Véritable machine à faire danser, le groupe Batida, portugais d'origine angolaise, a transmis le virus du kuduro au public présent ce samedi 8 octobre 2011 devant la scène du hall Karousel. On danse timidement ou non, à deux, seul ou en groupe. Les spectateurs conquis se mettent à imiter les danseurs du groupe qui semblent complètement possédés par la musique des quartiers défavorisés d'Angola. Une musique qui mêle break dance, semba, samples de musique africaine des années 60/70 et électro, sous fond de projections vidéo hallucinantes.
Les Réunionnais ont totalement adhéré au style très particulier et totalement déjanté de Batida. Né entre l'Angola et le Portugal, le kuduro a encore de beaux jours devant lui et s'annonce comme la danse du moment.MONDE Le fils du cinéaste Rob Reiner va être inculpé pour l'assassinat de ses parents








