[PHOTOS - VIDÉOS] Visite présidentielle

Bras-Panon : le président de la République a échangé avec les acteurs économiques

  • Publié le 23 avril 2025 à 06:24

Ce mardi 22 avril 2025 qu'Emmanuel Macron débute sa visite à La Réunion. Il est accompagné de Annie Genevard, Yannick Neuder et Manuel Valls, respectivement ministres de l'Agriculture, de la Santé et des Outre-mer, ainsi que de son épouse Brigitte Macron. Nos journalistes sont en direct pour suivre ce déplacement présidentiel (Photo : sly/www.imazpress.com)

- Ce qu'il faut retenir de la visite d'Emmanuel Macron

• L'ARS annonce le décès d'un nourrisson du chikungunya.

• 244 millions pour l'agriculture - une vraie fausse annonce qui ne convainc pas les agriculteurs.

"Les 244 millions d'euros (dont a parlé Emmanuel Macron – ndlr) sont le total des aides que nous avons tous les ans", s'indigne Olivier Fontaine, président de la Chambre d'agriculture. "Force est de constater que le compte n'y est toujours pas", ajoute-t-il.

• Renforcement de la ""zone franche d'activité nouvelle génération" dans l'est de l'île.

• Emmanuel Macron souhaite améliorer l’accompagnement des planteurs avec une hausse de la prise en charge des surcoûts pour les aléas climatiques pouvant aller jusqu’à 1.000 euros par hectare dans l'est et le nord.

• Le président a annoncé le renfort de 200 militaires supplémentaires pour les FAZSOI (forces armées de la zone sud de l'océan Indien).

• Toutes les doses de vaccin contre le chikungunya achetés par la France.

  • C'est la fin de ce direct, merci de nous avoir suivis

  • Cinq personnes récompensées

    A la préfecture, Emmanuel Macron a décoré cinq personnalités réunionnaise. Sophie Bouju-Clémente, militante contre les violences intrafamiliales, Christian Pailler, pionnier de la PIROI et du projet "Paré pas Paré" ont été nommé chevalier de la Légion d’honneur

    Jasmine Latchimy Dijoux, directrice de l’Institut de l’illettrisme et des langues de l’océan Indien,  et Maryse Mounier, productrice de vanille à Sainte-Rose, ont été promues chevalier de l’ordre national du Mérite.

    Cyrille Melchior, président du Département, a lui aussi reçu la distinction de chevalier de l'ordre national du mérite.

     

     

  • Le dispositif "zone franche d'activité nouvelle génération" renforcé dans l'Est

    Dans un communiqué, le maire de Saint-Benoît et président de la Cirest Patrice Selly salue "une victoire politique pour l’Est de La Réunion et un signal fort envoyé à notre territoire".

    "Depuis des mois, j’ai porté avec constance, en tant que Président de la CIREST et Maire de Saint-Benoît, la voix d’un territoire trop longtemps relégué en marge des dynamiques économiques de l’île. J’ai plaidé avec détermination pour la création d’une Zone Franche d’Activité Totale (ZFAT), convaincu que seule une action audacieuse et ciblée pouvait redonner à notre microrégion les leviers de son développement", écrit-il.

    "Je me félicite de l’évolution décisive obtenue : le renforcement du dispositif ZFANG, avec des abattements élargis et mieux adaptés à nos réalités locales. C’est une victoire politique claire, une reconnaissance de notre singularité territoriale et du bien-fondé de notre combat", annonce--til.

  • Les professionnels de santé veulent une rencontre officielle avec Macron et le ministre de la Santé

    Force Ouvrière réclame une rencontre avec la Président de la République, et son ministre de la Santé.

    "Nous sommes, l’ensemble des professionnels de santé de La Réunion, dans un réel état de sidération. L’hôpital public réunionnais fonctionne seulement sur la résilience de professionnels de santé engagés, avec un dévouement sans faille. Aujourd’hui, le burn out est présent dans tous les services de soins. Mais aujourd’hui c’est trop, stop ! Les limites sont franchies", dénonce David Belda dans un communiqué.

    "En effet, l’ensemble des membres du gouvernement, ainsi que notre Président, se déclarent concernés par les problématiques sanitaires de la Réunion, mais ils refusent de nous rencontrer !", ajoute-t-il.

  • Emmanuel Macron annule sa visite à Maurice

    La visite officielle du président Emmanuel Macron à Maurice, initialement prévue pour les 24 et 25 avril, a été annulée, annonce Défi Média.

    Cette décision fait suite à l'annonce des funérailles du pape, auxquelles le président assistera afin de représenter la France ce samedi.

  • Cyrille Melchior propose la création d’un pôle indopacifique de recherches appliquées

    À l’occasion de la visite du Président de la République Emmanuel Macron à La Réunion, Cyrille Melchior, président du Département, a proposé la création dans l’île d’un Centre de recherche en sciences sociales et anthropologiques appliquées aux épidémies émergentes dont le chikungunya.

    "Intégré au Réseau Anthropologique des Épidémies Émergentes (RAEE), ce centre viendrait compléter l’expertise biomédicale existante sur le territoire", précise Cyrille Melchior. 

