Après avoir déjà écrit au préfet Dominique Sorain pour réclamer l'arrêt des drumlines installées dans le cadre du projet Cap Requins, le collectif des associations environnementales - ASPAS, Fondation Brigitte Bardot, Longitude 181, Requin Intégrtation, Sauvegarde des Requins, Vague, Sea Shepherd - adresse cette fois une lettre ouverte aux différents maires souhaitant adopter ce dispositif. Elles estiment que les drumlines constituent un "risque pour les usagers de la mer", s'appuyant sur une vidéo tournée à Tikehau, en Polynésie, pour affirmer que les requins capturés deviendraient des appâts pour leurs congénères. Du côté des acteurs de Cap Requins, on considère à l'inverse que l'expérimentation menée en baie de Saint-Paul a permis de démontrer qu'il n'y avait pas de phénomènes "d'attractivité".
La lettre ouverte des associations environnementales adressée aux maires est accompagnée d’une vidéo tournée à Tikehau, en Polynésie. "On y voit des requins excités venir bouffer un de leur congénère mort", souligne Jean-Bernard Galvès, porte-parole du collectif. "Cela s'est déjà produit en baie Saint-Paul à deux reprises avec Cap Requins et cela risque de se passer près des plages avec l'extension du programme Cap Requins", affirme-t-il.
Voici cette vidéo :
Voici la "lettre ouverte aux mairies qui mettront les baigneurs et surfeurs en danger en croyant payer pour leur sécurité" :
"Dans le souci louable de protéger leurs administrés, les mairies de Saint-Pierre, Saint-Leu, Saint-Benoît, Saint-Paul et Etang-Salé ont manifesté l'intention de financer la pose de drumlines. Ces mairies ont été semble-t-il été abusées quant au rôle de ces engins de pêche.
Les maires doivent savoir que Cap Requins 2 ne vise aucunement à la sécurisation des zones balnéaires : Cap Requins 2, d'un coût de 900 000 euros, n'est qu'une prétendue "étude" quant à la possibilité de capturer des requins avec ces engins de pêche, pourtant bien connus.
Le comité des pêches est dans l'impossibilité de dire comment il prétend sécuriser les zones balnéaires. Il se contente de jouer sur la confusion entre un engin de pêche, la "drumline" et la sécurisation. Mais le comité des pêches n'engage pas sa responsabilité : c'est la responsabilité des maires qui se trouve engagée .
Il suffirait aux maires, pour être fixés, de demander au comité des pêches : "les gens pourront-ils utiliser les plages et spots de surf en sécurité, une fois les drumlines installées ?" La réponse du comité des Pêches sera édifiante. Comment pourrait-il prétendre sécuriser les plages avec des drumlines ?
En Afrique du Sud, les drumlines sont utilisées pour réduire les populations résidentes de requins dangereux de façon à rendre la rencontre improbable.
A La Réunion, les études scientifiques ont commencé à montrer une circulation des requins entre La Réunion et les régions voisines. Il est donc impossible de prétendre réduire cette population de requins si d'autres viennent les remplacer.
Au vu des analyses des stations d'écoute, le comité des pêches a été obligé de revenir piteusement sur le concept d'effarouchement dont il avait fait pourtant son cheval de bataille.
Pire encore, suite à une défaillance de l'engin d'alerte, deux requins pris sur les drumlines de Cap Requins ont été dévorés par d'autres requins. Ces requins pris sont devenus d'énormes appâts attirant en fait d'autres requins vers les zones que ces drumlines sont censées protéger.
Même si une équipe intervient rapidement pour retirer le requin pris, personne ne pourra dire combien de requins auront été attirés pour le dévorer. Les requins ainsi attirés près des plages constituent de facto une menace potentielle pour les baigneurs et surfeurs, soit l'opposé de ce qui est recherché... et ce n'est pas le comité des pêches qui en portera la responsabilité.
Nous invitons les maires à visionner ce film qui montre. à partir de 1minute 10, des requins excités se regroupant pour manger un requin mort. Les maires prendront ainsi conscience du risque que la pose de drumslines près des plages de leur commune fait courir aux usagers de la mer."
Dr Jean Bernard Galvès
Porte parole et représentant au CO4R du collectif ASPAS, Fondation Brigitte Bardot, Longitude 181, Requin Intégrtation, Sauvegarde des Requins, Vague, Sea Shepherd.
Si vous voulez découvrir le mode opératoire de ce collectif.
https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10152618550189671&set=gm.743465919070801&type=1
Vous me faites tous rire en croyant que les drumlines vont sécurisez les plages et les activités nautiques comme le surf.. laissons les gaspiller l'argent publique et laissons croire aux gens que ils sont en sécurité et le massavre recommencera.. non ce problême ne sera pas résolu tant qu'on aura pas fait changer les mentalités .. oui y'a 30 ans on surfait toute la journées dans n'importe qu'elle conditions mais la reunion y'a 30 ans n'est plus la reunion d'aujourdhui.. le doublement de la population, les constructions qui se multiplient sans tenir compte du retraitement des eaux usagés , la pollution, la peche a outrance au large de nos cotes tout ces facteurs et j'en oublie certainement font que nos pauvres requins tueurs.. (17 mort a la réunion depuis 1972 combien par coup de sabre de mec bourré depuis 1972? ) bref vous pouvez faire ce quevous voulez critiquer autant que vous voulez tant que le probleme de fond ne sera pas résolu ben toute les drumilnes du monde ne serviront a rien... on peut exterminer tous les requins bien sur mais les prochains ce sera nous...
