Il est convoqué devant la justice

Jean-Hugues Ratenon réfute les accusations de conduite en état d'ivresse et parle de "cabale" montée contre lui

  • Publié le 1 septembre 2024 à 12:15
  • Actualisé le 12 septembre 2024 à 12:06
Jean Hugues Ratenon

Convoqué en janvier 2025 devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis pour "conduite en état d'ivresse manifeste" et "refus de se soumettre aux tests d'alcoolémie", le député Jean-Hugues Ratenon a organisé ce dimanche 1er septembre 2024 une conférence de presse pour se défendre. Il dénonce une "instrumentalisation médiatique pour une tentative de mise à mort politique" (Photo sly/www.imazpress.com)

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  • "Est-ce que j'ai bu ce soir-là ? La réponse est non" affirme Jean-Hugues Ratenon

    "Je voudrais rappeler que c'est simplement une appréciation de la procureure" dit Maître Hesler, l'avocat du député, concernant sa convocation devant la justice. "Cette communication est justifiée uniquement par rapport à la personnalité du mis en cause. Monsieur Ratenon est présumé innocent" rappelle l'avocat. "Il y a un emballement médiatique, et des enjeux politiques. Cette communication du parquet doit donner des éléments mais pas orienter une décision future du tribunal correctionnel. Cette mission de neutralité n'a pas été totalement respectée" estime-t-il.

    "On aura accès à la procédure très rapidement, mais d'ores et déjà, il y a de nombreuses contradictions dans cette affaire, des pressions qui ont été exercées. Monsieur Ratenon est un citoyen comme les autres et il doit être traité comme tel."

  • Le député Perceval Gaillard apporte son soutien à son collègue

    "Je suis présent en tant qu'ami, camarade, et collègue pour exprimer ma solidarité avec Jean-Hugues Ratenon. J'ai trois constats : cette offensive a lieu en même temps qu'une offensive visant le député Delogu à Marseille. Tout cela se passe au moment du coup de force du Président, qui contourne le résultat des législatives. C'est deux offensives médiatiques et policières. Troisièmement, ce n'est pas la première fois que ça nous arrive. Souvenez-vous de la perquisition de nos locaux en 2018. Qu'en reste-t-il ? Rien" déclare-t-il.

    "Dans un contexte de crise politique inédit, nous savons que nous serons encore visés par des manipulations politiques" affirme-t-il. "Plus la crise politique va s’intensifier, plus nous allons être attaqués."

  • "Pour moi, les documents ont été falsifiés" clame le député

    "J'ai un message : à un moment donné, le patron des gendarmes a une information, qui est transmise au procureur, et l'information arrive sur le bureau de M. Darmanin, et termine au Canard Enchaîné. Ces inventions, je défie quiconque de les prouver, de prouver que j'ai montré ma carte parlementaire"

    "Je dis par ailleurs à M. Darmanin, que je n'ai jamais été visé par des accusations de viol, d'agression sexuelle, vous oui. Quelques soient les conséquences, je le dis, j'assume mes propos. S'il voulait utiliser ça pour atteindre mon groupe politique, peut-être même Mélenchon, c'est la honte" lance-t-il.

    "Je dis aussi aux politiques locaux : je n'ai jamais été concerné par des affaires de gaspillage d'argent public, de corruption, de détournement. Aux gendarmes assermentés dépositaires de l'autorité publique, qui disent que j'étais en état d'ivresse manifeste, comment se fait-il que beaucoup d'entre vous ont été condamnés dans des affaires d'usages de faux, de violences ?" tâcle le député. Enfin, il encourage à "interroger de quelle branche de la la franc-maçonnerie" appartiennent les personnes qui pourraient être responsables de cette "cabale".

  • "Je vais me battre" dit le député.

    "La justice c'est mon affaire" affirme-t-il. "On me menace de mort, je ne me laisserai pas faire" lance-t-il.

    "Pourquoi les gendarmes ne me posent pas de question à ce moment-là ? Pourquoi ne m'ont-ils pas convoqué ? A quel moment m'ont-ils dit de faire un test pour l'alcoolémie ? Ca n'existe pas" répète l'élu. "En plus du rapport qui, j'estime, a été falsifié, il y a eu de l'affolement. Mon collaborateur n'a pas signé ce rapport."

    "Pourquoi j'ai été éloigné de ce document, qui a été signé par deux gendarmes ?" interroge le concerné.

