[EN DIRECT - PHOTOS/VIDEO] 26.000 réfugiés ukrainiens arrivés en France

Ukraine : Zelensky prêt à parler Donbass et Crimée avec Poutine pour mettre fin aux hostilités

  • Publié le 22 mars 2022 à 05:30
  • Actualisé le 22 mars 2022 à 20:22

Au 27ème jour de la guerre en Ukraine, l'armée de Vladimir Poutine continue de pilonner le pays dont la ville et capitale ukrainienne Kiev qui est désormais sous couvre-feu jusqu'à mercredi matin 6 heures. Mardi, Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est déclaré prêt à tout discuter avec son homologue russe Vladimir Poutine s'il accepte de négocier directement avec lui, y compris de la Crimée et du Donbass, mais avec des "garanties de sécurité" en préalable. Il a prévenu que l'Ukraine serait "détruite" avant de se rendre. L'Union Européenne envisage de mettre en place un "fonds fiduciaire" pour l'Ukraine et sa reconstruction. Jean Castex a annoncé ce mardi que 26.000 réfugiés ont été accueilli à ce jour sur le territoire français. 2.400 sont déjà scolarisés. (Photo : AFP)

  • Nous mettons fin à ce direct

    Bonne soirée zot tout!

  • En attendant l'assaut russe, Kiev en "pause" le temps d'un couvre-feu

    Derrière ses sacs de sable et l'arme au pied, Kiev attend. Au 27ème jour de l'invasion, l'avancée des troupes russes semble figée au nord-ouest et à l'est de la capitale ukrainienne, à nouveau sous couvre-feu ce mardi.

    Sirènes de bombardements et détonations dans le lointain ont résonné à intervalles réguliers toute la journée, étranges tambours de guerre dans une ville fantôme, baignée d'un soleil presque printanier qui fait briller les coupoles d'or de la cathédrale orthodoxe Sainte Sophie.

    Pour ce troisième couvre-feu depuis le début de la guerre, imposé de lundi soir à mercredi matin, tous les commerces ont fermé. Chacun reste chez soi avec pour ordre de descendre "dans les abris quand les sirènes retentissent", selon le maire et ancien champion du monde de boxe Vitali Klitschko.

    "Pour les gens, constamment sous pression depuis le début de l'invasion, c'est l'occasion de souffler un peu", assure Alexis, professeur d'allemand avant la guerre, qui guide une équipe de l'AFP dans la ville. "De toute façon, ils sont traumatisés, ils n'ont pas vraiment envie de sortir..."

    La suite de ce reportages est disponible ici

  • 10.500 Ukrainiens ont une autorisation de séjour provisoire

    Le Premier ministre Jean Castex s’exprime depuis le ministère de l’Intérieur après une cellule de crise organisée pour la situation ukrainienne. Jean Castex a annoncé que 10.500 ressortissants ont reçu une autorisation de séjour provisoire en France "dans le cadre de la protection proposée par l'Union Européenne aux réfugiés ukrainiens".

  • 26.000 réfugiés ukrainiens sont arrivés en France selon Castex

    Le Premier ministre français Jean Castex a déclaré ce lundui que 26.000 réfugiés ukrainiens ont été accueillis en France à ce jour. 2.400 enfants ukrainiens sont déjà scolarisés en France, ajoute-t-il.

  • Un mort dans une attaque de drones à Kiev

    Au moins une personne a été tuée dans une attaque de drones sur un bâtiment à Kiev selon l’AFP

     

  • Près de 200.000 réfugiés ont quitté la Pologne

    Du 25 février au 20 mars, près de 400 trains ont transporté gratuitement 140.000 personnes venues d’Ukraine. 113 trains spéciaux ont en transporté plus de 45.000 passagers. Ces voyageurs se rendent à Berlin, Prague et Vienne.

  • L’OTAN déclare que le "Kremlin ment à la Russie et au monde entier" dans une vidéo

  • La Cour suprême russe confirme la dissolution de l’ONG Mémorial

    La Cour suprême avait formulé une requête exigeant la suspension de la dissolution de l’ONG Mémorial. La Cour suprême l’a rejetée ce mardi 22 mars. "La Cour suprême n'a pas accédé à la demande de reporter la dissolution de Mémorial International. La cour considère que les raisons pour une suspension doivent être vraiment exceptionnelles et proportionnées" a déclaré l’ONG dans un communiqué.

