moins certains administratifs financiers) voulaient fermer le seul service pour les déficients visuels dans le sud, alors que ce service "la cécibase" nous a aidé ma compagne et moi même ainsi l'ensemble des aveugles et mal-voyants de l'Ile ... ce qui nous a outré ce que le "Melchior" ... Président d'une collectivité ayant pour compétences le social et le HANDICAP invite le champion olympique de Cécifoot Gael Rivière en grandes pompes avec son sourire "papier glacé!!!... de l'hypocrisie en "couleurs" !!!
La situation ne s’améliore pas pour une raison
Les conducteurs de véhicules garent leurs voitures sur les trottoirs
Faites un tour au GHSR vous verrez où sont garer les voitures
Même normaux sont obligés de marcher sur la voie
Merci on devrait voir ce type de dossier plus souvent. Je suis très content et surpris de tout ce que fait St Paul. Il n’y a pas de commission donc ce qui est affirmé n’est pas vrai. Cela fait des années que c’est promis. On est dans l’attente…
Beaucoup d’excuses pour économiser et mettre en avant les contraintes budgétaires.