[LIVE/PHOTOS/VIDÉOS] Arrivés au Port-ouest

Placés en zones d'attente, les 70 migrants souhaitent demander l'asile

  • Publié le 5 février 2019 à 17:47
  • Actualisé le 14 février 2019 à 09:37

Pour la cinquième fois en onze mois, un navire de migrants, présumé sri-lankais, a été intercepté par les autorités maritimes à environ 5 kilomètres au large des côtes réunionnaises en fin d'après-midi, lundi 4 février 2019. "L'Imula" transporte environ 70 personnes dont cinq enfants et huit femmes. Leur nationalité n'est pour le moment pas confirmée. Accompagné par la SNSM et par la brigade nautique de la gendarmerie, il est arrivé au Port-ouest vers 11h15 mardi 5 février. Débarqués, les passagers ont été pris en charge pour une évaluation sanitaire et administrative.

Ce que l'on sait :

• Un bateau présumé sri-lankais, l'"Imula" a été inercepté au large de Saint-Philippe avec à son bord environ 72 personnes.

• Il est arrivé au Port-ouest vers 11h20, débarqués, les passagers ont été pris en charge pour une évaluation sanitaire et administrative

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  • Les 72 passagers de l'Imula souhaitent demander l'asile

    Les 72 migrants arrivés ce matin au Port-ouest ont tous été pris en charge en présence d'un interprète, indique la Préfecture. Ils ont déclaré leur souhait de déposer une demande d'asile. Non admis sur le territoire français, les passagers de l'Imula ont été placés en zone d'attente.

  • Les évaluations se pousuivent au Port-Ouest sur les 72 migrants arrivés ce matin

  • Les 72 personnes placées dans trois hôtels

    Après la fin des opérations administrative (identification des personnes etc.) et sanitaire, les 72 migrants vont être conduits dans trois hôtels puisque la zone en attente de Gillot est trop limitée et qu’il n’en existe pas dans l’enceinte portuaire.

    Ces trois hôtels auront donc le statut de "ZONE D'ATTENTE"

    • Qu'est-ce qu'une zone d'attente ?

    "La zone d’attente est un lieu d’enfermement de l’étranger, précise l'avocat Maître Ali Mihidoiri. C’est une zone d’accès très limitée, la loi prévoit spécifiquement les personnes qui sont autorisées à y accéder."

    La période maximum de maintien dans cette zone est de 20 jours, sous contrôle du Juge des Libertés et de la détention. "Ce dernier intervient une première fois au bout de quatre jours pour décider, le cas échéant, d'une prolongation de 8 jours supplémentaires et une seconde fois au terme de ces 8 jours en vue d'une éventuelle prolongation exceptionnelle d'encore huit jours," signale l'Ofpra.

  • RECAP : comment les migrants peuvent-ils demander l'asile en France ?

    Demander l'asile en France n'est en rien facile : c'est une véritable bataille administrative. Penser qu'un migrant obtient facilement l'asile est une erreur... C'est long, très long et difficile. Surtout pour des ressortissants sri-lankais qui ne viennent d'un pays considéré comme dangereux.

    • Qu’est ce qu’une demande d’asile à la frontière ?

    Cette procédure a été instaurée en 1982. Elle a "pour objet d’autoriser ou non l’entrée sur le territoire, au titre de l’asile, des ressortissant étrangers qui se présentent aux frontières démunies des documents requis pour y être admis," écrit l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) sur son site. C’est le ministère de l’Intérieur qui prend la décision d’admettre ou non le demandeur sur le territoire, après avis de l’Ofpra.

    En cas d’admission sur le territoire, l’étranger a huit jours pour formuler une demande d'asile auprès de la Préfecture. Une décision de non admission se traduira par le renvoi de la personne vers son pays d’origine. Un recours est cependant possible devant le Tribunal administratif.

    Durant cette période, l’étranger est maintenu en zone d’attente.