    L’objectif est de mieux comprendre les dynamiques sociales, culturelles et environnementales favorisant l’émergence et la propagation des maladies infectieuses. Ce centre permettrait ainsi de positionner La Réunion comme un pôle stratégique dans l’axe indopacifique, en devenant une « Station S » – pour Santé – de référence".

    Le président Emmanuel Macron s’est montré fortement intéressé par ce projet qui s’inscrit dans une ambition plus large : "faire de La Réunion un laboratoire de la transition entre puissance maritime et puissance environnementale, et incarner la France Océanique dans toute sa dimension".

  • Olivier Fontaine président de la Chambre d'agriculture : "le monde agricole est toujours un peu en colère"

    "Nous ne sommes toujours pas satisfaits" ne cache pas Olivier Fontaine, président de la Chambre d'agriculture, interrogé par Imaz Press.

    "Lors de sa visite en avril, Manuel Valls nous avait dit que des annonces supplémentaires seraient faites par le président de la République. Force est de constater que le compte n'y est toujours pas. C'est la raison pour laquelle le monde agricole est toujours mitigé et un peu en colère après cette visite" dit le dirigeant de la chambre syndicale.

    "Les 244 millions d'euros (dont a parlé Emmanuel Macron – ndlr) sont le total des aides que nous avons tous les ans. Il faut souligner que leur montant a été maintenu - malgré les restrictions budgétaires -, et que certaines d'entre-elles seront versées plus rapidement que prévu, c'est bien, mais nous avons besoin d'une plus grande réactivité de la part de l'Etat" détaille Olivier Fontaine.

    "Le président s'est engagé politiquement à soutenir le monde agricole, mais le temps presse, nous avons besoin de concret. Cela étant dit, nous resterons force de proposition. Le président nous a compris, nous espérons qu'il sera suivi par le gouvernement" termine-t-il.

  • Guillaume Sellier (Jeunes agriculteurs) : "il n'y a rien de neuf, loin s'en faut !"

    Les déclarations d'Emmanuel Macron concernant les filières agricoles n'ont pas convaincu Guillaume Sellier, dirigeant des Jeunes agriculteurs. "Il n'y a rien de neuf, loin s'en faut !" dit-il.

    "Les (244) millions annoncés proviennent des aides qui nous (les planteurs de cannes - ndlr) sont dues sur une année" explique le dirigeant syndical. "Certes, le versement va être anticipé et nous en prenons acte mais il n'y a pas grand chose en termes d'annonces nouvelles et concrètes" ajoute-t-il.

    "En tout cas elles ne sont pas à la hauteur de nos espérances et surtout elles ne prennent pas en compte l'ampleur des dégâts causés par les cyclones et à la sécheresse" dit encore Guillaume Sellier.

    Parmi les annonces se trouve l'augmentation de l'aide pour les surcoûts liés aux aléas climatiques. Emmanuel Macron a déclaré à ce propos :"il faut qu’on puisse monter cet effort autour des 1.000 euros à l’hectare (…) dans les zones les plus touchées il faut passer à une aide plus importante".

    Cette aide à l'hectare ne concerne que la canne à sucre et son augmentation annoncée ne concernera que "les régions nord et est" note le dirigeant syndical.

    Lors de sa visite à La Réunion, Manuel Valls, ministre des outre-mer, avait annoncé le 7 avril "une aide ponctuelle correspondant à 40% des besoins chiffrés par l'interprofession" soit "385 euros par hectare et jusqu'à 765 euros par hectare en fonction des dégâts causés par Garance"

    Le président de la République a aussi annoncé la tenue d'une table ronde avec tous les acteurs des filières agricoles pour discuter des problématiques de ce secteur, "mais la date n'a pas été fixée" note Guillaume Sellier.

  • Emmanuel Macron à Bras-Panon pour une séquence économie

    Après les agriculteurs, Emmanuel Macron est à Bras-Panon pour échanger avec les acteurs économiques et des représentants de la filière agroalimentaire de l’île.

  • Le milieu association, oublié de la visite

    Le Mouvement associatif de La Réunion déplore que les acteurs associatifs soient les grands oubliés de la visite sur l’île du Président de la République, comme cela avait déjà été le cas lors des récentes visites du ministre des Outre-mer.

    On compte 16.000 associations à La Réunion, mobilisant près de 130.000 bénévoles, et employant plus de 22.000 personnes, soit 11% de l’emploi privé du territoire. L’action des associations est absolument essentielle pour assurer le fonctionnement de la plupart des politiques sociales et médico-sociales sur l’île : accueil des personnes en situation de handicap, accueil de la petite enfance, accueil des personnes âgées, aide à domicile, hébergement d’urgence, aide aux plus démunis, lutte contre les violences intra- familiales, et la liste est encore longue... 

    Lire ici.

  • La mission de lutte antivectorielle menée conjointement par l’ARS et le service militaire adapté présentée au président

    Manuel Rodicq, responsable au service de lutte anti-vectorielle au sein de l'ARS, rappelle au président que ce métier de la lutte anti-vectorielle n'est pas simple. "Tous les jours au contact de la population, dans des conditions difficiles", dit-il. Écoutez.

    Sur place, les équipes de l'ARS expliquent au président de la République la façon dont elles procèdent pour éliminer les gîtes larvaires. Regardez.

