La famille de Pascal Aboukir, décédé le 19 janvier 2024 dans sa cellule de la prison de Domenjod, a déposé plainte contre X pour assassinat ce vendredi 4 juillet 2025. Près de 18 mois après les faits, ses proches refusent de croire à une mort naturelle et exigent une enquête approfondie sur les conditions exactes de sa détention. Une information Imaz press (Photo RB/www.imazpress.com)
La famille de Pascal Aboukir a déposé plainte contre X pour assassinat ce vendredi 4 juillet 2025, près de 18 mois après son décès survenu à la prison de Domenjod.
Le quadragénaire venait d’être condamné à 14 ans de réclusion criminelle pour enlèvement, séquestration et extorsion au sein d’un cercle de jeux illégal à Saint-André. Il était incarcéré dans une cellule médicalisée depuis un mois. Ses proches contestent la thèse d’une mort naturelle et exigent des réponses sur les circonstances exactes du drame.
La plainte, déposée par la compagne du défunt et transmise par son avocat Me Fabian Gorce, marque un tournant dans cette affaire jusque-là traitée comme un simple décès en détention. La famille entend désormais faire reconnaître la possibilité d’un acte volontaire. "Nous avons trop de zones d’ombre, trop de questions sans réponse", indique l’entourage de Pascal Aboukir, déterminé à obtenir une enquête approfondie.
- Une mort brutale et inexpliquée depuis janvier 2024 -
Le 19 janvier 2024, Pascal Aboukir est retrouvé inanimé dans sa cellule, deux heures après un passage du service médical qui ne signalait rien d’anormal. Malgré l’intervention du Samu, il n’avait pas pu être réanimé.
L’autopsie, demandée dans la foulée, n’a toujours pas permis d’établir les causes exactes de sa mort. "Nous n'avons toujours pas été destinataires des résultats de l'autopsie ni des analyses complémentaires qui avaient été diligentées à l'issue du décès" déplore Me Fabian Gorce.
Condamné quelques jours plus tôt par la cour d’assises, Pascal Aboukir souffrait de plusieurs pathologies et avait besoin d’un suivi médical particulier. Sa compagne avait dénoncé un manque de soins, l’absence de prise en compte de certains besoins spécifiques – comme l’accès à de l’eau minérale – et une dégradation générale de son état de santé.
- Des liens avec David Vital et des policiers de Malartic -
Pour ses proches, des négligences ou des actes plus graves pourraient avoir conduit à sa mort. Selon nos informations, la plainte reprend des éléments déjà développés lors du procès de Pascal Aboukir devant les assises en décembre 2023.
L'avocat de la famille Aboukir avait largement plaidé des proximités avec des policiers de Malartic et David Vital dans le cadre de parties de poker. "Des accointances que nous avions pointées du doigt auprès du juge d'instruction en charge du dossier qui a fini devant les assises. Et également auprès de la procureure de la République, Véronique Denizot" précise Me Fabian Gorce.
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moi j'ai une pensée pour tte les victimes de ce multirécidivistes
Ça sent mauvais ce qui s'est passé.
S'il vous plaît au port il y a un jeu carte près de l'église de la sidr qui vend de la drogue des centaines de milliers d'euros qui circule beaucoup de bagarres la police fait rien tout ça prés des écoles il faut cesser tout ça
Décidément cette affaire de jeux, de drogue certainement et plus ( si affinités) pue très fort. Aucun doute : beaucoup de choses resteront "secrètes". On s'en fout un peu,mais après, il ne faut plus venir nous parler de justice, de morale ou autres théories sur le bien et le mal. Celà n'existe pas. On peut le regretter,mais c'est un fait. Ce monde est pourri et il faut faire avec.
Donc on a un détenu qui menaçait de dévoiler des informations compromettantes sur des policiers et cette personne meurt de mort naturelle en prison? Cette affaire mérite la lumière et même un traitement à l’échelle nationale
Eau minérale
En milieu carcéral
C'est vital
En cette période hivernale ?
Il croit avoir décroché la timbale !
Pauvre morale.
peut on avoir la liste des maladies qui demandent d'avoir uniquement accès à de l'eau minérale à la place de l'eau de ville. Pour ma part je ne bois que de l'eau de ville. C'est juste pour ma culture générale.
@ Tristan : je suis un professionnel de santé qui répond : AUCUNE ! ! !