Législatives 2024

"Quand on connaît notre histoire, on n'a pas le droit de voter RN", lance la plateforme réunionnaise

  • Publié le 27 juin 2024 à 16:43

Ce jeudi 27 juin 2024, la plateforme réunionnaise est réunie aux côtés du candidat de la première circonscription, Philippe Naillet. C'est à l'Arbradélis à Saint-Denis que le député sortant, accompagné de sa suppléante Brigitte Adame et de ses soutiens, entame la dernière ligne droite avant le premier tour des législatives. Un scrutin qui aura lieu ce dimanche 30 juin 2024 (Photos : rb/www.imazpress.com)

  • "J’appelle chacune et chacun à modérer les propos. À se respecter et à respecter les électeurs"

    "Nous devons préparer, le front républicain pour le second tour. J’appelle chacune et chacun à modérer les propos. À se respecter et à respecter les électeurs", ajoute Ericka Bareigts.

    À la question : pensez-vous déjà à une union dans la 5ème et 6ème circonscriptions en cas de qualification des deux candidats de gauche ? Ericka Bareigts répond : "d’abord nous ferons le premier tour et j’espère que nous aurons plus de succès pour une réunion dans l’entre-deux tours. Le second tour se prépare au mieux quand nous nous respectons."

  • "Quand on connaît notre histoire, on n'a pas le droit de voter RN"

    "Le RN se nourrit du désespoir, mais ce n’est pas un parti social. Il a voté contre le Smic à 1.500 euros, contre la taxation des très riches (+3,8 millions d’euros). Il n'est pas le parti des gens qui souffrent. Regardez en Finlande où l’extrême droite est au gouvernement. Son premier acte est de revenir sur les services publics et les droits sociaux. C’est ce qu’il se passera ici aussi", prévient Philippe Naillet.

    "Le Rassemblement national c’est le rejet. Il faut combattre le rejet national. Quand on connaît notre histoire, on n'a pas le droit de voter RN, d’envoyer un député RN à l’assemblée."

    "J’ai la force, je suis déterminé, je suis motivé par une seule chose : réussir mon mandat de député", conclut-il.

     

  • Répondre à l'urgence sociale

    "Il faut répondre à l’urgence sociale, en bloquant les prix de première nécessité pour un temps donné. On porte la mesure de 2022. Notre programme c’est l’indexation des retraites sur l’inflation, l’encadrement des loyers dans les zones tendues, l’augmentation du SMIC et l’accompagnement des entreprises, l’abrogation de la réforme des retraites et de l’assurance chômage. Ces mesures nous les prendront dans les 100 jours."

    Aux entreprises : "je serai votre défenseur à l’assemblée. Le tissu économique de La Réunion n’est pas le même que dans l’Hexagone, je serai le défenseur de nos entreprises pour défendre les dispositifs existants aujourd’hui que la macronie avait prévu de remettre en cause. Nous voulons aussi financer par la BPI les entreprises en difficulté, renforcer les fonds propres des entreprises. J’ai une certaine crédibilité, je siège à la commission économique."

    Il faut également "mettre le paquet sur les services publics", dit-il. "Les services publics c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas".

    "Avec nous, santé, éducation, c’est le retour des services publics. Nous revaloriserons le métier d’enseignant", poursuit le député sortant, évoquant son programme.

    "Sur la sécurité, nous rétablirons la police de proximité. C’est la police qui connaît les habitants, les associations."

    "Concernant la justice, nous lui donnerons les moyens d’agir enfin."

    "Nous abrogerons le 49.3. C’est un véritable déni de démocratie."

    "Nous reconnaîtrons la reconnaissance de l’état Palestine, à côté d’israël. Nous mettrons fin à la vente d’Israël. Nous nous battrons pour la libération des otages français aus mains des terroristes du Hamas", dit-il.

  • "J’ai les idées claires, j’ai un programme"

    "Pour entrer dans une bataille comme celle-là il faut avoir les idées claires. J’ai les idées claires, j’ai un programme."

    "Celui qui dit que j’ai été député pendant 15 ans confond addition et multiplication, j’ai fait deux fois 18 mois en tant que suppléant de Mme Bareigts, et une fois deux ans entre 2022 et 2024", dit-il, évoquant le communiqué de l'opposition de la mairie de Saint-Denis.