  • Les migrants sont pris en photo un par un par les forces de l’ordre. Ils sont ensuite conduits dans un local de la CCIR (Chambre de commerce et de l'industrie de la Réunion) situé sur les quais et mis à disposition des forces de l’ordre.

  • Danny, un jeune témoigne

    Sur le quai du Port-Ouest, un jeune, Danny observe l'arrivée des migrants et témoigne : "l'île est saturée (...). On ne peut pas prendre la nourriture de nos enfants pour aller la donner aux autres là-bas, et sur l'île nous avons des SDF"

  • Plus de 20 jours de voyage ?

    Les migrants ne semblent pas avoir souffert de leur longue traversée vers La Réunion. Les 4.000 kilomètres entre le Sri Lanka et les côtes réunionnaises nécessitent au moins trois semaines de mer, un peu plus de 20 jours...

    Pourtant aucun passager n’est descendu à terre en titubant selon la démarche caractéristique des personnes ayant passé plusieurs jours en mer

  • Quelques photos de la gendarmerie nationale:

     

  • Le débarquement est terminé

    Les passagers sont actuellement pris en charge pour une évaluation sanitaire et administrative.

  • Les 72 personnes ont débarqué au Port-ouest, suivez notre LIVE sur Facebook :

     

  • Sur le quai

    Les 72 personnes sont descendues du bateau, ils sont actuellement sur le quai. Une partie est reçu dans un bâtiment. Dans ces 72 migrants, il y a 8 femmes et 5 mineurs.

  • Accueil sur les quais du Port-ouest

    Sur les quais du Port, deux demandeurs d'asile sri-lankais, arrivés en mars 2018. Le swami qui l'accueille à l’ashram du Port, a répondu aux questions d'Imaz Press :

    Ils sont accueillis depuis pluisieurs mois à l'Ashram du Port. Leurs procédures d'asile ont depuis été rejetté par l'Ofpra, ils ont fait appel. L'un d'eux pense "repartir, malgré les risque. L'autre préfère se suicider plutôt que de retourner là-bas"

  • Les passagers de l'Imula pris en charge pour une évaluation sanitaire

    COMMUNIQUÉ DE LA PRÉFECTURE
    Le bateau immatriculé « IMULA 0735CHW » au Sri Lanka, qui a été repéré hier soir au large de Saint-Philippe, a accosté au port Ouest mardi 5 février 2019 vers 11h.

    À leur arrivée, les 72 passagers, dont 8 femmes et 5 mineurs, ont été pris en charge pour une évaluation sanitaire organisée par l’ARS-OI et mise en œuvre par Médecins du Monde. Les services de la direction des douanes et des droits indirects, renforcés par la direction  départementale de la Police aux Frontières, ont réalisé une visite de sécurité du navire et ont commencé les procédures de contrôle d’entrée sur le territoire.

    Les 72 passagers seront acheminés en zone d’attente dans la journée pour examen approfondi de leur situation.

  • [PHOTOS] Le bateau vient d'accoster au Port-ouest

    Tous les passagers seront pris en charge pour une évaluation sanitaire et administrative. L'ONG Medecins de monde est présente.

  • Le bateau arrive au Port-Ouest, suivez notre live sur Facebook :

  • LE BATEAU DES MIGRANTS ARRIVE AU PORT-OUEST

  • La Réunion, nouvelle terre promise des migrants Sri-lankais ?

    Les quatre derniers navires interceptés au large de La Réunion partaient du Sri-Lanka. Le Imula semble également provenir de ce pays d'après la Préfecture.

    Pour Anthony Goreau-Ponceaud, géographe, spécialiste de la diaspora tamoule et maître de conférences à l'Université de Bordeaux, «il semblerait bien qu'une nouvelle route migratoire se développe». Les migrants privilégiaient avant la voie vers l’Australie, mais depuis 2013, Canberra refoule systématiquement en mer tous les bateaux de sans-papiers, originaires pour beaucoup du Sri Lanka, d'Afghanistan, ou du Moyen-Orient.

