Ce jeudi 2 octobre 2014, jour anniversaire de la naissance de Mahatma Gandhi, le conseil général et plusieurs associations ont organisé une journée dédiée à la non-violence, en direction notamment des collégiens. Groupe du dialogie inter-religieux, Collectif pour l'élimination des violences faites aux femmes (CEVIF), association le Refuge... Tous étaient réunis pour diffuser un même message de paix et de tolérance.
Durant toute la matinée, l’espace Reydellet a accueilli de nombreuses animations destinées aux plus jeunes (ateliers créatifs, lectures, chansons pour la paix...), le tout rythmé par les interventions à la tribune de représentants d’associations ou encore de la présidente du conseil général Nassimah Dindar.
"Dans un monde où dans toutes les sphères, à tous les niveaux, sur tous les continents, ce sont les conflits, la guerre, la différenciation, les nationalismes, voire les individualismes qui gagnent, il faut rappeler, surtout à l’égard des plus jeunes, les messages de paix, du bien-vivre ensemble et rappeler la philosophie de Gandhi qui est une philosophie de non-violence avant tout", a souligné cette dernière.
"La précarité, la crise, les difficultés, elles ont existé dans toutes les civilisations et de tous temps et elles existent encore aujourd’hui. Ces difficultés peuvent engendrer la protestation, mais elles peuvent engendrer également la solidarité. Cette solidarité doit être collective, à l’échelle familiale, à l ‘échelle d’un village ou d’une institution comme l’école. On peut protester, mais en le faisant de manière pacifique", a ajouté Nassimah Dindar.
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Tous les jours , nous devons dire stop à la violence, la violence ne résout rien , et ce n'est que par le dialogue respectueux des valeurs , des différences que nous réussirons à consolider le présent et préparer un 'avenir solidaire et ce dés le plus jeune age ces valeurs doivent s'installer.
Mais ce qu'on peut regretter aussi parfois, c'est la violence des discours politiques d'autant plus que ça ne fait qu' attiser la haine au lieu d'apporte des solutions réalistes en tenant compte du contexte. Bien entendu cela n'a rien à voir avec le débat démocratique necessaire pour l'oxigénisatation de la citoyenneté.