"Il est indispensable que les artisans comprennent que la chambre des Métiers et de l'Artisanat est un outil économique à leur service et non, comme aujourd'hui, une institution phagocytée pour le confort matériel, financier et politique de certains." estime Marc LEWITT, dans un communiqué, que nous reproduisons en intégralité (photo d'illustration)
Alors, que les prétendants à la Chambre des Métiers et de l'Artisanat (CMAR), se confondent en mandats et postes rétributifs, où les avantages et les espèces se font sonnantes et trébuchantes, notamment au RSI, Jean-François MAILLOT, propose une alternative incontournable au fonctionnement de l'institution.
Un candidat libre, qui n'a jamais cédé aux sirènes du bien-être et du confort personnel, au détriment de celui de sa cause : La survie de l'artisanat à la Réunion.
Il est indispensable que les artisans comprennent que la chambre est un outil économique à leur service et non, comme aujourd'hui, une institution phagocytée pour le confort matériel, financier et politique de certains. Le cumul des mandats est le cancer de notre société. Il s'est, au cours de ces cinq dernières années, tranquillement installé dans nos deux chambres consulaires, par la volonté intéressée des deux présidents actuellement en exercice.
Chaque artisan doit pouvoir être libre d'exprimer ses idées politiques comme il l'entend et disposer de sa voix. Ce n'est actuellement plus le cas avec les présidences de M.IBrahim PATEL à la Chambre de Commerce et d'industrie de la Réunion (CCIR), et de M. Bernard PICARDO, à la Chambre des Métiers de la Réunion (CMAR).
On ne peut être libre et totalement au service de l'artisanat, dès lors où certains desseins et autres intérêts politiques vous motivent. Les présidents en exercice actuellement, ont donc "de facto", donné votre voix politique au Président de Région et à sa majorité, dans laquelle ils siègent.
De même, les jonctions opérées récemment entre les différentes fédérations, et syndicats patronaux (bâtiment, restauration, bouchers-Charcutiers, etc..), n'ont pour but que la distribution des postes au sein même de la Chambre des Métiers, mais surtout, la discrimination et la cooptation des marchés publics pour certains, au détriment de l'ensemble des acteurs économiques de l'institution. Il y a là, une évidente rupture d'égalité, dans l'attribution des marchés.
Jean-François MAILLOT est le seul à ne pas "marcher dans la combine" de Messieurs PATEL et PICARDO. Il ne souhaite que vous défendre, sans vous nuire. Assurer simplement la direction d'une chambre, qui au regard des chiffres et des indices, n'a pas été à la hauteur de la tâche, durant ces cinq dernières années économiquement parlant.
Son seul fait d'arme pour beaucoup d'entres-nous, aura été l'envoi de sa redevance professionnelle annuelle.
Jean-François MAILLOT refuse la politisation "forcée" et "malsaine" de l'instance, qui à terme, conditionnera l'obtention des marchés, des conseils et des aides de l'institution, à la couleur politique de l'artisan !...Il s'y refuse de toutes ses forces !
Jean-François Maillot se refuse à tout mandat politique, ou à tout cumul de mandat. Un mandat pour une seule mission, à la Chambre des Métiers et des Artisans : Vous défendre !
Mais surtout aussi, une mission salvatrice pour l'économie réunionnaise. La mission de redonner aux entreprises et artisans de la Réunion, la sensation que pouvoir vivre de son travail, voire développer son entreprise, est encore possible avec l'aide de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat.
Ses conseils et avis motivés sur la liberté sociale, en font le candidat indispensable à la Chambre des Métiers et de l'Artisanat.
Reprenez le pouvoir de votre outil de travail, de votre Chambre, elle vous appartient !
Penser Jean-François MAILLOT, c'est penser à vous !...