    Ceux qui parviennent à passer par les mailles du filet sont envoyés dans des îles reculées du Pacifique et même si leur demande d'asile est jugée légitime, ils ne seront jamais accueillis sur le sol australien. Les ONG ne cessent de dénoncer cette politique d'immigration draconienne.

    Lire aussi => La vie de désespoir des réfugiés relégués par l'Australie sur une île du Pacifique

    La Réunion devient donc une terre d’asile, la plus proche pour les Sri-Lankais malgré les quelque 4.000 km et la vingtaine de jours de navigation qui séparent les deux îles.

  • RAPPEL - Une grave crise politique frappe le Sri-Lanka depuis quelques mois

    Les "filières criminelles" exploitent les profonds clivages politiques, ethniques et religieux d'un pays en crise.

    En octobre dernier, le président Mathripala Sirisena a démis son Premier ministre Ranil Wickremesinghe, pour le remplacer par Mahinda Rajapaksa, un bourreau de la fin d’une guerre civile de 25 ans… "Qu’il y ait un flux de migrants, ce n’est pas surprenant, explique Anthony Goreau-Ponceaud, géographe, maître de conférences à l'Université de Bordeaux. Des peurs se sont animées avec la cacophonie politique. Les Tamouls ont été très vexés et surpris par le président qui a remis Rajapaksa au pouvoir. C’est lui qui avait mené l’assaut final militaire qui avait fait plusieurs milliers de morts et de déplacés forcés" lors de la guerre civile (1983-2009).

    Au parlement, les tensions explosent entre les camps adverses. Les députés règlent leur compte en pleine assemblée en s’échangeant des coups de poing ou en se lançant des chaises.  En novembre, un parlementaire raconte ainsi qu’il a été frappé à la tête par un rival avec un exemplaire de la constitution. Un autre explique qu’il a dû se faire soigner au centre médical du Parlement après voir reçu dans les yeux de l’eau mélangée avec de la poudre de piment...

    Lire aussi => Migrants : questions autour d'une "filière criminelle"

  • 72 personnes à son bord

    D'après la Préfecture, il y aurait 72 personnes à son bord, dont cinq enfants et huit femmes.

  • Le dispositif d'accueil des migrants des prêt

    Au Port-ouest, le dispositif d'accueil des migrants est prêt avec une présence des forces de l'ordre et de deux bus. Le bateau Imula devrait arriver aux alentours de 10 heures au Port, il est actuellement au large de la commune de Saint-Paul.

    REGARDEZ :

    Le bateau sera mis à côté du Wasana I, le navire arrivé le 14 décembre 2018 avec 62 personnes à bord. Le Roshan, bateau arrivé le 26 décembre et transportant 7 hommes n'est pas très loin non plus.

  • Un petit bateau bleu

    Le bateau semble identique aux navires sri-lankais arrivés précédemment au Port-Ouest, REGARDEZ :

  • Le bateau se trouve entre Saint-Leu et Saint-Gilles

    Au large de la côté ouest, le bateau se dirige vers Saint-Gilles, il arrivera au Port-ouest en milieu de matinée. Il est accompagné par un navire de la brigade nautique de la gendarmerie.

  • Au Port-ouest vers 10 heures

    Accompagné par la brigade nautique de la gendarmerie, le naivre présumé sri-lankais devrait arriver aux alentours de 9h30-10h au Port-Ouest.

  • La vedette de la SNSM à Saint-Pierre

    La vedette de la SNSM (société nationale de sauvetage en mer), partie accompagner le navire Imula est arrivée à Saint-Pierre ce matin, très tôt.

  • RAPPEL: Quatre bateaux sont déjà arrivés à La Réunion en dix mois. Que sont devenus leurs passagers ?

    • 1er bateau, arrivé en mars 2018 : Les six hommes avaient pu déposer une demande d’asile. L’un d’entre eux a choisi de rentrer au Sri-Lanka, les autres sont toujours dans l’attente de la décision de l’Ofpra (L’Office français de protection des réfugiés et apatrides). Ils ont déjà passé leur entretien.