    "Pendant ces deux ans j’ai agi, j’ai travaillé et eu des résultats. Ces deux années ont été très difficiles car nous avons travaillé sous la menace d’un 49.3. J’ai eu des résultats dans ces conditions, j’ai le plus fort taux d’adoption d’amendements chez les députés d’outre-mer. 12% de mes amendements ont été votés. C’est l’aide de 10 millions d’euros votées pour les TPE-PME, j’ai participé activement à la commission d’enquête sur la vie chère…", liste le député sortant.

    "Allez vérifier l’activité des députés sur le site de l’Assemblée nationale. C’est un bilan honorable, dans un contexte difficile. Je repars au combat avec les idées claires, les soutiens, et le travail déjà accompli depuis deux ans."

    "Notre programme, c’est un programme qui répond d’abord à l’urgence sociale. Il faut toujours tirer les enseignements des urnes. Le 9 juin il y a une grande colère contre les politiques du gouvernement. Je le dis en responsabilité, Macron et les macronistes ont été des accélérateurs de la montée du RN. Dans les 100 premiers jours nous voulons répondre à l’urgence sociale, redonner de l’espoir. Si nous ne le faisons pas, la colère qui s’est exprimée dans les urnes le sera dans les rues", poursuit Philippe Naillet.

  • "M. Morel ne s’est jamais engagé pour les problèmes de la population , mais pour son rêve d’avoir un mandat"

    "Depuis 2008 je me suis engagée", déclare la suppléante de Philippe Naillet, Brigitte Adame. "J’ai beaucoup observé ceux qui sont dans le parti depuis plus longtemps. À l’époque j’avais demandé si le projet porté par la mairie de Saint-Denis était faisable, on m’a répondu que pour cela il fallait travailler. C’est comme ça que je me suis lancée".

    "Philippe a aussi été l’élu de proximité, on a pu travailler ensemble. C’est un élu qui connaît la difficulté des familles, qui a un engagement sans faille, sincère, honnête, et qui n’a pas bougé de son parti depuis 30 ans. Depuis 30 ans il s’est démené pour contribuer au développement de Saint-Denis. Il défend les causes de Saint-Denis à sa manière, il contribue au développement de notre territoire. C’est pour cela que nous sommes derrière lui", défend-elle.

    "Quand on regarde le parcours de Jean-Morel, il est par l’UDF, l’UMP, Objectif réunion, en passant par Macron en soutenant Stéphane Bijoux aux européennes en 2019. Est-ce qu’il sait où il habite, est-ce qu’il sait dans quelles valeurs il se construit ? Il accuse les autres de ses échecs. Il dit qu'il n’a pas changé, c’est la droite réunionnaise qui a changé. Mais quand on est dans un parti qui prend l’eau, on se bat. Quand il dit qu’il n’a pas changé de convictions, dit-il qu’il est foncièrement Front National et qu’il a menti à son parti d’origine ? Je n’affirme pas je pose la question", dit-elle, visant directement le candidat RN.

    "Quand il dit de ses opposants qu’ils ne font rien, ils insultent les électeurs", poursuit Brigitte Adame.

    "Revenons sur son parcours : il a eu deux mandats. Une fois en tant qu’adjoint à la mairie de Saint-Denis sous Victoria, il faudrait lui demander quel est son bilan. Au département, il affirmait qu’il ne pouvait rien faire pour les habitants parce que Mme Dindar ne l’aimait pas. M. Morel ne s’est jamais engagé pour les problèmes de la population , mais pour son rêve d’avoir un mandat."

    "Il vient ici pour télescoper Mme Lebon, c’est elle qui a fait tout le travail pour le RN. Quelles convictions a-t-il ? Quelles propositions ? Aucun débat sérieux, rien. Il s’agit aujourd’hui de voir quelqu’un qui a été un élu fantôme."

  • "Si demain il y a un gouvernement d’extrême-droite, l’art de vivre que nous avons construit sera en danger"

    "Il y a un danger aujourd’hui", commente Jean-Pierre Marchau. "Je fais campagne dans le centre-ville, il y a beaucoup de résidents musulmans. Je leur rappelle que les militants RN se sont battus contre la construction des mosquées. L’ADN raciste du RN est bien là. Si demain il y a un gouvernement d’extrême droite, l’art de vivre que nous avons construit sera en danger."

    "Dans le discours de Jordan Bardella, il a annoncé un moratoire sur le parc éolien. Comprendre qu’ils fermeront le parc. Aujourd’hui le parc éolien c’est 28.000 emplois. Si demain il y a un moratoire la filière s’effondre, les appels à projets s’arrêtent", dit-il. "Ça montre que le RN en plus d’être xénophobe est un parti climatosceptique."

