Depuis ce lundi 24 février 2014, Jacques Siou, responsable du service habitat de la Possession depuis 7 ans et adjoint du maire Roland Robert de 1989 à 1995, a entamé une grève de la faim devant les locaux de la mairie. Il dénonce notamment la nomination de la fille du maire, Julie Robert, à sa place et évoque une "politique de familiocratie".
"La grève de la faim, c’est le recours ultime pour que je puisse me faire entendre" : depuis ce lundi matin, Jacques Siou, 64 ans, a cessé de s’alimenter. Une grève de la faim "illimitée", menée afin de "contester les faits qui sont arrivés depuis le mois de septembre 2013".
Pour en arriver à une telle extrémité, c’est que l’homme en a gros sur le coeur. Il a surtout une montagne de griefs à l’égard d’un maire, Roland Robert, qu’il a servi pendant des années, de 1989 à 1995 comme adjoint et depuis 7 ans en tant que responsable du service habitat.
Un statut qui a toutefois changé lors de ce fameux mois de septembre 2013. "J’ai été convoqué au cabinet du maire au début du mois d’août 2013. Etaient présents le maire, Doris Carassou, le directeur général des services, et Mme Philippe Robert, belle-fille et directrice du cabinet du maire. Lors de cette réunion, je leur ai fait savoir que je ne cautionnerai pas la démagogie, leurs mensonges, leurs fausses promesses en vue des échéances électorales", raconte Jacques Siou.
Il poursuit : "À partir de là , à mon retour de congés en septembre 2013, un nouvel organigramme a été mis en place et le service a été déménagé. La fille du maire, Mme Julie Robert, était nommée coordinatrice de service et avait repris toutes mes prérogatives alors que j’étais affecté à l’amélioration de l’habitat."
Une nomination pas du tout du goût de Jacques Siou, qui a contesté sa nouvelle affectation dans un courrier "resté sans réponse à ce jour", indique-t-il. L’ancien responsable du service habitat affirme également avoir été "victime de harcèlement, d’intimidations voire même d’incitation à la violence sur ma personne de la part de ma hiérarchie".
Aussi a-t-il décidé ce lundi de monter au créneau pour faire entendre sa voix, par le biais de cette grève de la faim. "J’estime que la politique de familiocratie fonctionne à merveille", dénonce-t-il, évoquant ces personnes qui "attendent qu’il y ait un poste qui se libère pour mettre un de leurs enfants", mais aussi le cas du DGS Doris Carassou, "qui a un beau-frère directeur financier au niveau de la mairie, un autre beau-frère qui est directeur du service technique et également des parents qui travaillent au niveau du CCAS".
"Aujourd’hui ce que je demande au maire, s’il n’a plus besoin de mes services, c’est qu’il me propose une rupture conventionnelle avec les indemnités qui me sont dues, pour préjudice moral et physique", conclut Jacques Siou.
www.ipreunion.com


Bien fait pour Siou ! Je suis un ancien de Cap Insertion (association d'insertion fermée en 2008 par le Maire car un membre du personnel avait fait campagne avec Lilian Malet... Cette fermeture avait mis au chômage près de 70 personnes) et à l'époque ce monsieur à usé des même méthodes pour faire fermer de force les locaux, était venu faire de l'occupation avec menaces et intimidations, était venu insulter les salariés en les traitant de cafards... Alors excusez moi de ne pas m'émouvoir outre mesure du sort de cet imposteur sous diplômé, dangereux aboyeur public de Roro durant les dernières campagnes électorales...
Je le redis sans détour : BIEN FAIT !
Lorsque que tu obéissais au doigt et à l'œil à Roro même pour exécuter toutes les basses besognes qu'il te confiait, tu ne dénonçais pas tout cela ! Et bien maintenant qu'ils n'ont plus besoin de toi, tu subis des humiliations ? Ce n'est que le retour de bâton ! Tu n'as que ce que tu mérites.
BIEN FAIT !
Bien fait pour Siou ! Je suis un ancien de Cap Insertion (association d'insertion fermée en 2008 par le Maire car un membre du personnel avait fait campagne avec Lilian Malet... Cette fermeture avait mis au chômage près de 70 personnes) et à l'époque ce monsieur à usé des même méthodes pour faire fermer de force les locaux, était venu faire de l'occupation avec menaces et intimidations, était venu insulter les salariés en les traitant de cafards... Alors excusez moi de ne pas m'émouvoir outre mesure du sort de cet imposteur sous diplômé, dangereux aboyeur public de Roro durant les dernières campagnes électorales...
Je le redis sans détour : BIEN FAIT !
Lorsque que tu obéissais au doigt et à l'œil à Roro même pour exécuter toutes les basses besognes qu'il te confiait, tu ne dénonçais pas tout cela ! Et bien maintenant qu'ils n'ont plus besoin de toi, tu subis des humiliations ? Ce n'est que le retour de bâton ! Tu n'as que ce que tu mérites.
BIEN FAIT !