    • 2ème bateau, arrivé en octobre 2018 : Les huit hommes ont été rapatriés en grande pompe quelques jours après leur arrivée. Du côté de la Cimade, l'association qui lutte pour le respect des droits des migrants, on se demandait si les procédures avaient été respectées...

    • 3ème bateau, arrivé le 14 décembre 2018 : Les 62 Sri-lankais, hommes, femmes et enfants ont déposé leur demande d’asile à la Préfecture. Ils sont en attente de la décision de l'Ofpra.

    • 4ème bateau, arrivé le 26 décembre 2018 : Après de multiples péripéties judiciaires, les 7 hommes arrivés à bord du "Roshan" seront reconduits dans leur pays.

     

  • Des «filières criminelles» qui organisent «un trafic d’êtres humains»

    Interviewé le 28 décembre dernier, Frédéric Joram, secrétaire général de la Préfecture de La Réunion affirme qu’il «y a manifestement des filières d’immigration illégales qui sont à l’œuvre, actives et de plus en plus actives depuis le mois de mars 2018. Elles organisent ces afflux. Il ne serait donc pas surprenant que ces filières mettent d’autres bateaux sur le chemin de La Réunion. Nous parlons de filières criminelles qui rançonnent des candidats à l’immigration, qui mettent en danger leur vie, qui exploitent leur souhait de quitter le Sri Lanka en faisant des bénéfices financiers colossaux. C’est un trafic d’êtres humains. Elles font l’objet d’une enquête judiciaire.»

    Lire ICI l'interview complète

     

  • Le bateau arrivera dans la matinée

    Accompagné par la SNSM et par la brigade nautique de la gendarmerie, l’IMULA est attendu mardi 5 février dans la matinée au grand port maritime de La Réunion, où tous les passagers seront pris en charge pour une évaluation sanitaire et administrative.

  • Bonjour bonjour

    Le bateau présumé sri-lankais l'"Imula" doit arriver au Port-Ouest dans la matinée. Il transporterait, selon la préfecture, environ 70 personnes dont cinq enfants et huit femmes.

    Il a été repéré lundi 4 février au large de Saint-Philippe. Une vedette de la SNSM l'a rejoint vers 22 heures pour l'accompagner jusqu'au Port-ouest.

À propos

Le navire présumé sri-lankais "Imula", avec à son bord 70 personnes dont 5 enfants et 8 femmes a été intercepté par les autorités maritimes au large de Saint-Philippe lundi 4 février 2019 en fin d’après-midi, a-t-on appris auprès de la préfecture.

C'est la sixième fois qu'un bateau de migrants tente d'accoster à La Réunion, le cinquième qui y parvient. Accompagné par la SNSM et par la brigade nautique de la gendarmerie, l’Imula est attendu mardi 5 février dans la matinée au grand port maritime de La Réunion, où tous les passagers seront pris en charge pour une évaluation sanitaire et administrative.

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• 4.000 kilomètres parcourous, une vingtaine de jours de navigation

Un peu plus de 4000 km sépare La Réunion du Sri Lanka. Avant ces arrivées successives de bateaux n’avait jamais eu à accueillir des migrants en provenance de ce pays

Interviewé le 28 décembre 2018 par la presse locale, Frédéric Joram, secrétaire général de la Préfecture de La Réunion affirmait il "y a manifestement des filières d’immigration illégales qui sont à l’œuvre, actives et de plus en plus actives depuis le mois de mars 2018".

"Il ne serait donc pas surprenant que ces filières mettent d’autres bateaux sur le chemin de La Réunion" ajoutait-il en parlant de "filières criminelles qui rançonnent des candidats à l’immigration"

Fredéric Joram annonçait aussi l’ouverture d’"enquête judiciaire"

Le 17 janvier dernier répondant à une question de sénateur réunionnais Jean-Louis Lagourgue, le Secrétaire d'État auprès du ministre de l'Intérieur, Laurent Nuñez indiquait "plusieurs navires ont été empêchés de quitter le Sri-Lanka pour se rendre à La Réunion." Il soulignait que des contacts avaient être pris avec les autorités Sri-lankaises pour définir des actions empêchant les départs des navires.