  • L’opposant russe Alexei Navalny condamné à 9 ans de détention

    L’opposant russe a été condamné ce mardi à neuf ans de prison pour "escroquerie" et "outrage à magistrat". La juge Margarita Kotoba a ajouté à cette peine un an et demi de liberté surveillée et 1,2 million de roubles d’amende, soit environ 10.000 euros selon le taux du jour.

     

  • La Russie adopte de lourdes peines pour réprimer les "mensonges" sur l’action de Moscou à l’étranger

    Ce mardi, les députés russes ont validé une loi prévoyant de lourdes sanctions pour punir les "informations mensongères" sur l’action de Moscou à l’étranger. "Ce texte, adopté en troisième lecture, punit la "diffusion publique d'informations sciemment fausses sous couvert d'informations fiables" à propos des "activités des organes de l'Etat russe en dehors du territoire russe" indique le Parlement dans un communiqué.

     

  • L’UE envisage un "fonds fiduciaire" pour l’Ukraine et sa reconstruction

    Les chefs d’Etats et de gouvernements se réuniront ce jeudi à Bruxelles pour un sommet de deux jours autour de la gestion des conséquences de l’invasion russe. Des discussions se tiendront autour de la constitution d’un "fonds fiduciaire" pour soutenir l’Ukraine et l’aider à sa reconstruction.

    Compte tenu des destructions et des pertes énormes subies par l'Ukraine à la suite de l'agression militaire de la Russie, l'UE est déterminée à apporter son soutien au gouvernement ukrainien pour répondre à ses besoins immédiats et, une fois que l'agression russe aura cessé, pour la reconstruction d'une Ukraine démocratique", détaille le document qu'a pu consulter l'Agence France Presse.

    Pour rappel l’UE a déjà débloqué 1,2 milliard d’euros pour un fonds d’urgence pour aides les autorités ukrainiennes à faire face à l’assaut des troupes russes.

     

  • Trois couloirs humanitaires ouvrent près de Marioupol

    Trois couloirs humanitaires vont ouvrir ce mardi pour évacuer la population. Ces derniers seront ouverts entre trois localités proches de Marioupol et la ville de Zaporojie à 250 km au nord-est.  Il n'y aura pas suffisamment de place pour tout le monde" mardi, mais "nous allons poursuivre l'évacuation selon le même algorithme jusqu'à ce qu'on ait s.orti tous les habitants de Marioupol"a indiqué la vice-première ministre Iryna Verechtchouk

     

  • Les pourparlers avec l’Ukraine ne sont pas assez "substantiels" pour le Kremlin

    Ce mardi le Kremlin a jugé que les pourparlers en cours l’Ukraine ne sont pas assez "substantiels" alors que le président Zelensky lui a déclaré être prêt à des "compromis" soumis à un référendum. Un certain processus (de négociations) a lieu, mais nous souhaiterions qu'il soit plus énergique, plus substantiel", a indiqué à la presse Dmitri Peskov, le porte-parole de la présidence russe. Si Volodymyr Zelensky s’est dit être prêt à discuter de la Donbass et de la Crimée, Poutine lui refuse toujours de discuter avec son homologue ukrainien.

     

  • Le maire de Boryspil appelle la population à évacuer

    Volodymyr Boryssenko a appelé les civils à quitter la ville située aux alentours de Kiev. "Le moins de civils il y aura dans la ville, le plus facile ce sera pour les forces armées de se déployer. Il n'est pas urgent de rester dans la ville car des échanges de tirs se déroulent autour d'elle. J'appelle la population civile à être intelligente et à quitter la ville dès que l'occasion se présente" a-t-il déclaré.

