Vous avez demandé le menu du zot lé pa payé pou kroir de cette semaine du lundi 22 au vendredi 26 septembre 2025, le voici. Trois religieuses de 81, 86 et 88 ans ont fui leur maison de retraite pour retourner vivre dans leur ancien couvent. Faire ses devoirs n’est pas toujours une partie de plaisir. Liangliang, un élève de 11 ans a été hospitalisé à Changsha (Chine) après une journée entière à étudier. Et puis il y a Emmanuel Macron bloqué dans les rues de New York et embrassé sur le front après son discours à l'ONU sur la reconnaissance de l’État de Palestine (Capture d'écran Brut)
• En Autriche, trois nonnes fuient leur maison de retraite pour retrouver leur vieux couvent
Leur histoire a ému en Autriche et suscité une couverture médiatique frénétique ces derniers jours. Trois nonnes placées contre leur gré en maison de retraite par leurs autorités religieuses ont réussi à regagner le couvent où elles ont vécu presque toute leur vie.
Samedi, une vingtaine de leurs anciens élèves et soutiens sont venus partager une prière et un déjeuner avec les soeurs Rita, 81 ans, Regina, 86 ans, et Bernadette, 88 ans, dans la chapelle du château de Goldenstein, à Elsbethen près de Salzbourg (centre), qui abrite le couvent.
Le bâtiment, situé face à la montagne, a des allures féériques. Et les nonnes comptent bien y passer le restant de leurs jours.
C'est au début du mois de septembre qu'elles ont décidé de se rebeller et de fuir la maison de retraite où elles affirment avoir été placées sans en avoir été averties au préalable depuis fin 2023.
Defiant nuns flee care home for their abandoned convent in the Alps https://t.co/bvPvIjmXju
— BBC News (World) (@BBCWorld) September 13, 2025
Les trois religieuses étaient les dernières à occuper le château de Goldenstein, qui abrite un couvent et une école privée depuis presque 150 ans.
C'est "une cause importante", déclare à l'AFP Eva-Maria Seeber, 76 ans, une ancienne élève. "On ne peut pas déplacer des personnes âgées de cette manière. Je trouve cela cruel!"
"Nous sommes enfin de retour chez nous, c'est divin!", se réjouit soeur Bernadette.
Selon leurs soutiens, les visages des religieuses se sont illuminés depuis leur retour. "Elles se sont épanouies dès le premier jour où elles sont revenues. Elles vont bien et sont heureuses d'être de retour chez elles", déclare Martina Krispler, 28 ans, qui a apporté le déjeuner samedi.
Les trois femmes espèrent pouvoir se réconcilier avec l'Eglise, et rester dans le couvent "jusqu'à la fin de (leurs) vies".
• Chine : un enfant de 11 ans hospitalisé après avoir passé 14 heures à faire ses devoirs
Liangliang, un élève de 11 ans a été hospitalisé à Changsha (Chine) après une journée entière consacrée à ses devoirs, le 14 septembre. L’élève avait commencé ses devoirs à 8 h du matin et ne s’est arrêté qu’à 22 h. Une heure plus tard, il présentait des symptômes inquiétants : agitation, respiration accélérée, maux de tête, vertiges et engourdissements. Les médecins ont diagnostiqué des problèmes respiratoires liés à une hyperventilation provoquée par un stress émotionnel.
Ce type d’essoufflement peut provoquer oppression thoracique, spasmes ou rigidité musculaire, et mettre la vie du patient en danger sans prise en charge rapide. Liangliang a été placé sous oxygène et a appris des exercices pour réguler sa respiration.
Selon l’hôpital, ce genre de cas reste rare, mais le service pédiatrique a enregistré en août plus de 30 enfants souffrant de symptômes similaires, soit dix fois plus que les mois précédents.
Les principales causes : pression scolaire, anxiété liée aux examens et usage excessif du téléphone portable.
• Bloqué dans la rue et embrassé sur le front : fin de soirée insolite pour Emmanuel Macron à New York
Une scène insolite a marqué la soirée de lundi à New York, peu après la reconnaissance officielle de la Palestine par la France : Emmanuel Macron s'est retrouvé bloqués dans les rues de la ville par le convoi de son homologue américain, Donald Trump. La balade nocturne s'est conclue par une séance photo avec des passants, dont un en a profité pour embrasser Emmanuel Macron sur le front
Sur les vidéos partagées par Brut, on voit Emmanuel Macron se retrouver stoppé dans sa progression par un agent de police. « Je suis vraiment désolé, Monsieur le Président, tout est actuellement bloqué », lui explique le policier, après que le président français ait évoqué la présence de l'"ambassade de France" dans les environs.
La scène suivante montre Emmanuel Macron au téléphone. Selon Brut, il s'agirait de Donald Trump au bout du fil. "Devine quoi, j’attends dans la rue, car tout est fermé pour toi", lance, en riant, le président américain à son homologue français. Il finit par terminer son périple à pied dans les rues new-yorkaises.
Mais la scène ne s'arrête pas là. Après avoir pu repartir, Emmanuel Macron prend quelques minutes pour prendre des photos avec des passants. Un homme profite de l'instant pour l'embrasser sur la tête. Un geste qui amuse le président, qui lance un : "non, non, c’est bon les gars", à son équipe de sécurité.
www.imazpress.com avec AFP/redac@ipreunion.com