    Jean-Hugues Ratenon argue que sa voiture est automatique, et que son moteur s'éteint donc automatiquement.

  • Le député dénonce une "cabale"

    "Jean-Hugues Ratenon n'était plus à l'hôpital à l'heure où le rapport évoque son refus du test sanguin" dit Jérémy Vidot. "Il a quitté l'hôpital dans un état conscient, en s'exprimant clairement, en état cohérent" détaille le rapport, affirme-t-il. 

    "Le rapport contredit cet état d'ivresse manifeste" ajoute Jean-Hugues Ratenon. "J'étais déjà chez moi à l'heure où le rapport dit que j'ai refusé la prise de sang" martèle le député, estimant que le document a été "falsifié".

  • Jean-Hugues Ratenon réfute avoir invoqué son "immunité parlementaire"

    Concernant les informations publiées dans le Canard Enchaîné, le collaborateur de Jean-Hugues Ratenon affirme que la carte parlementaire qu'il aurait montré pour se soustraire au dépistage était "dans (sa) voiture à lui", et non avec le député. "Il n'y a pas d'immunité parlementaire dans ce genre d'affaire" rappelle Jean-Hugues Ratenon.

    "La conductrice accidentée a affirmé qu'il n'était pas en état de souffler dans un éthylotest, qu'il ne sentait pas l'alcool. Pourquoi son témoignage n'est-il pas pris en compte ?" interroge Amandine Ramaye.

  • Jean-Hugues Ratenon affirme qu'il n'a pas refusé de faire de dépistage

    "Je connais la loi, le refus est beaucoup plus grave qu'un test positif" clame-t-il. "Pourquoi on ne m'a pas demandé de faire de dépistage ? Je l'aurais fait, ils auraient pu me demander, devant témoin. Et puis ils acceptent que je parte" dénonce le député.

    Il affirme ne pas se souvenir de l'accident après sa sortie du CHU. "Je m'en rends vraiment compte le lendemain."

    Il reconnait "sa responsabilité dans l'accident". "Je n'aurais pas du prendre le volant en ne me sentant pas bien. J'assume que cette dame n'a pas pu m'éviter à cause de moi. Je n'aurais pas du prendre le volant, mais je ne voulais déranger personne."

  • Il affirme avoir été victime d'un problème de santé l'obligeant à s'arrêter sur la route

    "Au moment où je m'arrête, il n'y a plus rien. J'entends une voix : 'Monsieur Ratenon'. Il n'y a qu'une seule voix que j'entends, celle d'une dame. Je ne me souviens que de cela" raconte le député. "Au moment où je suis à l'hôpital, je ne vois que deux blouses blanches, mais l'hôpital, les gendarmes n'existent pas" affirme-t-il.

    Il passe un électrocardiographie, et sort "en ne comprenant plus rien". "Je ne sais pas où je suis, il est 3h du matin, je vois mon collaborateur et prend donc conscience de la situation, mais l'accident n'existe toujours pas pour moi".

    Son collaborateur explique que les soignants lui indiquent que le député doit consulter un médecin, et qu'il a refusé le protocole de soin. "Deux gendarmes étaient présents, qui me suivent jusqu'à ma voiture, puis autorise Jean-Hugues à quitter le CHU" assure-t-il.

     

  • Jean-Hugues Ratenon retrace le fil de sa journée précédant l'accident

    "Vendredi matin, très tôt, je ne me sens pas bien. A 11h30, j'ai rendez-vous au CHU de Saint-Denis, pendant l'examen je ne me sens pas bien, puis je descends chez ma mère à Bras-Panon et prévient Amandine (sa compagne ; ndlr). J'avais des médicaments avec moi, que je prends vers 13h30, à double dose" explique-t-il. Les rendez-vous s'enchaînent par téléphone, dit-il, au fil de la journée. Dans la soirée, il prend la route depuis Saint-Benoît pour se rendre au CHU de Saint-Denis.

    "Ca a commencé par une sensation de froideur dans les pieds, puis ça remonte, c'est à ce moment-là que je me dis qu'il faut aller à l'hôpital" détaille-t-il.

    "Il n'est pas allé au GHER, bien qu'il soit plus proche, en raison d'une rupture de confiance avec cet établissement" précise Amandine Ramaye, sa compagne, présentant des documents qui lui ont été donnés à la place des documents de son fils lors d'une précédente consultation.