  • La lutte antivectorielle n'a jamais arrêté une épidémie", déclare Gérard Cotellon

    Gérard Cotellon évoque la nouvelle stratégie de lutte contre le chikungunya. "Au niveau de la lutte anti-vectorielle nous avons doublé les équipes plus les renforts des 800 Pec (LAV) et 120 militaires du RSMA."

    La stratégie est : "nous intervenons sur les cas isolés, dès le premier cas, toutefois la lutte antivectorielle n'a jamais arrêté une épidémie", dit-il.

    Depuis le début de l'épidémie, plus de 50.000 maisons ont été visitées.

  • L'ARS annonce le décès d'un nourrisson du chikungunya

    Lors de la visite à Saint-Benoît, le directeur de l'Agence régionale de santé, Gérard Cotellon, a annoncé le décès d'un nourrisson des suites du chikungunya. Ce qui porte à sept le nombre de personnes décédées du virus à La Réunion.

    Le nouveau-né est mort d'une encéphalite. C'est une inflammation du cerveau qui se produit lorsqu'un virus infecte directement le cerveau ou lorsqu'un virus, un vaccin ou autre chose déclenche une inflammation.

    Le directeur de l'ARS évoque avec le président l'épidémie de chikungunya. "Nous sommes montés jusqu'à 22.000 consultations par semaine", dit-il. Évoquant l"immunité, Gérard Cotelon indique que "1 % des cas échappent à cette immunité". Il explique : les "cas graves concernent les âges extrêmes de la vie".

    Lire l'article ici

  • Le président de la République à Saint-Benoît pour lutter contre les moustiques

    Ce mardi après-midi, Emmanuel Macron est arrivé à Bras-Canot, Saint-Benoît, pour une séquence dédiée à la lutte contre le chikungunya. Regardez.

    Sont présents : Cyrille Melchior, président du Département, Audrey Bélim, sénatrice, Laëtitia Lebreton, conseillère régionale, ainsi que le maire de Saint-Benoît, Patrice Selly.

    Lire aussi - Chikungunya : "nous avons acheté toutes les doses de vaccin" a indiqué le ministre de la Santé

  • Emmanuel Macron s'adresse aux agriculteurs de La Réunion

    Il débute en déclarant : "il faut s'adapter de manière récurrente à ces défis", dit-il, évoquant le passage du cyclone Garance sur La Réunion. "Pour nous, Garance c'est situation exceptionnelle."

    244 millions d'aides ont été débloquées pour La Réunion dont 145 millions pour la filière canne et sucre. "Il y a un effort fait et permet d'accompagner une partie de la filière", lance Emmanuel Macron.

    Le président poursuit en déclarant : "il faut se mettre autour de la table avec toutes les filières pour évoquer un dispositif d'urgence Réunion, avec un regard particulier sur la canne".

    La suite c'est aussi "renforcer ce qui a été fait" pour "rebâtir une nouvelle étape et la transformation" a indiqué le président de la République

    Emmaniel Macron souhaite améliorer l’accompagnement des planteurs avec une hausse de la prise en charge des surcoûts pour les aléas climatiques pouvant aller jusqu’à 1.000 euros par hectare.

    Lors de son passage à La Réunion, Manuel Valls, ministre des outre-mer, cité par Pierre-Emmanuel Thonon, président du comité interprofessionnel de la canne et du sucre, avait annoncé "une aide ponctuelle correspondant à 40% des besoins chiffrés par l'interprofession" soit "385 euros par hectare et jusqu'à 765 euros par hectare en fonction des dégâts causés par Garance"

    Le discours d'Emmanuel Macron a laissé les agriculteurs sur leur faim. "La réponse (de l'État) n'est pas à la hauteur des demandes" ont souligné plusieurs exploitants agricoles.

  • Ministre de la Santé : "nous avons acheté toutes les doses de vaccin" contre le chikungunya

    Yannick Neuder, ministre de la Santé, est allé à la rencontre des professionnels de santé à l'ARS (Saint-Denis).

    Les discussions ont notamment porté sur l'épidémie de chikungunya. "Nous avons acheté toutes les doses de vaccin" contre le virus, a indiqué le ministre

    100.000 doses étaient disponibles sur le marché a aussi souligné Yannick Neuder, qui déplore "une résistance (de la popoulation) face à la vaccination". Regardez

  • Sécheresse, cyclones et maladies tropicales frappent l'agriculture réunionnaise

    Cyrille Melchior, président du Département était également de la visite. Il a déclaré : "il n’y a pas que les cyclones, aussi sécheresse, maladies tropicales (mouche des fruits ..) qui frappent notre agriculture".

    Il faut "aller vers plus de production avec une meilleure qualité".

    "Nous avons atteint un niveau qui peut être regardé de manière positive (au-delà des aléas )", ajoute-t-il.

    900 demandes ont été présentées au Département après le passage du cyclone Garanc. 600 dossiers considérés comme complets. Le Département rappelle qu'il a mis 15 millions d'euros sur la table pour aider les agricultures.

    Cyrille Melchior évoque également l'aide mobilisée par l'UE au bénéfice de cinq pays pour des aléas climatiques. "La France pourrait demander à en bénéficier", dit-il.

