Violences urbaines

Saint-Denis : un bus du réseau Citalis cible de jets de galets rue Maréchal Leclerc, un contrôleur blessé

  • Publié le 25 mars 2024 à 12:05
  • Actualisé le 25 mars 2024 à 13:50
Saint-Denis : un bus du réseau Citalis cible de jets de galets rue Maréchal Leclerc, un contrôleur blessé [?]

Ce lundi 25 mars, un incident a eu lieu sur le réseau Citalis à Saint-Denis. Un bus a été la cible de jets de galets rue Maréchal Leclerc. Selon nos informations, trois individus auraient été aperçus dont un identifié. Un contrôleur a été blessé à la main par le jet de galets (Photo lc/www.imazpress.com)

C'est à l'arrêt Saint-Jacques que l'incident a eu lieu. "Des échauffourés qui ont démarré à la suite d'un contrôle", confirme le directeur de Citalis, Nicolas Rupert.

Le contrôleur qui a pu être amené grâce à ses collègues jusqu'à SOS Médecin.

www.imazpress.com/[email protected]

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4 Commentaires
Maria
Maria
1 an

Des individus...Pas de communauté, soyons pudiques et timides, face à des gens extérieurs à l'île et pas timides du tout face à une justice qui fait rire

Pascal
Pascal
1 an

Grave, c'est tous les jours maintenant ! Franchement c'est bien triste, si ca continue encore comme ca, a mon avis dans juste 5 ans la Reunion devient un 2e Haiti. Et on a tous bien entendu notre cher Prefet aujourdhui a la TV : 'ils sont francais comme nous tous' Tout est dit voila ce qui nous attend pff...

HULK
HULK
1 an

Oh mais quelle surprise, çà n'arrive pas souvent. Pourra-t-on connaître quels "individus" sont les coupables? Mais attention : pas d'amalgame ou de stigmatisation surtout. A la limite si on ne nous le dit pas, c'est encore mieux. Comme le dit si bien notre éminent ministre de la justice garde des "sots" : il y a un "sentiment d'insécurité". Les c..s çà ose tout, c'est d'ailleurs à çà qu'on les reconnaît ( AUDIARD).Çà s'applique tout à fait à ce donneur de leçons imbu de sa personne.Mdr.

Romuald
Romuald
1 an

Si un a été identifié. Il faut le condamner à payer 100 000 euros au conducteur et à la Citalis, le maintenir en cabane jusqu'à ce qu'il ait fini de payer la somme.
Les salopards dans notre société ne connaissent que deux arguments : la privation de liberté et quand on les frappe au porte monnaie !
Maintenant on attend "la main de fer" du pouvoir... après ses beaux discours et ses belles promesses !