  • Jean-Hugues Ratenon rappelle qu'il était souffrant ces derniers jours

    "En premier lieu, je voudrais remercier les gens qui ont participé à ma prise en charge, tous ceux qui m'ont transmis des messages, des appels" entame le député. "J'envoie aussi un message fraternel à la dame, qui n'a pas pu éviter mon véhicule, et remercie les forces de secours" ajoute-t-il.

  • Bonjour à tous, bienvenue dans ce direct

    Nous suivons en live à la conférence de presse du député Jean-Hugues Ratenon, convoqué devant la justice en janvier prochain pour  "conduite en état d'ivresse manifeste" et "refus de se soumettre aux tests d'alcoolémie"

À propos

Imaz Press avait révélé dès ce lundi l'ouverture d'une enquête par le parquet pour ces faits qui se sont produits dans la nuit de samedi à dimanche lorsque la voiture du parlementaire a été percutée par un autre véhicule sur la quatre voies de Sainte-Suzanne.

Lire aussi - Enquête du parquet après l'accident de voiture de Jean-Hugues Ratenon

La voiture de Jean Hugues Ratenon était arrêtée tous feux éteints sur la voie de droite lorsqu'elle a été heurtée par une conductrice qui "circulait à allure normale" et qui "a été surprise", par la présence du véhicule arrêté, précise la magistrate dans son communiqué.

Les dépistages d'alcool et des stupéfiants réalisés par les gendarmes sur la conductrice étaient négatifs.

Jean Hugues Ratenon, qui était au volant de son véhicule, a été transporté au CHU de Saint-Denis "pour des examens de contrôle" note la procureure.

A l'hôpital, le député " refusait les prélèvements par éthylotest et salivaire destinés à dépister l’éventuelle présence d’alcool ou de stupéfiants, ainsi que le prélèvement sanguin" détaille la magistrate.

Il a alors été informé par les gendarmes que "ce refus constituait une infraction pénale" poursuit Véronique Denizot.

Lundi "son permis de conduire a fait l’objet d’une décision administrative en date du 26 août 2024 suspendant sa validité pour une durée de neuf mois" informe la procureure

Lire aussi - Accident de Jean-Hugues Ratenon : le député aurait refusé les tests de dépistage d'après le Canard Enchaîné

Des faits niés par le député Jean-Hugues Ratenon, qui dit être "totalement scandalisé par les pseudos informations parues" dans le Canard Enchaîne. "Vouloir faire croire qu’il aurait invoqué "son immunité parlementaire" pour ne pas "se soumettre à un test d’alcoolémie", c’est du grand n’importe quoi. Par ailleurs, comment se fait-il que c’est un journal national qui prétend détenir ces informations ?"

"Comment se fait-il qu’aucun média à La Réunion ne parvient à obtenir ces informations diffamatoires ? Qui alimente le canard enchainé et dans quel but ? Qui a donné l’ordre d’écrire de tels propos ?", ajoute le communiqué.

"Le député apprend par voie de presse qu’une enquête a été ouverte. Le député apprend aujourd’hui par le canard enchainé qu’il sera convoqué alors qu’il n’a même pas encore été auditionné ! A-t-on décidé de le convoquer avant même la fin de l’enquête ? Pourquoi ? Ce malaise est-il devenu un dossier politique ?"

- Le député convoqué en janvier 2025 au tribunal -

Ce jeudi 29 août le parlementaires "a été entendu par les militaires de l’escadron départemental de la sécurité routière. Il conteste les infractions reprochées" indique la magistrate dans son communiqué.

"Cependant, au regard des éléments recueillis dans la procédure, une convocation à comparaître en janvier 2025 devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis lui a été délivrée ce jour (ce vendredi 30 août 2024)", précise le parquet.

Le député est convoqué pour conduite en état d’ivresse manifeste, défaut de maitrise, refus de se soumettre aux vérifications à l'alcool et aux stupéfiants.

Dans son communiqué, le parquet détaille les peines encourues :

- conduite en état d’ivresse manifeste : emprisonnement délictuel - 2 ans et amende délictuelle 4.500 euros
- défaut de maîtrise : amende contraventionnelle de 750 euros
- refus de se soumettre aux vérifications tendant à établir l'état alcoolique lors de la constatation d'un accident de la circulation : emprisonnement délictuel de 1 an et amende délictuelle de 3.750 euros
- refus de se soumettre par le conducteur d'un véhicule aux analyses ou examens en vue d'établir s'il conduisait en ayant fait usage de stupéfiants : emprisonnement délictuel - 2 ans et amende délictuelle de 4.500 euros.