  • Les Réunionnais veulent "des politiques qui proposent une vision claire"

    "On a aujourd’hui des candidats qui ont toujours eu une ligne politique claire, qui ont été constants dans la défense de leurs valeurs et convictions. Quand on regarde l’adversaire RN son parcours a été plutôt chaotique pour arriver jusque sur les bancs du RN", lance à son tour Patrice Selly.

    "Quand on regarde les votes on observe la colère de la population face à des politiciens qui changent de bord au gré du vent. Ils veulent des politiques qui proposent une vision claire. C’est le cas de Philippe et Brigitte. Dans la 5ème circonscription on voit aussi qu’il y a des relations particulières entre un candidat d’extrême-gauche et le représentant d’extrême-droite. Mon propos est que nous avons besoin d’avoir de clarté", dit-il.

  • "C’est tout un ciment sociétal qui est remis en question"

    "Philippe, on a besoin que tu sois à l’assemblée", débute Olivier Hoarau, s'adressant directement au député sortant. "Tu y as été, tu as vu comment fonctionne le RN, ce qu’il dit, ce qu’il vote. Tu as été un rempart contre leur politique. Le combat n’est pas fini."

    "C’est un combat qui nous fait tous peur tant nous savons ce que représente et ce que fait le RN. Et surtout ce qu’il ne fait pas : protéger la population."

    "C’est la fin de ce que pour quoi on s’est battu", craint-il. "Nous savons que le Rassemblement national va tout remettre en question, il ne va pas seulement détruire ce qui nous ressemble mais aussi imposer des motifs de rejets. C’est tout un ciment sociétal qui est remis en question. Plus de 8.000 victimes de faits racistes en France aujourd'hui, demain ça sera le double."

    "Ce combat pour préserver notre équilibre sociétal, le représentant RN local a voulu le remettre en question. Celles et ceux qui pensent que le RN est une solution parce qu’on n'a pas encore essayé, allez mettre de l’eau sur vos doigts et mettez les dans une prise électrique, on n'a jamais essayé non plus."

    Lire aussi - Johnny Payet, dirigeant du RN à La Réunion, veut que l'on arrête de parler de l'esclavage

    "Enfin le RN est contre l’Europe. Si demain La Réunion perd ses financements feder, ce sont des centres de formation, les contrats aidés qui vont disparaitre", poursuit le maire du Port. "Les plus démunis vont se retrouver seuls. C’est pour sauver la solidarité, la France, La Réunion que le combat continue."

    "Nous militons et demandons à ce que nous ne nous trompions pas d’adversaire."

  • "Chez nous on ne soustrait pas, on additionne nos forces"

    "Nous voulons faire de l’apolitique d’une nouvelle manière, qui respecte les partenaires, qui ne traitent pas de noms d’oiseaux les uns et les autres. C’est le partage des responsabilités, l’union", évoque Maurice Gironcel.

    "Chez nous on ne soustrait pas, on additionne nos forces. Nous savons que dans la plateforme nous avons cinq maires, chacun avec leur passé et leur vécu politique. C’est aussi ça l’union des générations."

    À l’image des élections européennes, "on constate de plus en plus la colère des gens, qui couve. Cette colère on la partage, envers la politique menée depuis 7 ans. Une politique de casse sociale", lance-t-il.

    "Il y a eu un vote RN à l’occasion des Européennes. Le gouvernement, depuis 7 ans, n’a pas entendu le message de milliers de personnes qui ont manifesté pendant les gilets jaunes, contre la réforme des retraites. Aujourd'hui on découvre le piège du RN : il parle de retraites a 66 ans. Il n’est pas là pour le social."

    "Nous avons une responsabilité historique de lutter contre l’extrême droite", poursuit Maurice Gironcel.

    "Nos candidats sont engagés pour porter nos combats à l’assemblée nationale. Nous devons faire front contre les idées de l’extrême droite et protéger nos concitoyens", conclut le maire de Sainte-Suzanne.

  • Une ambition pour et par les réunionnais

    "Les électeurs ont besoin d’être rassurés, par des élus qui savent se réunir. Nous avons besoin d’un député qui arrive à porter ces valeurs à l’assemblée nationale", dit-elle.

    "Nous voulons réaffirmer notre ambition réunionnaise. Nous affirmons que l’ensemble des problèmes aujourd’hui ne peuvent pas être portés que par Paris. Elle doit (l'ambition) être proposée par et pour les réunionnais."

  • Ericka Bareigts, représentante de la plateforme de gauche, prend la parole en premier.

