Le Parc national de La Réunion a fêté ses cinq ans ce lundi 5 mars 2012, et sa charte devrait être finalisée d'ici la fin de l'année. Une charte qui prévoit, entre plusieurs autres éléments, une réglementation pour les professionnels de l'image et du son. Ils auront en effet l'interdiction d'exercer leur activité dans le Parc sans autorisation du directeur. Pour les particuliers, pas de souci à se faire, ils pourront continuer à photographier et filmer les sites sans problème, tant que photos et films ne sont pas à but commercial.
Si leur activité sera réglementée, les professionnels de l'image et du son pourront toutefois obtenir un accord pour la réalisation de films, de reportages, ou encore de documents didactiques et pédagogiques. "On demandera à être informé des projets professionnels pour vérifier qu'il n'y aura pas d'impacts négatifs sur la nature, mais aussi pour préserver l'esprit des lieux, et pour éviter que soient mises en valeur des pratiques contraires à notre réglementation", explique-t-on à la communication du Parc national.Les professionnels de l'image et du son ne verront-ils pas d'un mauvais ?il cette réglementation ? "Ça se passe bien dans d'autres parcs nationaux qui ont déjà adopté la réglementation, et puis, ici, on a déjà eu une phase de dialogue avec différents professionnels, ça n'a pas l'air de poser problème", répond le Parc national, ajoutant que "certains ont déjà pris l'habitude de demander des autorisations pour filmer, alors que pour l'instant, rien ne les oblige à le faire". Pour autant, les rédactions journalistiques de l'île, qui comprennent des photographes et des cadreurs professionnels n'ont pas été consultées. Ces derniers, amenés à couvrir des événements quotidien, "auront certainement une autorisation à l'année", suppose-t-on du côté de la communication.
Quant à savoir si le parc n'a pas l'impression de brimer la liberté d'expression, le service communication rétorque : "Non. Notre objectif n'est pas d'empêcher les professionnels d'exercer leur activité, nous souhaitons juste garder intacts les lieux. Par exemple, si on veut tourner une pub pour un 4x4 dans le Parc, vous comprendrez que ça dénature l'esprit des lieux". Le service ajoute que des équipes de tournage qui viennent en camion dans le parc, avec tous leurs équipements, peuvent représenter une gêne pour le calme des sites naturels, et pour le bien-être de la faune et de la végétation. Un photographe seul, lui, posera moins de problème. "Tout dépendra des demandes qui seront présentées", continue le Parc.
Par ailleurs, les professionnels pourront aussi être soumis au paiement d'une éventuelle redevance dont le montant sera fixé par le conseil d'administration du Parc national. La photo et les films amateurs, à but non commercial, resteront eux gratuits.
une grande partie d'une parc est départemento-domanial, et si le conseil général s'y mettait aussi a demander des sous aux vidéastes et photographes à grand renfort d'autorisation préalable, etc...???
Exact, y'en a un qui a trouvé un bon filon et qui se réserve l'exclu sur le parc afin, comme d'habitude, de laisser tous les autres sur la touche. Essayez de faire une belle photo d'une éruption, vous allez voir...
Mais ou est Serge Gelabert ?
Pour ceux qui n'ont pas encore accès au projet de charte (réclamez-le au parc ! ), vous pouvez avoir une idée de ce qui nous attend par exemple en téléchargeant la charte toute fraîche du parc du Mercantour sur le site web mercantour.eu. Prise de son et d'image : modalité 43 page 82 du document pdf.
Nos administratifs n'ont pas encore compris qu'en matière de création il n'y a pas de différence entre professionnels et amateurs ; d'autant que nombre d'amateurs tirent aujourd'hui profit de leurs talents (?) à travers des sites de distribution d'images qui concurrencent gravement les gens de métier.
Cependant, souvenez-vous du tournage de la pub Citroën dans les années 90. On s'était retrouvé avec 20 plots en béton abandonnés au sommet du Grand-Benare, dégueulasse. Et sur les bords de l'enclos côté piton Rouge on a encore 20 ans après des traces de l'enrobé posé là pour faire un bout de route.
Les gens respectueux n'auront pas de mal à être autorisés à travailler au cœur du parc et les autres agiront en marron, comme ils le font déjà aujourd'hui.
Kan nou voi kossa domoun i ékrit ds fois, mi pense que lé normal que néna in zié i pose dessus le ban zarticles, le ban photo...si zot la pas comris, c'est pas limage directement lé visé, c'est la communication lé fé avec... rappel azot lotre coup si zournal QU....n... banna i mét photo in lagame en parlant d'in lézard vert... etc... 2-3 journal( mi dit pas zot)penkor kompris, i dit enkor parc national des hauts... Ban zémissions télé issa roule en 4x4 su la plaine des sables... et puis, oublis pas ban zélico parle pas... poufé 2 fotos issa passe a out raz de tête...