La suspension du permis de conduire est encourue pour une durée maximale de 3 ans ou 5 ans selon l’infraction retenue

Lire aussi - Enquête du parquet après l'accident de voiture de Jean-Hugues Ratenon

- Le déroulé des faits, selon le parquet -

Selon le communique du parquet, les faits reprochés à Jean Hugues Ratenon se sont déroulés ainsi : "le samedi 24 août 2024 à 0h48 l’intervention des militaires de la brigade territoriale de sainte Suzanne était sollicitée pour un accident de la circulation routière impliquant deux véhicules et trois personnes, sans notion de blessé, au niveau de la montée Bel Air, sur la route nationale 2 sur la commune de Sainte-Suzanne.

Présents sur les lieux à 1h18, les gendarmes constataient que les sapeurs-pompiers avaient pris en charge les occupants des deux véhicules, établissaient les bilans de contrôle et procédaient aux premiers soins nécessaires, seul le conducteur du véhicule percuté, Jean-Hugues Ratenon, étant transporté au centre hospitalier nord pour examen de contrôle.

Les constatations opérées sur le lieu de l’accident, puis les investigations menées "selon la procédure de flagrance, établissaient qu’un véhicule occupé par deux personnes circulait à allure normale sur la voie de droite de la RN2 dans le sens Saint-André / Saint-Denis et que la conductrice était surprise par un véhicule sombre à l’arrêt tous feux éteints sur sa voie de circulation ; malgré un freinage d’urgence, elle percutait ce véhicule par l’arrière et le poussait sur 32 mètres toujours sur la voie de droite, avant de pouvoir s’arrêter", poursuit le parquet.

"Les constatations relatives aux deux véhicules impliqués dans l’accident de circulation ne relevaient aucune infraction sur le plan administratif, de même que les investigations relatives aux permis de conduire. Les dépistages de l’alcool et des stupéfiants réalisés sur la conductrice étaient négatifs."

www.imazpress.com/redac@ipreunion.com

guest
23 Commentaires
Victor
Victor
1 an

Ce personnage est une honte, une imposture politique, les gendarmes et le personnels hospitalier sont donc des menteurs, belle exemplarité Monsieur le "Député" Vous n'assumez même pas votre état. Vous n'avez aucun honneur même pas celui de démissionner. J'espère juste que la justice fasse le nécessaire à votre encontre.

Missouk
Missouk
1 an

Donc, si je comprends bien, les gendarmes ont menti, le personnel hospitalier aussi ? Vous êtes ridicule Monsieur Ratenon. J'avais beaucoup de respect pour l'élu et son parcours, là, désolé, mais vous tombez bien bas!

Illuminaton
Illuminaton
1 an

C'est Lucifer Qu'il a aperçu. Lucifer c'est le" porteur de Lumière". En fait il était en transe, possedé par son maître Lucifer. Vous voyez, il dit la vérité, c'était pas sa faute...

Rak auto
Rak auto
1 an

Ou la boir, la trap aou: assume mon gars!

zouzou
zouzou
1 an

Parole d'un insoumis😀

didier
didier
1 an

Un chien m'a coupé la route et a abimé mon pare choc, qui veut m'accompagner pour faire une con-férence de presse ?

Estelle
Estelle
1 an

Il lui aurait été plus simple pour lui de reconnaître les faits et les choses seraient rentrées dans l' ordre,mais voilà un insoumis ne se soumet pas,si c était un élu macroniste il aurait fait des commentaires désagréables comme a son habitude,il faut regarder la paille dans son oeil avant de regarder autrui,c est bizarre il a fait appel à un député et quelques acolytes qui n étaient pas présent sur les lieux l accident pour lui apporter leurs soutiens ou sont les autres députés insoumis ?

Consternant
Consternant
1 an

Aucune réaction des Amis du député LFI

Reese
Reese
1 an

Ça en devient ridicule et objectivement cela fait peur venant d’un député. Si il n’avait rien à se reprocher, il aurait fait les analyses point final. Il y a des témoins, crier au loup c’est ne pas assumer. Être un homme (ou une femme) adulte et responsable c’est assumer ses fautes, surtout quand on a une fonction de représentation. C’est totalement ridicule de monter un complot parce qu’on n’accepte pas ses fautes. Pire seront ceux qui croient…

Ganymède
Ganymède
1 an

C'est, somme toute, assez logique : un Insoumis Ne Se Soumet Pas.. même à un contrôle de routine !!