  • "L’énergie renouvelable c’est la canne à sucre", lance Huguette Bello

    Présente à l'usine de Bois-Rouge, la présidente de Région, Huguette Bello. Selon la présidente du Conseil régional, "l’énergie renouvelable c’est la canne à sucre. La diversification est venue avec la canne", dit-elle.

    70% des produits exportés de La Réunion sont "le sucre et le rhum", dit-elle.

    La présidente évoque Madgascar. La Grande île "a des millions d’hectares de terre, je leur ai dit, plantez un peu pour nous".

  • Saint-Benoît : à Bras-Canot, l'ARS et le RSMA mobilisés contre le chikungunya

    Ce mardi 22 avril, le président de la République se rendra à Bras-Canot à Saint-Benoît pour assister à une opération de démoustication. "Ce site a été choisi car stratégique à côté d’une école où une opération de sensibilisation a été organisée ce matin", explique un agent de l'ARS. Écoutez Manuel Rodicq, responsable au service de lutte anti-vectorielle au sein de l'ARS.

    Le RSMA - mobilisé en renfort - intervient pour débroussailler et faire du porte à porte à vue de sensibilisation contre les gîtes larvaires.
    chikungunya.

  • "Monsieur le président, l'agriculture de La Réunion est à terre"

    L'agriculture de La Réunion a vécu une série de catastrophes ces dernières années. "Nous avons eu le cyclone Belal en 2024, ensuite il y a eu la sécheresse, cette année il y a eu Garance. On ne pourra pas sortir de cette situation sans un signal fort du gouvernement" déclare Olivier Fontaine, président de la chambre d'agriculture, à Emmanuel Macron.

    "Notre agriculture est à terre. On veut pas passer notre temps à taper sur l’état, mais on a besoin d’un signal fort Monsieur le Président" ajoute-t-il.

    Florent Thibault, directeur de Tereos, abonde dans ce sens. "L'État n’est pas en mode urgence.. Nous ne travaillons pas assez bien avec le ministère de l’agriculture. La question est de savoir comment rebâtir durablement la filière canne pour qu’on puisse se relever structurellement".

    Le dirigeant de l'usine sucrière insiste : "si on n’arrive pas à avoir un soutien rapide de l’Etat .. (les agriculteurs) n'auront pas de trésorerie pour payer (leurs frais) et 2026 on ne verra pas le jour".

    "Nul ne sous estime le caractère exceptionnel de ce que vous avez vécu en février" a répondu le président de la République.

     

  • Le président de la Chambre d'agriculture alerte sur la situation agricole

    À l’occasion de la visite présidentielle dans l’île, Olivier Fontaine, président de la Chambre d’agriculture de La Réunion, a rencontré le Président de la République Emmanuel Macron et la ministre de l’Agriculture Annie Genevard.

    Lors de cet échange direct, il a tenu à rappeler "l’urgence d’indemniser rapidement les filières agricoles lourdement impactées, ainsi que la filière canne", indique la Chambre. 

    "Je le dis clairement : actuellement, on est dans l’insuffisance. Notre agriculture est à terre ! Et on ne pourra pas sortir de cette situation si nous n’avons pas un signe fort de l’État. Les agriculteurs sont dans un état très grave !", indique le président de la chambre.

  • Emmanuel Macron en visite à l'usine sucière de Bois Rouge

    Le président de la République vient d'arriver à l'usine de Bois Rouge à Saint-André.

    Il est en compagnie de Annie Genevard, ministre de l'Agriculture. Un état des lieux de l'agriculture réunionnaise va leur être présenté. Sont présents sur place : Serge Hoareau, président de l'association des maires de La Réunion et délégué à l'agriculture au Département, Huguette Bello, présidente de Région et les syndicats agricoles (Upna, JA, CGPER, FDSEA).

    Deux mois après Garance, les doléances sont nombreuses. Les agriculteurs sont en première ligne pour cette visite : entre les aides post-Belal qui n'ont toujours pas été versées, les dommages causés par le cyclone Garance, et la sécheresse qui a touché La Réunion, la profession enchaîne les difficultés.

    "Dans un contexte particulièrement tendu, l’ensemble des filières agricoles attend des réponses concrètes, adaptées à leurs réalités et aux enjeux auxquels elles font face telles que les pertes dues au cyclone Garance, l’augmentation continue des coûts de production, les difficultés d’accès à l’eau et au foncier, ou encore les nécessaires adaptations face au changement climatique", rappellent les Jeunes agriculteurs.

  • Emmanuel Macron se dit "mobilisé" dans la lutte contre le chikungunya

    Lors de sa rencontre avec la foule, Emmanuel Macron a évoqué le vaccin contre le chikungunya. "On est mobilisé. Les doses ont été livrées", dit-il, évoquant l'ouverture de la vaccination à un public plus large.

    "Les services de santé sont pleinement mobilisés", ajoute le président. "On est tous mobilisés mais c'est un énorme sujet de santé publique."

    Il annonce par ailleurs que Yannick Neuder se rendra au CHU dans les services pédiatriques et néonatalogies pour "accompagner les professionnels de santé". Le chef de l'État ajoute : "si des renforts doivent être mis en place ils seront mis, c'est ce que vient analyser le ministre de la Santé".