Au Docteur Jb Galves :
Après une 1ère offensive adressée au Préfet, une 2ème offensive concernant la défense des baleines, voilà la 3ème offensive de votre collectif d'associations dites environnementales.
Extraits de ce dernier courrier du collectif adressé aux maires :
"Pire encore, suite à une défaillance de l'engin d'alerte, deux requins pris sur les drumlines de Cap Requins ont été DÉVORÉS par d'autres requins. Ces requins pris sont devenus d'ÉNORMES APPÂTS attirant en fait d'autres requins vers les zones que ces drumlines sont censées protéger."
Mise en parallèle avec la page 1 du Communiqué CAP REQUINS N°6 du 22/10/2014 disponible ici :
https://www.facebook.com/media/set/?set=a.818790194809436.1073741844.291650477523413&type=1
2 requins (a priori de la même espèce, requin gris d’estuaire) ont été retrouvés déprédatés :
o 1 par un congénère (banc de requins dans la zone, a priori de la même espèce et non des soyeux.), retrouvé vivant, blessé à la queue.
o 1 par un bouledogue, soit 1 cas sur 54, SOIT 1.85% DES CAS.
Monsieur @Jb Galves, au regard de ce faible pourcentage de déprédation, comment pouvez-vous vous permettre d'en faire une GÉNÉRALITÉ?
Dans quel but utilisez vous les termes "DÉVORÉS, ÉNORMES APPÂTS" dans votre courrier? Avez-vous des éléments en votre possession que nous n'avons pas?
Quelle sera votre 4ème offensive?
Mouais... Après les faux chiens et chats appâts, la fausse drumline qui "tue" la baleine qui n'est pas morte, et après avoir dit que les tahitiens n'écorchent même pas un requin, ce serait un dispositif tahitien sur lesquelles ces associations se baseraient ???
Je me rappelle aussi d'un temps où des ossoces du même acabit parlaient d'attaques impossibles sur les baigneurs, de "requins qui ne mordent qu'une fois", etc etc...
A quand une pétition et une lettre au président de la République pour la préservation du rat ou du vers blanc ???
remarque quand on regarde un peu ce qui se passe dans le hauts, on en est pas bien loin...
Goyavier peste végétale ??? Sans déconner !! Talèr parc cosson in krime !!
De nos jours Tartuffe monterait une association de défense des requins et leur donnerait la bénédiction à grands seaux d'eau bénite bio. Ces gens là n'ont que foutre de la vie humaine.
on brule de l 'argent public pour une gabegie écologique qui ne rapportera aucune securité tant que le reunion continuera d'avoir des eaux turbides. Ceux qui défendent les requins aiment la vie au sens large, ceux qui veulent tout massacrer ne font que satisfaire leur narcisse.
Les autorités ont compris à qui elles avaient à faire ... des collectifs mythos, qui désinforment, dans le but de protéger des requins tueurs. En attendant, ces collectifs n'ont rien proposé pour réduire le risque.
Ces associations se contentent de critiquer, exagérer, déformer, désinformer, tout freiner/bloquer et ne rien proposer.
Au fait, il est de combien le taux de survie des prises accessoires ? Après nous avoir raconté n'importe quoi sur l'effet attractif des drumlines, voilà que ce collectif s'intéresse au sort des requins morts
Rappelons que les smart drumlines permettent au pêcheur d'intervenir dans les 2 heures, ce qui limite grandement la mortalité des prises, ainsi que le cannibalisme. D'ailleurs, c'est grâce à ce collectif que 2 requins ont été dévorés ... en baie de St Paul, puisque l'expérimentation devait avoir lieu dans la zone récifale, à proximité immédiate du port d'attache du pêcheur. Ces requins seraient donc probablement encore en vie aujourd'hui, sans l'action du Docteur JB Galvès ... qui a massacré combien de dizaines de requins, déjà ?
" Nous invitons les maires à visionner ce film qui montre. à partir de 1minute 10, des requins excités se regroupant pour manger un requin mort. "
"j'invite les maires à visionner ce film qui montre. à partir de 1 heure et 24 minute, des requins excités se regroupant pour manger un homme vivant."
https://www.youtube.com/watch?v=jCJedPfU2fs
stop a tout ca
Vous avez dit Polynésie ? Voilà ce que l'on peut filmer là-bas... http://www.tahiti-infos.com/Ben-Thouard-a-filme-la-vague-de-Teahupo-o-sous-l-eau-video_a115229.html