Comme chaque année, la Ville de Saint-Denis se mobilise pour offrir aux enfants et aux jeunes Dionysiens des vacances riches en apprentissages, en découvertes et en partages. "De nombreux dispositifs sont déployés sur l’ensemble du territoire communal pour permettre aux 3-17 ans de bénéficier d’activités éducatives, culturelles et sportives accessibles et de qualité" indique la mairie de Saint-Denis dont nous publions le communiqué ci-dessous (Photo mairie de Saint-Denis)
Pensés dans le cadre du projet municipal de l’École du Bonheur, ces dispositifs visent à garantir à chaque enfant, quel que soit son quartier ou son environnement, un accès équitable à des vacances épanouissantes et bien encadrées.
- Une offre riche et diversifiée pour tous les âges -
Parmi les actions phares mises en place : les Accueils Collectifs de Mineurs (ACM) accueillent les enfants de 3 à 12 ans dans différents centres répartis sur le territoire. Ces structures proposent des activités pédagogiques, sportives et culturelles encadrées par des équipes qualifiées.
Le cœur du dispositif, ce sont les centres de loisirs. Partout dans la ville, dans 37 écoles, les accueils collectifs de mineurs sont en place.
Douze associations, dont la SPL OPé, sont mobilisées pour accueillir plus de 2 000 enfants, encadrés par plus de 200 animateurs. Activités variées, ambiance joyeuse pour les marmailles et pour les parents, un tarif adapté au quotient familial. Il s’agit d’une offre populaire, massive, de qualité, au service de tous.
La Ville de Saint-Denis propose également des séjours avec hébergement : parce que partir quelques jours, pour beaucoup, c’est un rêve inaccessible.
Vingt enfants partiront camper à l’Ermitage, pendant qu’une trentaine d’enfants porteurs de handicap vivront une semaine de vacances avec l’ACH à Sainte-Suzanne. Le centre Jacques Tessier accueillera près de 310 adolescents, dans un cadre structurant et bienveillant.
- Nature, culture et détente dans l’esprit de l’École du bonheur -
Le centre de lecture du Brûlé va permettre à 80 enfants et ados de conjuguer nature, culture et détente. Et dix-sept adolescents auront même la chance de vivre un séjour à l’hôtel à Saint-Pierre, pour une parenthèse de vacances comme tout le monde.
Les vacances éducatives en pied d’immeuble (VEPI) sont aussi de retour dans la capitale ! Ce dispositif fait partie de l’ADN de la Ville de Saint-Denis. Nées pendant la crise sanitaire, ces vacances sont devenues un pilier de la politique éducative dans le chef-lieu. L’idée est simple : amener les vacances là où vivent les enfants. Dans les cours d’école, dans les gymnases, dans les locaux associatifs.
Sans oublier les partenariats avec les associations sportives qui permettent à de nombreux jeunes de s’initier ou de se perfectionner dans différentes disciplines grâce à des stages, tournois et animations encadrées par des éducateurs diplômés.
Les vacances sportives, elles aussi, sont un temps fort.
Dix-sept associations sportives partenaires proposent des stages multisports à plus de 400 enfants. Ce sont des moments de découverte, d’initiation ou de perfectionnement, dans un cadre sécurisé et bienveillant. Là encore, c’est une forme d’apprentissage, dans l’esprit de l’École du bonheur.
- Un engagement fort pour la jeunesse de Saint-Denis -
Ces dispositifs sont portés par une volonté politique claire : faire des vacances un temps d’épanouissement et d’égalité des chances.
En favorisant l’accès de tous les marmailles à des activités éducatives et de loisirs de qualité, la Ville de Saint-Denis affirme une nouvelle fois son engagement en faveur d’une jeunesse épanouie, actrice de son territoire et porteuse d’avenir.
Ericka Bareigts, Maire de Saint-Denis a déclaré "ce que nous faisons dans l’École du Bonheur et durant les vacances - car c’est un temps éducatif qui vient en prolongation de l’École du Bonheur -, c’est un temps d’éducation populaire.
Les vacances, c’est aussi ce temps pour faire des choses extraordinaires et cela peut être un temps d’injustice en raison des coûts que cela représente pour les familles.
Faire que tous les enfants puissent avoir ces temps extraordinaires, c’est une question de justice sociale et de cohésion sociale. Il faut que chaque citoyen puisse avoir ce temps de loisirs, de découvertes, d’instruction populaire.
Le combat que nous menons pour l’éducation est un grand combat qui est d’actualité en raison des coupes budgétaires qui vont avoir lieu dans les mois à venir.
Ce sont des choix politiques importants : 5 millions d’euros sont fléchés sur le dispositif des vacances avec 380 agents municipaux, 70 intervenants spécialisés, 300 vacataires et des centaines de bénévoles"