Ce mercredi 29 août 2007, Christian Blaize, Directeur territorial Réunion - Mayotte de France Télécom et Directeur Général d'Orange Réunion, a inauguré, à la technopole de Sainte-Clotilde, le premier n?ud de raccordement très haut débit installé dans l'île.
La technopole est donc désormais équipée d'un n?ud de raccordement très haut débit, relié au réseau général de fibres optiques de France Télécom. Ce réseau fait le tour de l'île, avec de nombreuses ramifications vers les hauts. Il estest raccordé au câble sous-marin SAFE. Les entreprises de la technopole peuvent ainsi bénéficier d'un accès Internet jusqu'à 8 Mbits symétrique. Elles
bénéficieront également de solutions de raccordement en fibre optique pour faire évoluer leurs réseaux à la demande et accéder à de nouveaux services de vidéos en haute définition par exemple. De même, un accès possible à des débits jusqu'à 100 Mbits/s augmentera de manière considérable en taille et en débit le flux de données échangées. Cela permettra, par exemple, le transfert quasi instantané de gros fichiers.
Christian Blaize a souligné que France Télécom "se mobilise sur le déploiement du très haut débit à La Réunion, comme elle l'a fait pour le déploiement de la technologie ADSL, C'est ainsi que nous avons déjà programmé l'équipement en très haut débit des zones d'activité de La Mare, à Gillot et de la ZAC 2000 au Port".
Ces investissements, indiquent France Télécom, se rajoutent à ceux réalisés dans le cadre du plan " haut débit pour tous ", qui a permis de porter l'éligibilité des lignes fixes à l'ADSL au taux de 98,2% en mars 2007,soit une couverture équivalente à celle de la métropole. Tous les centraux téléphoniques de l'île sont équipés. Toutes les communes disposent d'au moins une zone couverte. Le groupe a également investi dans le haut débit mobile, déployé depuis fin 2005 sur tout son réseau Orange, qui couvre 99% de la population réunionnaise. Enfin, France Télécom ajoute avoir réalisé un investissement capital pour le développement du haut et très haut débit dans la région Océan Indien, en finançant à hauteur de 96 millions de dollars (15% du coût total) le câble sous-marin SAFE.
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