  • Emmanuel Macron en visite à la cathédrale de Saint-Denis

    Monseigneur Pascal Chane-Teng, évêque de La Réunion, a proposé à Emmanuel Macron de venir à la Cathédrale de Saint-Denis. "C’est une manière d’avoir une pensée pour le Pape François" a-t-il dit.

    Le président a accepté. Accompagné de Brigitte Macron et de Manuel Valls, minsitre des Outre-mer, il s'est donc rendu à la Cathédrale.

    La directrice de la Direction régionales des Affaires culturelles (Drac) lui a fait un point sur les travaux de rénovation de l'édifice religieux.

    Le président de la République a également annoncé qu'il se rendra aux obsèques du pape François.

  • La maire de Saint-Denis obtient une entrevue avec le Président de la République sur la situation critique des Missions Locales

    Alors que l’État rend des arbitrages préoccupants sur le financement des Missions locales, la maire de Saint-Denis, Ericka Bareigts, a officiellement sollicité une entrevue avec le Président de la République.

    "Ce matin je suis venue avec un t-shirt Missions locales", dit-elle. "Les Missions locales c'est plus de 29.000 prises en charge de jeunes, 39% de nos jeunes de 15 à 24 ans au chômage et aujourd'hui il y a une baisse de budget de 7% et donc il y a désormais 6.600 jeunes qui auront une prise en charge dégradée ou seront laissés sur le chemin", interpelle l'élue. Écoutez.

    La maire qui a réussi a obtenir un rendez-vous "pour lui dire le sujet et demander à accompagner nos jeunes, notre avenir".

    Ericka Bareigts demande au président "de l'écoute et d'ouvrir ses chakras".

  • Emmanuel Macron fait un chifoumi avec un jeune adolescent

    Le président Emmanuel Macron poursuit son tour des salutations du public venu le rencontrer.

    Il s'est même amusé à faire un "chifoumi" avec le jeune garçon. Regardez.

    De son côté, la première dame fait des selfies avec la population. Regardez.

  • Le président de la République à la rencontre des Réunionnais

    Après la cérémonie républicaine, Emmanuel Macron est allé saluer les personnes présentes.

    Le chef de l'État a été interpellé par un habitant sur l'exclusion sociale des personnes en situation de handicap. "On manque de moyens", lui dit-il. "Il faut agir", lance-t-il au président. Écoutez.

    Le président échange également avec des jeunes en Service civique et des membres des associations de seniors.

  • Emmanuel Macron procède au dépôt d'une gerbe accompagné d'un ancien combattant

    À Saint-Denis, le président de la République a déposé une gerbe sur le monument aux morts de Saint-Denis.

    Il était accompagné de Pierre Verdet, ancien combattant décoré par ses soins au rang de grand officier de la légion d’honneur. Regardez.

     

    Après le dépôt de gerbe, Emmanuel Macron rencontre désormais les anciens combattants, accompagné de son épouse, la première dame, Brigitte Macron, de Manuel Valls, ministre des Outre-mer et du préfet Patrice Latron. Regardez.

    Le président poursuit son tour de salutations. Regardez.

  • Emmanuel Macron au monument aux morts

    Ce mardi 22 avril, la journée débute à Saint-Denis avec une cérémonie de dépôt de gerbe au monument aux morts, à 9 heures. 

    Par arrêté préfectoral, la circulation est modifiée dans les rues du chef-lieu.

  • Unité police FO 974 - "La police aux frontières est le parent pauvre de la direction territoriale de la police"

    Unité police FO 974 alerte Monsieur le Président de la République sur le manque de moyens humains alloués à la PAF de La Réunion.

    Premier aéroport d’outre-mer et 11éme de France , la Police aux Frontières de La Réunion est la seule au niveau national à ne pas avoir une unité spécialement dédiée à la garde du centre de rétention administrative ( CRA ).

    Véritable rempart dans la lutte contre l’immigration irrégulière et contre les trafics en tous genres, notre frontière se doit d’avoir les mêmes moyens sur l’ensemble du territoire.

    Malgré un audit national estimant le déficit actuel à 38 Policiers, comment comprendre que la direction locale, la DTPN, n’ y affecte que 3 gardiens de la paix en avril et zéro policiers adjoints sur les 14 recrutés ?

    La frontière à La Réunion c’est 2,7 millions de passagers par an.

    La frontière à La Réunion c’est un taux annuel d’ouverture du CRA qui passe de 15 % en 2023 à plus de 80 % en 2024.Et l’année 2025 tend visiblement à supplanter ces chiffres .

    La frontière à La Réunion c’est 101 reconduites en 2024.

    La priorité gouvernementale de lutte contre l’immigration ne doit pas être occultée localement.

    Unité police FO 974, il y a urgence à ce que notre frontière devienne elle aussi une priorité.

    Unité police FO 974 remettra un dossier complet sur la situation aux conseillers de Monsieur le Président de la République.