     

  • Le prix Nobel de la paix 2021 va mettre sa médaille aux enchères

    Le Russe Dmitri Mouratov, prix Nobel de la paix 2021 va mettre aux enchères sa médaille pour venir en aide aux réfugiés ukrainiens. Les bénéfices seront reversés aux réfugiés ukrainiens. Dmitri Mouratov est le rédacteur en chef de Novaïa Gazeta, un des derniers journaux russes indépendant, rapporte BFMTV.

     

  • Zelensky s’est entretenu avec le pape

    Le président ukrainien s’est entretenu avec le pape François en amont de sa prise de parole avec le parlement italien. "J'ai parlé à Sa Sainteté de la situation humanitaire difficile et du blocage des couloirs de secours par les troupes russes. Le rôle médiateur du Saint-Siège pour mettre fin à la souffrance humaine serait apprécié. Remercié pour les prières pour l'Ukraine et la paix".

     

  • L’Ukraine est le "rempart de l’Europe" affirme Zelensky

    Le président de l’Ukraine s’exprime devant le Parlement italien ce mardi. Il a affirmé que l’Ukraine est le "rempart de l’Europe" en appelant Rome à renforcer son soutien à Kiev pour faire face à l’agression russe. Nous défendons les valeurs de liberté. Aujourd'hui l'Ukraine, c'est la porte de l'Europe, son rempart. Aujourd'hui, les Ukrainiens défendent les Européens" Le chef de l’Etat ukrainien a également évoqué la ville de Marioupol aujourd’hui "en ruine" qu’il a comparé à celle de Gênes.

    Il a d’ailleurs comparé Kiev à la capitale italienne.  "Kiev a une importance pour le monde comme Rome. Cette ville a déjà connu des épisodes de guerres terribles".

  • Navalny reconnu coupable d’escroquerie et d’outrage par un tribunal russe

    L’opposant russe Alexei Navalny, victime d’une tentative d’empoisonnement en août 2020 a été reconnu coupable ce mardi par un tribunal russe d’escroquerie et d’outrage. Les procureurs ont indiqué vouloir transférer Navalny dans une colonie pénitentiaire à sécurité maximale pendant 13 ans. Les deux condamnations que vient de recevoir le critique du Kremlin ouvre la voie à une lourde peine de prison, rapporte BFMTV

  • Selon le maire de Mykolaïv, 3 personnes sont mortes et 80 ont été blessées

    À Mykolaïv, la ville fonctionne, l'eau fonctionne, les transports communaux circulent, mais la ville continue de vivre sous bombardements incessants. Les Russes utilisent des armes interdites, comme les munitions à cassettes. Hier, trois personnes sont mortes suite à des bombardements, 80 blessés", a indiqué l’édile à BFMTV.

     

  • Vladimir Poutine "envisage" d’avoir recours à des armes chimiques selon Biden

    Pour Joe Biden, président des Etats-Unis, le chef de l’Etat russe "envisage" d’avoir recours aux armes chimiques. Pour le président américain, la récente utilisation d'un missile hypersonique dans le conflit par l'armée russe montre l'impasse stratégique dans laquelle elle se trouve, rapporte BFMTV.

    Il y a une raison pour laquelle ils l'ont utilisé. Poutine est dos au mur. Il ne prévoyait ni l'étendue, ni la force de notre unité. Et plus il est dos au mur, plus il aura recours à des tactiques de plus en plus dangereuses"

  • Attal appelle à un cessez-le-feu pour "qu’il y ait une négociation"

    Le porte-parole du gouvernement était l’invité d’Europe 1. Il s’est exprimé sur la situation ukrainienne et a appelé à un cessez-le-feu. Selon Gabriel Attal il est impossible "qu'il y ait une négociation avec un pistolet sur la tempe." "C'est pour cela qu'on demande un cessez-le-feu".

    Il faut y voir le fait que le président Zelensky est prêt à négocier avec Poutine, mais il faut être deux pour négocier. Le président Poutine n’a pas souhaité avoir cette négociation. C’est pour cela que Macron fait l’intermédiaire entre les deux" explique le porte-parole du gouvernement.

  • Pour les Ukrainiens, les femmes, les enfants... et les animaux d'abord !

