L'interdiction des activitĂ©s de baignade, de surf et de bodyboard hors du lagon et des zones surveillĂ©es, prononcĂ©e le 26 juillet 2013 par le prĂ©fet Jean-Luc Marx, devrait ĂȘtre reconduite aprĂšs le 1er octobre, date Ă laquelle l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral arrive Ă Ă©chĂ©ance. Si des amĂ©nagements pourraient ĂȘtre Ă©tudiĂ©s, dans tous les cas une levĂ©e pure et simple de l'interdiction ne serait pas Ă l'ordre du jour.
Les surfeurs devront-ils continuer Ă pratiquer leur passion dans lâillĂ©galité à partir du 1er octobre ? Câest en tout cas la tendance qui se dessine du cĂŽtĂ© de la prĂ©fecture, qui ne serait pas encore prĂȘte Ă lever totalement lâinterdiction frappant la baignade, le surf et le bodyboard hors du lagon et des zones surveillĂ©es.
Le 26 juillet dernier, jour de lâannonce de cet arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral, le prĂ©fet Jean-Luc Marx indiquait que la pĂ©riode de deux mois jusquâau 1er octobre devait permettre âde prĂ©ciser, complĂ©ter, voire amenderâ cette interdiction, en partenariat avec les maires et les partenaires concernĂ©s, en Ă©tudiant les conditions dâactivitĂ©s nautiques zone par zone.
Depuis cette date, des projets se sont dâailleurs faits jour, comme le dispositif RĂ©union Spotter, basĂ© sur une surveillance aĂ©rienne Ă lâaide de camĂ©ras fixĂ©es sur des ballons gonflĂ©s Ă lâhĂ©lium, ou encore le projet Cap Requins, prĂ©voyant lâinstallation de drumlines en baie de Saint-Paul.
Mais Ă quelques jours de la fin programmĂ©e de l'arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral, la tendance serait Ă une prolongation de l'interdiction. Cela au motif que les conditions ne seraient pas rĂ©unies pour de nouveau autoriser les activitĂ©s nautiques sur lâensemble du littoral. Des amĂ©nagements de l'interdit pourraient ĂȘtre Ă©tudiĂ©s, mais pas une levĂ©e pure et simple.
Cette prolongation de lâinterdiction, si elle Ă©tait effective, ne devrait pas ĂȘtre du goĂ»t de certains usagers de la mer en gĂ©nĂ©ral et du monde du surf en particulier. Une quarantaine de pratiquants a organisĂ© d'ailleurs un rassemblement ce samedi 21 septembre Ă Saint-Leu pour affirmer haut et fort leur intention de continuer Ă braver cet interdit.
En l'espace de deux années, onze attaques de requins, dont cinq mortelles, ont eu lieu à La Réunion. Au début de ce mois de septembre, un squale est arrivé à proximité immédiate d'enfants qui étaient sur le sable prÚs du débarcadÚre de Saint-Paul. L'animal a été vu alors qu'il était dans quelques centimÚtres d'eau. Quelques jours plus tard, le dimanche 15 septembre, un chien a été dévoré par un squale sous les yeux de sa maßtresse tout au bord de la plage de sable noir de Saint-Paul.
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ca fait longtemps que les gens ne pechent plus le requin, encore moins avec des chiens..
@ Dofé mounoi, tu aussi ridicule et indigne que ton pseudo le laisse supposer...
"un chien a Ă©tĂ© dĂ©vorĂ© par un squale sous les yeux de sa maĂźtresse" Elle pĂȘchait??? MĂ©thode traditionnelle Ă la RĂ©union, le chien servant proie en Ă©tant au bout de l'hameçon...
3 millions dĂ©pensĂ© , pour simplement interdire lâaccĂšs Ă la mer !!!! il y avait largement assez pour financer des solutions techniques !
"L'animal a Ă©tĂ© vu alors qu'il Ă©tait dans quelques centimĂštres d'eau." ArrĂȘtez de raconter n'importe quoi ! Il n'y a aucun tĂ©moin pour confirmer les dires de ce monsieur. Les activistes anti requins surfent sur la paranoĂŻa collective...du coup, n'importe quel gus se croit obligĂ© de dire qu'il a vu un requin...