  • Saint-Benoît restreint la circulation

    - Circulation interdite

    Mardi 22 avril de 11h à 14h :

    - Avenue Francois Mitterrand, entre le rond-point de la cite Fragrance et la rue Leconte de Lisle
    - Echangeur Leconardel, dans les deux sens de circulation -> déviation mise en place par la rue Raymond Barre et l’échangeur de Beaulieu)

    Mardi 22 avril de 13h à 15h30 :

    - Chemin Prevoisy, portion entre la RD54 et l’angle du terrain de foot -> deviation par le chemin Zitto et le chemin Bras Madeleine pour acceder au haut du chemin Prevoisy
    - Plusieurs intersections sur la RD54 : Rue Sarda Garriga, Chemin David Moreau, Lotissement Les Clarisses, Chemin Pinguet -> deviation par la RN3 pour sortir de Bras-Fusil

    - Stationnement interdit

    Du mardi 22 avril à partir de 00h00 jusqu’à 15h30 :

    - Avenue Francois Mitterrand, portion entre le rond-point de la cite Fragrance et la rue Leconte de Lisle
    - Parkings de la sous-prefecture de Saint-Benoit
    - Parkings du CASE de Bras-Canot ainsi que le terrain vague situe en face
    - RD54, portion entre le chemin Prevoisy et la RN2

    Tout véhicule stationné en infraction pourra être enlevé et les contrevenants s’exposent à des sanctions conformément au Code de la route.

    Lire aussi - Le président de la République à La Réunion : de nombreuses restrictions de circulation

  • De nombreuses restrictions de circulation

    La présence du président de la République et de plusieurs ministres du gouvernement nécessite de mettre en œuvre un dispositif adapté afin de garantir leur sécurité ainsi que celles des Réunionnais.

    En lien étroit avec les forces de l’ordre et les collectivités concernées, le préfet de La Réunion a défini des périmètres de protection au sein desquels l’accès et la circulation seront strictement règlementés :

    - Secteur Barachois :

    La circulation des véhicules sera interdite :
    Le mardi 22 avril 2025 de 16h30 jusqu’à 23h00 ;
    Le mercredi 23 avril à 08h00 jusqu’à 10h00 .

    - Secteur Monument aux Morts : le mardi 22 avril en matinée, les accès seront possibles que pour les seuls riverains, travailleurs et ayant-droits (livraisons impossibles), sur la base d'un justificatif et de la présentation d'une pièce d'identité.

    La circulation des véhicules sera interdite le mardi 22 avril 2025 de 05h00 jusqu’à 12h00 ;
    Le stationnement des véhicules sera interdit sur les deux côtés des voies du lundi 21 avril 2025 à 17h00 jusqu’au mardi 22 avril 2025 à 12h00 ;
    La rue Lucien Gasparin sera interdite aux véhicules le mardi 22 avril de 08h00 jusqu’à 11h.

    - Secteur Hôtel de Préfecture :

    Le stationnement des véhicules sera interdit du lundi 21 avril 2025 à 09h00 au mercredi 23 avril 2025 à 12h00.

    La circulation sera maintenue pour les véhicules de secours dûment autorisés.

    En fonction des conditions de circulation constatées, des déviations pourront être mises en place. Les informations en temps réel seront disponibles sur le site internet ainsi que sur la page Facebook officielle.

    Lire aussi - Visite présidentielle : la préfecture invite à "anticiper, limiter ou reporter ses déplacements"

  • Économie, sanitaire et climat au programme d'Emmanuel Macron

    Le président poursuit ainsi une tournée de cinq jours dans le sud-ouest de l'océan Indien qui le mènera aussi à Madagascar mercredi et l'île Maurice vendredi. Il abordera à La Réunion lesgrands enjeux propres à la région ultramarine la plus peuplée de France : sa place stratégique au cœur de l’océan Indien, le rôle régional qui lui incombe, ainsi que les défis économiques, sanitaires, agricoles et climatiques.

    09h00
    Cérémonie de dépôt de gerbe au monument aux morts.
    Colonne de la Victoire, Saint-Denis de la Réunion

    11h30

    Rencontre avec des exploitants agricoles pour aborder les enjeux de
    souveraineté alimentaire.

    13h30

    Présentation d’une mission de lutte antivectorielle menée conjointement par
    l’ARS et le service militaire adapté, pour prévenir la propagation de
    chikungunya.

    15h30
    Echanges avec les acteurs économiques et des représentants de la filière
    agroalimentaire de l’île.

    18h30
    Entretien avec les représentants des collectivités territoriales.
    Préfecture de la Réunion

    19h00
    Remise de décoration collective.
    Préfecture de la Réunion

  • Macron annonce un plan à plus de 3 milliards pour la "refondation" de Mayotte

    À Mayotte, il a annoncé lundi une enveloppe de plus de trois milliards d'euros sur six ans pour financer le plan de "refondation" du département le plus pauvre de France, meurtri par le cyclone Chido en décembre.

    Le président est arrivé avec, dans ses cartons, un projet de loi pour « la refondation » de l’archipel, qui vise à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine, l’habitat illégal, l’insécurité et à soutenir l’économie locale.

    "Mayotte a un avenir dans cette région si nous y mettons les moyens", a-t-il déclaré devant des élus mahorais.

    Le texte de loi sera voté d’"ici l’été", a-t-il promis.

    Lire ici.

  • Bonjour La Réunion,

    Après Mayotte, Emmanuel Macron est arrivé ce lundi soir à La Réunion. Il est attendu sur l'épidémie de chikungunya et les dégâts provoqués par le cyclone Garance.