    Eux aussi ont fui la guerre avec les Ukrainiens: chiens et chats se retrouvent désormais par dizaines dans les centres d'accueil pour réfugiés, où ils posent un défi "inédit" et inattendu à la chaîne de l'accueil en France.

    Anastasia Radchenko vient tout juste d'arriver de Pologne, avec sa fille et son fils, en ce vendredi de la mi-mars. A ses pieds, dans la salle d'attente du centre dédié aux déplacés du conflit ukrainien, à Paris, tout ce qu'elle a pu emmener dans une fuite précipitée: un sac à dos, un sac de voyage à roulettes et la niche de Lucky, un caniche blanc.

    "On a dû tout quitter en 25 minutes", explique à l'AFP cette mère qui a fui le territoire séparatiste de Donetsk (est) "avec l'essentiel". Son mari est resté au combat.
    "Comment pourrait-on laisser un ami si fidèle sous les bombardements ? Ce n'est pas possible", s’agace Anastasia Radchenko, surprise qu'on puisse seulement questionner cette présence canine.

    Dans le centre, des dizaines de bêtes à poil accompagnent chaque jour les réfugiés, prenant parfois place dans des poussettes pendant que les enfants recommencent timidement à jouer. Une population qui fuit vers la France avec autant d'animaux, "c'est inédit, on n'avait jamais vu ça auparavant", convient Sara Daneshvar, responsable pour l'association France terre d'asile des orientations du centre vers des hébergements.

    La suite du reportage est ici

     

  • Les sirènes anti-bombardements retentissent à Odessa

    Ce mardi matin, les sirènes anti-bombardements résonnent dans la ville d’Odessa qui a été bombardée ce lundi.

     

  • La France envoie 55 tonnes d'aides humanitaires

    La France a acheminé 55 tonnes de matériel médical, informatique, de lait pour enfants ainsi que des groupes électrogènes vers l’Ukraine via la Pologne. Cette aide d’urgence est d’une valeur de 2,4 millions d’euros. Elle a été envoyée par avion-cargo a précisé le ministère des Affaires étrangères.

     

  • Le Japon proteste contre l’abandon de Moscou des pourparlers de paix

    Le Japon a "fermement" protesté mardi contre la décision de la Russie d’avoir abandonné les pourparlers de paix entre les deux pays. Selon Moscou la "position inamicale" du Japon est la raison pour laquelle le traité de paix n’a pas abouti. Cette situation est le résultat de l'agression russe en Ukraine", a déclaré le Premier ministre japonais Fumio Kishida.. "La tentative consistant à déplacer cette question vers les relations entre le Japon et la Russie est extrêmement injustifiée et absolument inacceptable" a-t-il ajouté.

  • Un reportage de TF1 : Les personnes âgées dans la guerre à Kiev
     

     

  • Joe Biden craint l'utilisation par les Russes d'armes chimiques et biologiques

    Des armes chimiques et biologiques seront-elles utilisées par les Russes ? Moscou a suggéré que l'Ukraine en détenait, ce qui est "un signe clair qu'il (Vladimir Poutine) envisage d'utiliser ces deux types d'armes", a estimé Joe Biden lundi soir lors d'une rencontre à Washington avec des représentants du monde des affaires.

    Le Président américain a averti qu'une telle décision entraînerait une réponse occidentale "sévère". "Il est dos au mur", estime Joe Biden le chef de l'Etat en rappelant que Moscou a récemment accusé les Etats-Unis de détenir des armes chimiques et biologiques en Europe.

  • Les premiers enfants malades sont arrivés en France, selon leparisien.fr

    20 enfants ukrainiens atteints de cancers et de leucémie, accompagnés de leurs parents fuyant la guerre, sont arrivés hier  dans l'Hexagone pour être soignés dans le cadre de la solidarité européenne face à l'invasion russe. Après avoir atterri à Orly, ils ont été dispatcher vers divers hôpitaux à Paris et en régions.

     

  • Zelensky se dit prêt à parler Donbass et Crimée avec Poutine

    Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s'est déclaré prêt à tout discuter avec son homologue russe Vladimir Poutine s'il accepte de négocier directement avec lui, y compris de la Crimée et du Donbass, mais avec des "garanties de sécurité" en préalable, et en prévenant que l'Ukraine serait "détruite" avant de se rendre.