Le Secrétaire d’Etat assurait que "la surveillance des côtes réunionnaises a été renforcée"

Avant ces arrivées successives de bateaux en provenance du Sri Lanka, La Réunion n’était pas particulièrement confrontée au problème des migrants.

C'est la sixième fois qu'un bateau de migrants tente d'accoster à La Réunion, le cinquième qui y parvient :

=> Mercredi 26 décembre 2018, Le "Roshan", un bateau de pêche sri-lankais transportant sept migrants arrive à La Réunion. Après de multiples péripéties judiciaire, ils seront reconduits dans leur pays.

Lire aussi => Migrants : un nouveau bateau sri-lankais a accosté au port-ouest
Lire aussi => Migrants : les premiers départs de Sri-Lankais ont lieu ce jeudi soir

=> Vendredi 14 décembre, le bateau de pêche des 62 sri-lankais "Wasana 1" est intercepté au large de Mare Longue à Saint-Philippe en début d'après-midi. A la dérive, il a été escorté par la gendarmerie jusqu'au Port-est. Les migrants ont ensuite été placés en zone d'attente.

Lire aussi => Les migrants en direction de leur lieu d'hébergement temporaire
Lire aussi => Préfecture : les migrants sri-lankais plaident leur cause

Mercredi 19 décembre, les juges des libertés et de la détention du tribunal de Champ-Fleuri ont invalidé les procédures enclenchées par les services de l'État depuis l'arrivée des migrants, les jugeant illégales. Ils ont refusé de prolonger leur maintien en zone d’attente et les ont remis en liberté. Depuis, Une vingtaine d'entre-eux ont pu déposer une demande d'asile en Préfecture

Lire aussi => Les migrants en direction de leur lieu d'hébergement temporaire
et => Migrants : plus d'une trentaine de personnes n'ont toujours pas d'hébergement

=> Samedi 6 octobre 2018 : en fin de matinée, un bateau étranger accoste au Port-Ouest, encadré par la gendarmerie maritime. A son bord, huit Sri-lankais, d'une moyenne d'âge plutôt jeune, entre 20 et 30 ans,  dont un mineur d'environ 16 ans. Le bateau aurait navigué plusieurs jours en pleine mer. Alors qu'une audience devant le juge des libertés et de la détention était prévue le mercredi 10 octobre, ils ont été rapatriés en grande pompe mardi en fin d'après-midi. Du côté de la Cimade, l'association qui lutte pour le respect des droits des migrants, on se demandait si les procédures avaient été respectées...

Lire aussi => Expulsion de huit Sri Lankais : le grand cafouillage

=> Mardi 11 septembre 2018 : la marine sri-lankaise arrête au large de la côte ouest du Sri-Lanka, 90 personnes qui voyageaient illégalement dans un chalutier à destination de l'île de la Réunion.

Lire aussi => 90 migrants sri-lankais arrêtés sur un chalutier à destination de La Réunion.

=> Mercredi 21 mars 2018 : Six Sri Lankais sont retrouvés en mer au large de Saint-Gilles. Ils étaient à bord d'un radeau bricolé et ont été retrouvés en bonne santé par le CROSS (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage). Ils auraient quitté leur pays il y a une vingtaine de jours. Leur navire aurait sombré deux jours plus tôt.

Lire aussi => Des Sri Lankais retrouvés en mer au large de Saint-Gilles

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2 Commentaires
Eri974, depuis son mobile
Eri974, depuis son mobile
5 ans

Et on sait toujours pas ce que deviennent la 60aine arrivés en décembre....

Kana
Kana
5 ans

Je suis quelqu'un qui a bon coeur m avec ts ce qui se passe à la réunion, en métropole et ailleurs nous ne pouvons accueillir ses srylankais sava être la révolution