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Souveraineté alimentaire, aléas climatiques, chikungunya…Le programme est vaste, pour une courte visite organisée en amont du sommet de la Commission de l'océan Indien qui se tiendra à Madagascar le 24 avril.

Des échanges avec la population réunionnaise concernant "l'agriculture locale, touchée par les aléas récents ainsi que la reconstruction à l'issue du passage du cyclone Garance" sont prévus, précise l'Elysée.

Des discussions relatives aux enjeux sanitaires dans le contexte de l'épidémie de chikungunya, une rencontre avec les acteurs économiques de l'île et les élus sont aussi au programme. La "réaffirmation du rôle stratégique de La Réunion dans la zone indopacifique" sera aussi abordée.

- Le chikungunya au coeur de la visite -

Alors que l'épidémie est toujours aussi active, le chikungunya sera l'une des thématiques principales de cette visite officielle.

Quatre nouveaux décès en lien avec le virus ont été confirmés dans le dernier bulletin de Santé Publique France, et 4.913 nouveaux cas ont été confirmés.

"Depuis le début de l’année, six décès (...) chez des personnes de plus 70 ans porteuses de comorbidités ont été classés comme liés au chikungunya", a précisé SPF. Les deux premiers morts liés au virus avaient été annoncés par les autorités sanitaires le 21 mars dernier.

L’épidémie est toujours considérée comme "généralisée et majeure", "cependant, les indicateurs en lien avec le chikungunya en médecine de ville et aux urgences amorçent une baisse" a noté Santé Publique France.

Selon, Gérard Cotellon, directeur de l'Agence régionale de santé, ce chiffre serait largement sous-estimé

"Je pense que nous avons franchi depuis le début de l'épidémie, les plus de 100.000 Réunionnais touchés par le virus (du chikungunya)" a déclaré Gérard Cotellon, lundi matin lors de la présentation publique du "plan d'actions global contre le moustique" mis en place par la mairie de Saint-Denis.

- L'agriculture dans l'attente -

Deux mois après Garance, les doléances sont nombreuses. Les agriculteurs sont en première ligne pour cette visite : entre les aides post-Belal qui n'ont toujours pas été versées, les dommages causés par le cyclone Garance, et la sécheresse qui a touché La Réunion, la profession enchaîne les difficultés.

"Dans un contexte particulièrement tendu, l’ensemble des filières agricoles attend des réponses concrètes, adaptées à leurs réalités et aux enjeux auxquels elles font face telles que les pertes dues au cyclone Garance, l’augmentation continue des coûts de production, les difficultés d’accès à l’eau et au foncier, ou encore les nécessaires adaptations face au changement climatique", rappellent les Jeunes agriculteurs.

"Nous souhaitons insister sur l’importance stratégique de mesures rapides et adaptées. L’absence de réponse à la hauteur des attentes serait vécue comme une véritable déception et pourrait avoir des répercussions importantes sur le terrain", signalent-ils.

 "La vie est 37% plus cher à La Réunion sur l’alimentaire et 36% de la population vit sous le seuil de pauvreté et avec un taux de chômage de 17% et de 29% chez les jeunes. La population a beaucoup de mal à se nourrir et à se loger actuellement", a par ailleurs alerté Jean-Michel Moutama, président de la CGPER.

- Une situation locale tendue -

Avant l'arrivée d'Emmanuel Macron, la présidente de Région Huguette Bello a tenu à rappeler l'urgence sociale, économique et sanitaire que connaît La Réunion.

Malgré le contexte international - entre la guerre en Ukraine et l'administration américaine - Huguette Bello rappelle le président que : "ce contexte ne doit pas conduire à sous-estimer la situation de crise structurelle et conjoncturelle qui prévaut dans les territoires ultra-marins, ni faire oublier les retards en matière d’investissement dont ils souffrent toujours".

La question de la vie chère est également au centre des préoccupations de la population réunionnaise. "Comme nous l’avons à plusieurs reprises exposé, la fiscalité, qu’il s’agisse de l’octroi de mer ou de la TVA, n’est pas la cause de la vie chère. C’est le modèle économique dont il est question. Comment prétendre avoir des prix alignés sur la France continentale si nos produits doivent parcourir 10.000 kilomètres ?", demande Huguette Bello à Emmanuel Macron.

Le logement est aussi un marqueur de la crise économique et sociale. Alors que 40.000 ménages sont en attente d’un logement, "le nombre de livraison annuelle de logements sociaux est à un niveau historiquement bas, atteignant péniblement 2.000 alors qu’il faudrait en construire chaque année au moins le double", indique la présidente dans son courrier.

- Une journée à Mayotte -

Avant La Réunion, Emmanuel Macron s'est rendu à Mayotte lundi pour échanger sur la future loi de programmation et sur la relance du territoire.

Quatre mois après le passage du cyclone qui a fait quelque 40 morts et causé 3,5 milliards d’euros de dommages, le chef de l’Etat est venu accompagné de son épouse Brigitte, des ministres Manuel Valls (Outre-mer), Annie Genevard (Agriculture), Yannick Neuder (Santé) et Thani Mohamed-Soilihi (Francophonie).

"Mayotte a un avenir dans cette région si nous y mettons les moyens", a-t-il déclaré devant des élus mahorais.