    Près d'un mois après le début de l'invasion de l'Ukraine par la Russie et alors que les bombardements se poursuivent sur les grandes villes du pays, le président ukrainien s'est pour la première fois dit ouvert à "essayer d'aborder tout ce qui contrarie et mécontente la Russie", dans une interview à plusieurs médias diffusée dans la nuit de lundi à mardi.

    "La question de la Crimée et du Donbass est une histoire très difficile pour tout le monde". Il faut "des garanties de sécurité" et la fin des hostilités, et "une fois que ce blocage sera levé, parlons", a dit M. Zelensky à propos de la presqu'île annexée par la Russie en 2014 et de la région de l'est de l'Ukraine où des séparatistes prorusses ont proclamé deux "républiques", uniquement reconnues par Moscou.

    Le chef d'Etat, qui veut parler directement à son homologue russe, a aussi avancé que le peuple devrait, par référendum, "se prononcer sur certaines formes de compromis" conclus avec la Russie. Tout en prévenant: "Nous devons tout faire pour que le Donbass et la Crimée nous reviennent (...) Une question de temps ? Oui. Mais l'arrêt de la guerre, maintenant, c'est ça la question".

    M. Zelensky a aussi déclaré qu'il ne voulait pas "que l'Histoire fasse de nous des héros et une nation qui n'existe pas", et a martelé que l'Ukraine serait "détruite" avant de se rendre.

    Plusieurs sessions de tractations entre Kiev et Moscou se sont déroulées en présentiel et par visioconférence depuis le déclenchement de la guerre, sans résultat pour l'heure.

     

  • Présidentielle en France : les candidats tentent de mobiliser sur fond de guerre en Ukraine

    l'Ukraine s'invite de nouveau dans cette drôle de campagne avec le président Volodymyr Zelensky qui interviendra mercredi en direct par vidéo devant les députés et sénateurs français, quasiment un mois après l'invasion russe.

    La candidate du Rassemblement national a marqué sa différence lundi, affirmant qu'elle n'avait "pas d'admiration particulière" pour le président ukrainien et en expliquant sur franceinfo qu'elle ne serait pas mercredi à l'Assemblée quand il s'adressera aux députés français en raison "d'obligations prises depuis bien longtemps".

    "Je crois juste qu'il se comporte comme un chef d'Etat. Et ça ne devrait pas susciter l'admiration, ça devrait être +normal+", a-t-elle dit, s'attirant aussitôt les foudres et les moqueries, venant notamment du côté d'Emmanuel Macron. Quelques heures plus tard, elle a finalement annoncé sa présence mercredi.

    Son rival de la gauche radicale Jean-Luc Mélenchon, seul autre député au sein des candidats à la présidentielle, a fait savoir qu'il serait bien présent à l'Assemblée pour l'intervention du chef de l'Etat ukrainien.

    La suite du reportage est ici

     

  • Un reportage du Monde : "des manifestants polonais réclament l’interdiction du commerce avec la Russie"

    "Poutine finance sa guerre grâce aux échanges commerciaux, il faut que ça cesse !" : à un poste-frontière polonais des manifestants tentent de bloquer le passage des camions en provenance d’Europe de l’Ouest, vers la Russie et la Biélorussie.

     

  • "Crime de guerre majeur"

    L'armée russe a affirmé lundi avoir ciblé une cache d’armes au lendemain du bombardement meurtrier d’un centre commercial à Kiev, l’UE qualifiant de son côté de "crime de guerre majeur" la dévastation de la ville assiégée de Marioupol

     

  • Volodymyr Zemenski : "c'est l'épreuve la plus importante pour le monde entier et pour toute l'humanité"

    Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a accordé une interview exclusive à l’Union des médias publics européens, dont France Télé. Regardez

     

  • Koman i lé La Réunion ?

    Nous suivons toujours en direct l'évolution de l'invasion russe en Ukraine.

