Santé - Forme et bien-être

Six astuces pour être bien dans sa tête

  • Publié le 2 février 2014 à 16:00
Foule rue Maréchal Leclerc

Avec la rentrée des classes et la reprise du travail après les congés de fin d'année, le stress fait de nouveau surface. Mais ne vous en faites pas, il suffit simplement de voir le côté positif des choses pour vivre avec sérénité au quotidien. Le bien-être peut être si simple, et pourtant, l'être humain se complique la vie. Pour tenter d'y remédier, changez vos mauvaises habitudes. Celles-ci peuvent paraître futiles mais elles ont en réalité un impact sur notre bien-être. Le désordre dans la maison, la médisance et le manque de maîtrise de soi peuvent apporter la confusion dans notre esprit et freine les élans positifs. Comment se débarrasser du négatif qui absorbe nos bonnes énergies et qui attire les mauvais chakras ? Ces conseils, à ne pas prendre au pied de la lettre, peuvent en réalité vraiment vous aider !

1 / On arrête d'être makote

Passez le balai, ramassez tout ce qui traîne dans la maison. Que ce soit la vaisselle empilée en guise de décoration de cuisine, les poubelles que vous deviez jeter il y a 4 jours de cela, la nourriture sur la table basse devant la télé où les mouches jouent à cache-cache, les mégots de cigarette ou les morceaux de pizzas tellement bien cachés un peu partout dans la maison qu'on se serait crû à la chasse au trésor… Rangez, nettoyez ! Et le Feng Shui fera son effet dans votre demeure, les énergies positives circuleront facilement et vous vous sentirez plus joyeux.

2 / Faites le vide sur votre bureau de travail, lieu propice au stress

Débarrassez-vous des petites bêtises sur votre bureau qui vous tiennent à cœur mais qui en vérité ne servent à rien : les bouteilles de bières vides, le calendrier des dieux du stade de l'année dernière, votre savate gauche cachée derrière l'ordinateur, les vieux stylos qui n’écrivent plus ne vous servant qu'à mâchouiller pour déstresser, etc. Aussi, vous pouvez lancer les piles de feuilles par terre et sauter dessus, cela vous enlèvera la pression et vous verrez comment c'est amusant. Mais jetez-les ensuite car n'oubliez pas, le but est de faire le vide. Une fois l'espace de vie dégagé, ce sera plus clair dans votre tête pour travailler.

3 / On arrête de faire des ladilafé

Dès qu'il y a commérages, toutes les poules sortent de la basse-cour… Il est vrai qu'il est impossible de ne pas se sentir –sans raison- profondément impliqué par des histoires insolites du type: "Madam Paulette la kit son bonom pou alé ek Mésié Henry", ou encore "Joséphine, ou voi ti fi là? Li gagne 2 500 euros par  mois, li la fé refé son tété, mé li paye pa son loyé! Mi di a ou !"… Au point de se sentir obligé d'en parler à son voisin. Ou plutôt à ses voisins. Ce que vous venez de lire est ironique, espérons que vous l'aurez bien compris… Alors, au lieu de porter un trop grand intérêt aux histoires d'amour et d'argent de vos proches, rappelez-vous de votre carry en train de brûler, oublié sur le feu. Vous avez vous-même déjà assez de soucis dans votre vie, alors on s'occupe de soi-même. Ne rentrez pas dans les histoires des autres, allez plutôt nettoyer chez vous pour attirer les ondes positives. Pour faire bref, "okip aou !"

4 / On arrête de critiquer

Il faut être honnête : dans sa tête ou bien avec des amis, cela fait parfois du bien de dire du mal des autres… Entre les "li fé lintérésan ek son gro loto", "chévé tantine la lé mal lisé", et "maramay la lé vilain", on se défoule parfois un peu trop à dire ce genre de petites douceurs. Mais, il faut se calmer un peu, voyons... En effet, si critiquer ou se moquer des autres peut procurer un certain bien-être, il faut savoir que ces jugements négatifs renvoient en réalité à la mauvaise image que l'on a de nous-même. Arrêter de critiquer sous-entend être plus tolérant envers soi-même et de s'aimer tel que l'on est. Alors, on cesse d'être maître du moukatage et de faire des remarques désobligeantes, et on devient plus gentil(e)!

5 / On arrête d'être "gro kèr"

C'est une question de nature : il y a des gens plus susceptibles que d'autres, comme s'ils étaient plus fragiles ou ne savaient pas se protéger. Si c'est votre cas, vous dégagez des ondes négatives, il faudra faire une thérapie pour vous calmer… Être avec quelqu'un qui se vexe pour rien, c'est assez irritant. Si vos amis se moquent de vous, faites semblant de rire et d'en rajouter une couche, même si vous avez une forte envie de pleurer tellement vous êtes gro kèr. L'humour est un trésor : quand on réussit à rire de soi, on se met hors de portée des moqueries des autres, puisque l'on se moque de soi-même. Alors soyez zen, n'en venez pas aux mains. Et riez, riez, même c'est un rire nerveux, cela vous soulagera. Si votre envie de pleurer ne fait que s'intensifier tellement vous êtes vexé(e), faites semblant de pleurer de rire. 

6 / On arrête de remettre les choses au lendemain

Parfois, on a l'impression d'être constamment débordé(e). Et finalement, on ne fait rien. Arrêtez de courir partout et prenez le temps de vous occuper de choses qui vous tiennent à cœur, mais aussi de celles qui paraissent futiles et qui restent des obligations. Alors on se prend en main : on arrête de regarder son fil d'actualité sur Facebook en quête du moindre commérage et on révise ses examens si on veut avoir de meilleures notes. On va faire ses séances de kiné, on règle ses papiers qui sont en retard, on va prendre sa douche après trois jours sans s'être lavé(e), etc. On arrête de se dire qu'on a le temps, car au final on n'en a jamais. Calmez-vous et organisez-vous mieux, car inconsciemment, ces petites choses que vous traînez peuvent beaucoup vous stresser.

Bonne thérapie !

Mélissa Perciot pour www.ipreunion.com

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1 Commentaires
fred
fred
11 ans

oui Mélissa, vous avez entièrement raison, il faut que j'arrête de payer pour les autres , de m'occuper que de moi, de j'arrête de stresser quand mes factures arrivent, s'en foutre de tout quoi! je vais suivre votre conseil.Merci