Le président est arrivé avec, dans ses cartons, un projet de loi pour « la refondation » de l’archipel, qui vise à renforcer la lutte contre l’immigration clandestine, l’habitat illégal, l’insécurité et à soutenir l’économie locale.

L’enveloppe de ce plan sera de 3,2 milliards d’euros entre 2025 et 2031, selon l’Elysée, et son financement proviendra de "fonds nationaux", mais aussi "européens" et de "bailleurs internationaux" qu’Emmanuel Macron a dit vouloir mobiliser. Le texte de loi sera voté d’"ici l’été", a-t-il promis.

Devant lui, plusieurs élus locaux ont fait état d’une situation très précaire, dénonçant le manque d’eau, l’inquiétude face au chikungunya, ou encore le retard pris par de nombreux dispositifs promis après le cyclone.

Emmanuel Macron a assuré que les prêts à taux zéro étaient "en train d’arriver" et invité les banques comme les assurances à s’en "tenir aux textes" sans "compliquer les choses pour ne jamais payer". Il a également indiqué que la campagne de vaccination contre le chikungunya commencerait dès mardi.

Le chef de l’Etat qui avait promis en 2019 une piste longue à l’aéroport de Mayotte, sur Petite Terre, afin de faciliter l’atterrissage des gros porteurs, a concédé une impossibilité pour raisons techniques, et invité à s’en remettre à la solution alternative d’un nouvel aéroport sur Grande Terre.

Et alors que Mayotte est confronté à un défi migratoire, notamment en provenance des Comores voisines, il a promis qu’en la matière, "d’ici un an, les choses auront profondément changé".

www.imazpress.com / redac@ipreunion.com avec l'AFP

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11 Commentaires
Alain
Alain
2 jours

La ministre de l'agriculture supporte t'elle tous ces métis autour d'elle? Je m'inquiète, rassurez moi....

Mouni
Mouni
2 jours

Faut le ministre sa fai pique a li déjà.Macron i aime sa li Nena l habitude fai pique a li. A Nou le couillon pou accueil la merde comme sa

Missouk
Missouk
2 jours

Il est venu avec ses gants de boxe pour lutter contre les moustiques ? Il va comme d'habitude promettre monts et merveilles et aura tout oublié dès qu'il sera monté dans l'avion. Rarement la France aura eu un si mauvais président.

Fanch
Fanch
2 jours

Macron n'a rien fait pour la France depuis 8 ans. C'est un désastre total.
Agriculteurs, Éducation Nationale, Santé, Police, Justice, Pouvoirs d'achats, réforme des retraites aberrant, sécurité, emploi.
10 milliards d'euros à l'Ukraine et les français ?

Pierrot 974
Pierrot 974
2 jours

Oh que si, il a fait ! Il a continué avec zèle la casse soutenue par son papa Hollande.
Et maintenant, il va nous faire les poches pour trouver ses 40 milliards (c'est la somme offerte chaque année aux entreprises du CAC 40, sans leur demander aucune contrepartie).

Gimi974
Gimi974
2 jours

Mes remerciements à IMAZPRESS Réunion pour ne pas mentionner le titre de "Président" à Monsieur MACRON (Titre qui en ce qui me concerne à perdu depuis longtemps). Monsieur MACRON aura eu le même pouvoir destructeur pour les français que le Gliphosate pour nos abeilles.

HULK
HULK
2 jours

Les élu(e)s devaient boycotter la visite de MACRON. Finalement ils iront tous à la soupe, comme d'habitude, pour rien. Il n'en a rien à foutre mais ici va la politique. On se demande bien quels pouvoirs il reste à cet autocrate méprisant qui n'est bon qu'à faire le kakou?

Daniel Faivre
Daniel Faivre
2 jours

Macron méprise les retraités très pauvres, le harcèlement de toutes les administrations, qui créer plus de misère sociale

Pierrot 974
Pierrot 974
3 jours

Tous ces voyages inutiles (il y a d'autres moyens de faire des constats et faire des promesses... non tenues plus tard) participe sûrement aux efforts économiques que son gouvernement impose aux pauvres pour gratter, dans leurs poches, les centaines de milliards qu'il a offerts aux actionnaires depuis 7 ans.

MARIMAR
MARIMAR
3 jours

Que va t-il faire de plus sinon des promesses.
J'adore quand on parle de souveraineté alimentaire ! On va planter où face à la construction massive que réclame une surpopulation intensifiée par les problèmes que rencontrent les populations des îles voisines.
À quand le grand réveil des élus locaux à ce sujet.
Il suffit de se documenter surtoutes les terres agricoles déclassées à tout va pour avoir une idée des dégâts occasionnés déjà et à venir.
Quant au chikungunya, de jeter moins de déchets dans nos ravines et ailleurs participerait grandement à diminuer la surpopulation des moustiques et par conséquent les risques d'une 3eme épidémie.
En clair, il faudrait que la population reunionnaise se reprenne en main et il y a urgence !!!

Dubitatif
Dubitatif
2 jours

Il n'y a pas d'autonomie alimentaire possible dans une île pauvre, ravagée par l'urbanisme et les cyclones. Ceux qui disent le contraire racontent des salades