    "Cette conférence est l’occasion de faire le point avant dimanche. Nous faisons un appel massif aux réunionnais.es de s’exprimer et voter dans la 1ère circonscription pour Philippe Naillet".

    Elle revient ensuite sur la démarche de la plateforme. "Notre travail a commencé il y a un certain temps, pour les régionales où nous nous étions réunis pour une partie d’entre nous pour proposer une nouvelle façon de faire. Nous avons élargi cette démarche pour les sénatoriales."

    "Cette démarche est une démarche qui ne date pas d’hier, à la veille de ces législatives. Ce que nous voulons faire c’est réaffirmer une façon nouvelle de faire la politique et certaines valeurs. C’est de la coconstruction, c’est décider ensemble, et pas imposer des choix. Ce que nous faisons c’est regarder avant tout l’intérêt de la réunion et de chaque territoire", ajoute l'élue.

    "Nous sommes dans une démarche de transparence vis-à-vis des réunionnais.es. C’est de la transparence, de l’explication, de l’affirmation de ce que nous construisons ensemble", précise Ericka Bareigts.

    "Il n’y a pas d’hégémonie, d’aucun des partis qu’ils soient locaux ou nationaux. C’est une addition des forces politiques locales et réunionnais, pour une proposition réunionnaise."

  • Bonjour à tous, bienvenue dans ce direct

    Nous suivons la conférence de presse de la plateforme réunionnaise pour la première circonscription. Restez avec nous.

     

À propos

Dans notre département il existe sept circonscriptions. Dans la première circonscription, un seul candidat de gauche : Philippe Naillet, soutenu par la plateforme de gauche et le parti Pour La Réunion (PLR).

"Je suis le candidat soutenu par toutes les parties de gauche sur la circonscription 1", avait déclaré le député sortant lors d'une conférence de presse.

Lire aussi - Législatives à gauche : le PLR et ses alliés proposent un accord global, la plateforme réunionnaise propose un accord partiel

- La plateforme de gauche positionne trois candidats -

En plus de Philippe Naillet, la plateforme menée par Ericka Bareigts positionne deux autres candidats.

Dans la cinquième circonscription, la plateforme a annoncé comme candidate Anne Chane-Kaye-Bone.

"Pour la 5ème circonscription, les raisons qui nous amènent à présenter une candidature sont simples. Il existe aujourd'hui une absence de clarté dans la ligne politique proposée sur ce territoire. Aujourd'hui on a une sorte d'hypocrisie entre l'actuel député sortant et le représentant du RN à La Réunion, le maire de la Plaine des Palmistes, Johnny Payet", lance Patrice Selly, du groupe Banian.

Dans la circonscription numéro six, Alexandre Laï-Kane-Cheong sera pour la plateforme de gauche.

Dans la deuxième. Tous sont unis derrière le nom de Karine Lebon.

Dans la troisième, les deux côtés (Front populaire et plateforme réunionnaise) soutiennent Alexis Chaussalet.

Enfin, dans la dernière circonscription, la septième, le député sortant Perceval Gaillard sera soutenu par la plateforme de gauche et le PLR.

Lire aussi - Législatives : la plateforme de gauche présente Anne Chane-Kaye-Bone et Alexandre Laï-Kane-Cheong

- La gauche unie contre le RN -

"Il faut repartir dans une campagne et confirmer là où on est et gagner dans toutes les circonscriptions, faire barrage au RN et défendre une politique de gauche", a avancé pour sa part Olivier Hoarau.

"Voter RN c'est braquer une arme contre soi quand on est une femme, même si je peux comprendre cette colère qui amène à voter.

Pour la lutte pour les femmes, le RN est absent", Anne Chane-Kaye-Bone.

"Face à ces défis, l’enjeu national de ces élections est de mettre en échec le RN pour l’empêcher d’accéder au pouvoir. On ne peut imaginer confier les clés du destin de la France de ce mouvement cultivant la haine, la division, le racisme", a déclaré Huguette Bello.

"Notre principal adversaire est Emmanuel Macron" a de son côté déclaré Emeline K/Bidi.

"Face à ces défis, l’enjeu national de ces élections est de mettre en échec le RN pour l’empêcher d’accéder au pouvoir. On ne peut imaginer confier les clés du destin de la France de ce mouvement cultivant la haine, la division, le racisme."