Pipo
Pipo
1 an

Arrêtez de parler de ce Pipo

Henri
Henri
1 an

Pitoyable cette conférence de presse monsieur il fallait vous taire c’est déjà déplaisant pour vous et votre poste de député

Jememare
Jememare
1 an

Plus de teinture monsieur le député ?

Plus simple
Plus simple
1 an

Tout un commérage... pourquoi ne pas tout simplement dire "oui j'étais en état d'ivresse", ça peut arriver à bien d'autres et être député n'empêche pas d'être humain avec tout ce que l'humanité comprend d'imperfection. Voilà point.

Palaeksa
Palaeksa
1 an

Et sinon, le respect de l'orthographe et de la grammaire, c'était une option manifestement ? (Bonjour, après relecture complète il y avait...deux coquilles. Ô désespoir. Cela arrive quand on suit simultanément une conférence de presse et qu'on la retranscrit en direct. Allez bon dimanche, n'hésitez pas à aller prendre l'air - Modérateur)

Mr Devil
Mr Devil
1 an

C'est surtout pour rabattre le caquet aux ti moukat de out genre

Gdarmainicum
Gdarmainicum
1 an

Menteur et comme tout les faibles complotistes

Gdelamince
Gdelamince
1 an

Un élu de la république de haut niveau

HULK
HULK
1 an

C'est encore un complot judéo-maçonnique orchestré par l'extrême-droite. Toutes les institutions de la république sont contre lui.On en marre de ces donneurs de leçons. Qu'ils le ferment et arrêtent avec leur victimisation et leur morale à deux balles. La justice décidera. Mais la procureure est la copine d'Huguette BELLO? Si elle l'a poursuivi, c'est doit avoir des biscuits. Ah,au fait, M;RATENON,on ne vous a beaucoup entendu pour les emplois de la Région? Alors fermez-la. Et s'il y a encore des abrutis pour voter pour vous, grand bien leur fasse et bien fait pour eux s'ils se contentent de vous.

Ti tampon
Ti tampon
1 an

Pourquoi tenir un CDP aussi tôt un dimanche ?ya une fiesta après ?

Julie
Julie
1 an

Tellement de choses à dire sur votre récit que vous avez eu largement le temps de peaufiner pour nous raconter des salades;
On passe par les gendarmes menteurs, la lumière blanche, le trou noir, des faux documents, ....
Le canard enchainé n'a jamais dit que vous aviez brandi votre carte de député, il a dit que vous aviez fait valoir votre immunité parlementaire et nul besoin de montrer votre carte pour savoir que vous êtes député car on vous voit assez avec vos communiqués pour savoir qui vous êtes.
On sait qui vous êtes mais de là à vous tutoyer comme vous nous l'avez conté concernant la jeune femme qui vous a dit "tu as pas pu montrer ta carte député car tu étais semi inconscient", c'est très troublant tout de même ce tutoiement envers votre personne, vous êtes quand même député.
Je trouve bizarre aussi que lorsque vous sortez dans le hall de l'hopital, vous appelez Capi qui est déjà là dans le hall, et pas votre femme. Les infirmières vous suivent et disent que vous devez voir un médecin et votre ami Capi qui se dit pompier se porte garant de vous et dit que vous êtes pas obligé de vous faire soigner ici.
Donc quand la canard enchainé dit que vous quittez l'hopital, il est dans le vrai car avant de quitter un hopital, on a vu un médecin et on a pas les infirmières qui vous courent après dans le hall. Votre ami Capi, il a conscience de votre état, de trou noir et bizarrement jusqu'à ce que vous le voyiez, pour ne pas vous demander de rester vous faire soigner sur place ?
Monsieur Ratenon, votre récit est d'une part diffamatoire, rempli d'incohérences sur le déroulé de votre journée et nuit et sur ce qui c'est passé à l'hopital au niveau de la zone des soins

Jojo
Jojo
1 an

Faites ce que je dis mais pas ce que je fais.
Il prend les réunionnais vraiment pour des cons.

Prenpanoupoukouyon
Prenpanoupoukouyon
1 an

MDR !!!! Toute cette mise en scène !!! vous méritez la palme d'or de la comédie. Arrêtez de vous victimiser Monsieur le Député, vous vous êtes mis dans cette situation tout seul en conduisant "en état d'ivresse manifeste" et en refusant de vous soumettre aux test. Pas besoin de passer par des démonstrations compliquées A + B avec des documents sortis de nulle part