(Actualisé) L’enquête visant Alfred Chane Pane, président de Corail Hélicoptères, connaît une nouvelle accélération. Ce début de semaine, plusieurs de ses sociétés ont été perquisitionnées dans le cadre de la procédure ouverte fin 2024 pour détournements de fonds et abus de biens sociaux. Ces opérations interviennent quelques jours après une première perquisition menée à son domicile saint-gillois (Photo rb/www.imazpress)
À l’origine du dossier, la plainte déposée par l’un des trois actionnaires fondateurs de Corail Hélicoptères. Dans ce document adressé au parquet, il dénonçait une série de faits susceptibles de constituer des détournements : factures présumées fictives, avantages immobiliers, vols d’hélicoptère non réglés, ou encore transferts financiers vers l’imprimerie personnelle du dirigeant, vraisemblablement en difficulté.
Fin 2024, le parquet de Saint-Denis ouvrait une enquête préliminaire visant des "mouvements de fonds supposément suspects". Une première perquisition a été menée au domicile d’Alfred Chane Pane mercredi 19 novembre 2025 selon les premiers éléments.
- La brigade financière poursuit ses vérifications dans ses entreprises -
En ce début de semaine, les enquêteurs ont cette fois ciblé plusieurs des sociétés dont Alfred Chane Pane est dirigeant. Les opérations ont consisté à saisir des documents comptables, relevés bancaires, échanges internes ou contrats commerciaux.
Selon nos informations, l'imprimerie portoise ICP Roto et les locaux adminstratifs de Corail Hélicoptères situés à Pierrefonds ont été visités par les policiers de la STPJ, le Service territorial de la police judiciaire.
Plusieurs documents ont été saisis
Les investigations visent notamment à confronter les éléments transmis par le plaignant aux flux financiers réels des entreprises. Les enquêteurs cherchent à déterminer si des mouvements d’argent, des prestations ou des avantages évoqués dans la plainte ont bien eu lieu et s’ils peuvent constituer des infractions pénales.
Les perquisitions pourraient également éclairer les liens entre la société d’hélicoptères et l’imprimerie du dirigeant, au sujet de laquelle plusieurs paiements contestés avaient été signalés.
Contacté lors de la révélation de l’ouverture de l’enquête, Alfred Chane Pane avait déclaré ne pas être informé de la procédure, tout en affirmant se tenir « à la disposition de la justice ».
is/mb/www.imazpress.com/redac@ipreunion.com
À peine la trahison de Pimpon rendue publique, Fiasco vacillait déjà.
Mais lorsque les deux nouvelles perquisitions se sont abattues sur lui comme un double uppercut administratif, là, il a officiellement perdu tous ses boulons.
Plus affolé qu’un scooter sans freins, il s’est mis à courir partout dans sa maison comme si la cafetière pouvait lui servir d’avocat.
En panique totale, il attrapa son téléphone et lança une tournée d’appels désespérée, un téléthon improvisé par quelqu’un qui sent le roussi de très très près.
Il appela tous ses “amis”.
Ou plutôt : tous ceux qu’il croyait être ses amis.
Résultat ?
Un festival d’excuses absurdes :
« Je te rappelle »,
« Je suis dans un tunnel »,
« Je suis en méditation électrique »,
« J’ai aqua-poney avec mon chien »,
ou le mythique :
« Ah, je croyais que t’étais déjà en détention provisoire ».
Fiasco réalisa enfin qu’il n’avait autour de lui qu’une colonie de pique-assiettes professionnels, tous déjà victimes de ses petites opérations financières… à géométrie variable.
Les rares qui ont décroché lui ont simplement lancé :
« On t’aime bien… mais pas assez pour sombrer avec toi. Bonne chance ! »
Ambiance : polaire.
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Pendant que Fiasco tentait de sauver son empire aussi fragile qu’un château de cartes sous ventilateur, Pipo, le fameux lapin sous-câblé, prenait la fuite.
On ne sait pas s’il réfléchissait ou s’il subissait une mise à jour interne, mais il avançait en bondissant comme un animal mal calibré par la nature.
Officiellement : il partait à Paris chercher du soutien.
Officieusement : il espérait retrouver ses anciennes habitudes nocturnes auprès de jeunes femmes adultes qui, autrefois, appréciaient surtout… la carte bancaire des ses sociétés
Sauf que cette fois, son portefeuille était :
• plus vide qu’un frigo le 30 du mois,
• plus creux qu’un discours improvisé,
• plus léger que ses neurones quand il tente de réfléchir.
Il pensait peut-être qu’on lui ferait crédit.
Crédit ? À lui ?
Le client express légendaire, champion du monde du “très cher pour moins d’une minute” ?
Même les agences spécialisées ont refusé de le reprendre dans leurs fichiers : trop peu rentable, trop rapide, trop… Pipo.
À Paris, on l’a vu courir partout, téléphone à la main, piaillant comme un pigeon perdu :
« Tu m’aides ? Tu me fais un prix ? Tu te souviens de moi ? »
« Oui, trop. Et c’est NON. »
Au final, Zampaville découvrit :
• que Fiasco n’avait plus un seul ami et paniquait après deux perquisitions dignes d’un marathon judiciaire,
• que Pipo le lapin sous-câblé courait partout comme une mascotte mal programmée,
• et que leur duo s’effondrait plus vite qu’un meuble IKEA monté par un somnambule.
À Zampaville, on appelle ça :
« Un lundi classique. »
Ailleurs, on appelle ça :
« Une comédie involontaire en trois actes. »
Intéressez vous à Vindeca saint dénis vous allez vous régaler
je comprends pas ce monsieur ,un temps copain avec Tillier et robert, après il dégomme Tillier pour aller avec Bello et maintenant il est contre Bello si vous pouvez m'éclairer
les doigts dans la confiture
vous ne parlez de son associé
pauvre petit monsieur
Céline Dion te préconise prendre ton envol :-)
aaa, un envol vers un pays d'amérique du Nord
Alfred appelle ton ami DR
Pas lu té prête gratos helico DR pour allé dand fond grand bassin ek alain saint ange ? Éclaire à nous le STPJ? Nou la vu à zot dans fond grand bassin à l’époque