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15 Commentaires
Phil
Phil
8 heures

De toute façon on a eu l'exemple avec les gilets jaunes que de belles paroles que de blabla mais a la fin rien du tout.
Quant à la gauche que des propos racistes xénophobe Mr melanchon dit vouloir prendre aux riches mais bientôt il va nous dire qu'il est pauvre

Les vrais dangers
Les vrais dangers
1 jour

@dom, pouvez-vous vous me citer des procès ou des condamnations? Je ne vois que des ladilafé dans vos propos, contrairement à Claude Hermant et Jean Claude Veillaird, des criminels du Rn, dont la justice a prouvé les liens avec le terrorisme islamiste.

Concentrez-vous sur les actes et les preuves.

Et voyez comment l'ONU qualifie le hamas : https://www.aa.com.tr/fr/politique/martin-griffiths-les-nations-unies-ne-consid%C3%A8rent-pas-le-hamas-comme-une-organisation-terroriste/3139493

Rima hassam qui envoie ses troupes sur Tf1 😂😂😂 ouloulou
Alors qu'un criminel de guerre avec un mandat d'arrêt sur sa tête passe à la télé, ooooh la méchante rima !!!!!!

Conseils
Conseils
1 jour

Bareigt devrait supprimer des gens comme Selly qui collectionne les affaires judiciaires ou encore Alexandre. Selly et Alexandre mangent à tous les râteliers.

Dom
Dom
1 jour

@ les vrais dangers.
Non je parlais de gens de LFI, Rima Hassan qui envoie ses troupes sur TF1 qui retransmet un entretien avec Netanyahu ou qui soutient l'ENAR (european network against racisme), Sébastien Delogu ,l'homme au drapeau dans l'hémicycle qui s'affiche avec des militants du FPLP, ou qui tient un meeting "pour la paix" à Marseille aux côtés de Salah Hamouri, condamné en 2008 en Israël pour sa participation à une tentative d'assassinat contre un rabin. Et de leur Chef présent à une manif contre "l'islamophobie" au côtes des Frères musulmans, et encore de Mathilde Panot refusant de qualifier le Hamas de mouvement terroriste (ce qui lui valut des éloges du journal Rivarol).

Missouk
Missouk
2 jours

Et quand on connaît l'histoire de la gauche, on respecte les accords nationaux et on évite les coups tordus... J'espère que vos candidats dissidents du NFP seront balayés dimanche !

Les vrais dangers
Les vrais dangers
2 jours

Dom, vous voulez dire le RN?
Dont certains membres ont des liens directs avec l'état islamique (Jean Claude Veillard, lafarge, financement de l'EI), ou encore Coulibaly, dont les armes proviennent du traffic de Claude Hermant ( douanier et traffiquant d'armes, bravo!) ?
C'est sûr qu'il vaut mieux éviter ceux-là.

Dom
Dom
2 jours

Quand on connaît le Présent, on ne s'associe pas avec un parti qui a des accointances avec des mouvements islamistes.
Vous voyez qui je veux dire?

RN volèr
RN volèr
2 jours

Zot i crache su l'Europe, pas su l'argent l'Europe...

andre manoukian
andre manoukian
2 jours

le RN à deja voler l'argent de l'europe

lenorman
lenorman
2 jours

arretez de vous prendre la tête à gauche il faut aussi que madame bello discute avec tout le monde

lejuste
lejuste
2 jours

Tout contre le RN

HP
HP
2 jours

Phil vous avez entièrement raison éclatement se que je pensais

Cheval de Troie
Cheval de Troie
2 jours

Le Rn s'en est déjà mis plein les poches avec l'argent public :
-Affaire des kits de campagnes : 250 000 euros détournés, condamnés en cassation 19 juin 2024,
-Affaire des assistants parlementaires : 7 millions d'euros détournés au parlement européen, début du procès le 30 septembre.

Sans compter les maires Rn, Louis Aliot, Romain Lopez qui dès leur arrivée à la mairie en 2020 ont augmenté leurs indemnités (60 000 euros de plus pour Aliot).

Rajoutons que ces gens qui ont coupé l'électricité et le gaz au Secours populaire de la ville d'Hayange en plein hiver. Le Secours Populaire.

Phil
Phil
2 jours

Quand on connaît notre histoire et quand on voit ce qu'a fait la droite ou la gauche si ce n'est que de se remplir les poches sur le dos des Reunionnaises et réunionnais il y en a marre des paroles non tenues et de toutes les promesses alors au lieu de diaboliser le RN votons pour lui car ça ne peut pas être pire

Mi di Mi pense
Mi di Mi pense
2 jours

Des alimentaires qui se soutiennent du bèzeman à venir