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À propos

- Kiev de nouveau sous couvre-feu -

La capitale ukrainienne est désormais sous couvre-feu, qui a débuté ce lundi soir et qui prendra fin mercredi matin à 6h alors que la ville est encore bombardée par les forces russes. Une frappe aérienne dans la nuit de lundi à dimanche a fait 8 morts. La ville porturaire de Marioupol est toujours sous les frappes et les tirs russes.

- Facebook et Instagram interdits sur le sol russe -

Le pays a d'ailleurs interdit les réseaux sociaux Facebook et Instagram pour "extrémisme". Un tribunal russe a interdit lundi les géants des réseaux sociaux Facebook et Instagram pour "extrémisme", une mesure prise au moment où Moscou vise un contrôle total de l'information en ligne en pleine offensive en Ukraine. "Le tribunal a satisfait une action en justice déposée par le premier procureur général adjoint contre la société holding Meta Platforms Inc. portant sur l'interdiction de ses activités sur le territoire russe", a indiqué la cour. Facebook et Instagram, détenus par Meta, sont donc "interdits pour cause d'activité extrémiste", a ajouté le tribunal dans un communiqué publié sur Telegram. Cette interdiction ne vise en revanche pas l'application de messagerie WhatsApp, elle aussi détenue par Meta, le tribunal ayant estimé qu'elle ne servait pas de moyen de "diffusion publique d'informations" rapporte l'AFP.

- Une journée d'échanges -

Lors de son échange avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, Emmanuel Macron a réitéré sa demande de "retour à la paix". Le président de La République "la mise en œuvre par tous les moyens d'un retour à la paix, en commençant par des accès humanitaires, un cessez-le-feu, le retrait des troupes russes, et les conditions d'un règlement diplomatique." Emmanuel Macron a d'ailleurs indiqué que la France continuerai à accueillir des réfugiés ukrainiens.

Le président ukrainien lui a appelé Pékin à jouer "un rôle important" dans la crise russo-ukrainienne. La Chine est en effet aux premières loges de la guerre depuis que la Russie a fait appel à son fidèle allié pour une aide militaire. Joe Biden avait d'ailleurs échangé avec Xi Jinping qui lui avait assuré qu'un conflit n'était dans l'intérêt d'aucun pays.

En réponse aux accusations de Joe Biden, le Kremlin a convoqué l’ambassadeur américain ce lundi. Selon la Russie, le chef de l'Etat américain est responsable d’avoir conduit les relations entre les deux pays "au bord de la rupture" par ses déclarations "indignes" visant le chef de l’Etat russe, le qualifiant de "criminel de guerre".

- Kiev de nouveau sous couvre-feu -

La capitale ukrainienne est désormais sous couvre-feu, qui a débuté ce lundi soir et qui prendra fin mercredi matin à 6h alors que la ville est encore bombardée par les forces russes. Une frappe aérienne dans la nuit de lundi à dimanche a fait 8 morts. La ville porturaire de Marioupol est toujours sous les frappes et les tirs russes.

- De nouveaux couloirs humanitaires vont ouvrir -

La vice-première ministre ukrainienne Iryna Vereshchuk a annoncé ce lundi l'ouverture de 8 couloirs humanitaires pour évacuer les populations des villes des régions de Donetsk, de Lougansk et de la capitale Kiev. Le peuple ukrainien toujours menacé par les frappes russes résiste à l'envahisseur. Des habitants de la ville de Kherson, occupée par les militaires russes ont fait reculer des camions se trouvant dans la ville.

- Une possible famine due à la guerre en Ukraine -

Le ministre des Affaires étrangères Jean-Yves le Drian a évoqué les menaces qui planent sur la communauté internationale et liée à la guerre en Ukraine, notamment l'alimentaire, un secteur qui pourrait faire l'objet d'un manque d'approvisionnement. "On connaît l'ampleur des productions de céréales en particulier de l'Ukraine et de la Russie, et on voit les conséquences de la guerre. L'impossibilité de récolter, l'impossibilité de semer, l'impossibilité d'exporter. (...) C'est la guerre qui empêche, et c'est la guerre qui demain entraînera des risques de famine", a mis en garde le ministre avant un sommet avec ses homologues européens.

www.ipreunion.com / redac@ipreunion.com avec AFP

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