BONSOIR LA RÉUNION - À la une de ce vendredi soir 26 avril 2024 : - Saint-André : une opération de dératisation prévue à l'école Josée Léger, elle rouvrira le 2 mai - Leptospirose : l’épidémie se poursuit avec une nouvelle augmentation du nombre de cas - Mayotte : trois cas autochtones de choléra confirmés - Plusieurs grands magasins de La Réunion victimes d'une cyberattaque
Saint-André : une opération de dératisation prévue à l'école Josée Léger, elle rouvrira le 2 mai
Ce vendredi 26 avril 2024, la commune de Saint-André a fermé l’école primaire Josée Léger en raison d'une infestation de rats. Une intervention de dératisation est prévue ce samedi. Pour assurer un retour serein dans l'école, cette dernière sera fermée le mardi 30 avril pour permettre un nettoyage globale post-intervention.
Leptospirose : l’épidémie se poursuit avec une nouvelle augmentation du nombre de cas
Ce vendredi 26 avril 2024, Santé publique France a publié son rapport hebdomadaire. Il en ressort que la leptospirose est toujours très active. Le nombre de cas survenus depuis le début de l’année - soit en moins de quatre mois, est supérieur au nombre de cas annuel maximal déclaré depuis le début de la surveillance (soit 169 cas annuels en 2022). La dengue aussi dépasse les chiffres de 2023. Depuis le début de l’année, 684 cas de dengue ont été rapportés.
Mayotte : trois cas autochtones de choléra confirmés
Trois cas autochtones de choléra ont été confirmés à Mayotte ces derniers jours, annonce l'ARS de Mayotte ce vendredi 26 avril 2024. Cette dernière organise donc la mise en place d'un centre de dépistage dans la commune de Koungou, où les trois cas ont été détectés, ainsi que l'envoi de renforts médicaux.
Plusieurs grands magasins de La Réunion victimes d'une cyberattaque
Centrakor, Gémo, Tao Kids… plusieurs enseignes de prêt-à-porter à La Réunion ont été victimes de cyberattaque. L'incident a eu lieu le 30 mars dernier, lors du week-end pascal. Toutes les mesures de sécurité ont été prises par ces grandes enseignes afin d'en informer leurs clients. "En l’état des investigations menées, rien n’indique que des données personnelles aient pu être extraites par un tiers mal intentionné", indiquent les magasins.