Ils nous emmerdent tous ce pays devient un interdit pas de photo,pas de manif ,pas de verges,pas de baisse des prix,pas de volcan ,pas de virapoulet,pas de tram train ,pas de maison de civilisation ,pas de baisse des carburants,mais par contre on a droit a la plus grande esbrouf politique, 2000 bus ,la maison des grands travaux à 5000 ou 6000 euros de loyer ,les voyages dans la zone , où on invite les copains ,et après on nous dit il y a pas d'argent pour qui ? pour le peuple non ,pour les amis oui kréol ouv le zié
J'adore encore une magouille entre un photographe ou autre et la politique il y a un nom qualifier cà !vmonopoliser avec les dessous de table !
Stupéfiant et navrant ! La beauté de la Réunion n'est-elle pas reconnue et connue grâce au talent de photographes et autres professionnels de films ? Si l'objectif n'était pas de récupérer des taxes, on pourrait imaginer que les raisons invoquées, bien qu'imaginées par des esprits bizarrement soupçonneux et amoureux des règlementations, sont vraies ... Car ces professionnels devraient plutôt être payés pour la publicité réalisée !
Et bien moi je propose de façon concrète, à l'exception de la publicité, que si cela devait être ainsi, les professionnels de l'image ne photographient plus les responsables du parc et les élus ou fonctionnaires appartenant à leur administration de tutelle. Idem pour les caméramen.
Dans les journaux, presse et télé, plus d'image du président du parc, ni de sa direction, ni du président de Région, ni des membres du conseil scientifique ou du CA.
Bref, black out total d'image de ceux qui directement ou indirectement sont associés à l'administration du parc. ça devrait les calmer. Vous allez voir qu'ils ne tiendront pas tant pour eux l'image est vitale.
Et si il persistent, en plus de cela, plus un mot concernant le parc ni dans les télés, ni dans la presse locale.
Faisons une table ronde en préfecture avec tous les décideurs, appelons les camionneurs, Ratenon, et toute la clique. Proposons une baisse sur les 40 premières photos prises et finançons la baisse avec l'argent de l'octroi de mer sur les appareils photos (s'il n'y en a pas, il faut en créer un)
Il faut en parler à Didier Robert
Les gars qui font des bouquins sur la réunion ils font comment !!!!!!!! une partie des bénéfices vont-il au parc?
Et ceux qui ont déja fait des livres sur le parc, les grands penseurs de la nature sanctifiée vont leur demander de verser des dividendes rétroactifs... C'est vraiment du n'importe quoi
C'est simple Pierre, il vont le redonner aux grandes surfaces pour qu'ils fassent baisser les prix MDR
Comme d'habitude les petites combines entre amies c'est qui les professionnels de l’image?
A qui ira l'argent que le parc va demander aux photographes et aux caméramans et à quoi servira -t-il ?
C n'importe quoi!
ou alors c'est un poisson d'avril....
franchement c'est impensabe et de toutes façons inaplicable - ils font comment en Vanoise, dans le Granparadiso, dans le Yosemite...ça frise le ridicule, à retirer d'urgence - je précise que je suis juste une randonneuse, en aucun cas une professionnelle, et je n'ai dans mon entourage aucun professionnel du son ou de l'image ( dommage!) - donc avis totalement désintéressé.
Cela fait maintenant plus de 20 ans que je filme les paysages de la Réunion. Cela fait plus de 20 ans que j'oeuvre à la valorisation des paysages côtiers ou de montagnes sur différents supports.Je,ou, mon équipe de tournage laissons les lieux tel que nous les avons trouvés, voir même,on ramasse les déchets des autres. Il m'arrive souvent de partir seul au petit matin pour aller filmer des paysages au lever de soleil suivant le bon vouloir de la météo. Une météo que personne ne peux prévoir à l'avance encore moins le directeur du parc à qui il faudrait que je demande une autorisation de filmer des cirques et des pitons alors que l’intérêt de capter de superbes images c'est de le faire à l'improviste à un instant T et un jour J qui ne se planifie pas forcément sur un agenda électronique.Pour une grosse production j'ai toujours joué le jeu en demandant les autorisations de tournage à la commune et à l'ONF qui fait un travail formidable. Maintenant j'attends de voir les Goyaves de France qui viennent tourner des téléfilms qui vont être vue sur les chaines nationales si on leur fera des pieds et des mains pour filmer.
Eh bien, j'avais oublié cet aspect dans mon blog http://www.donali.fr
Comme quoi... Le parc du grand n'importe quoi.
C'est quoi cette affaire comment fait- on pour survoler le volcan faut-il payer des droits ?