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Bassins de rétention d’eau dans les Deux Sèvres : un manifestant et un gendarme en urgence absolue, 31 blessés

  • Publié le 25 mars 2023 à 17:00
  • Actualisé le 26 mars 2023 à 05:38

Ce samedi 25 mars 2023 est émaillé par des violences, alors que des milliers de manifestants sont mobilisés contre les "bassines" (basins de rétention d'eau)des Deux-Sèvres bravant l'interdiction préfectorale de défiler. Le chantier protégé par 3.200 gendarmes et policiers est le théâtre de nouveaux affrontements violents entre forces de l'ordre et manifestants. Un évènement qui se déroule dans un contexte de mobilisation contre la réforme des retraites. Emmanuel Macron s'est dit vendredi "à disposition de l'intersyndicale" pour discuter des questions liées au travail, mais sans remettre en cause sa réforme des retraites. Le chef de l’État ne veut pas d'un "pays à l'arrêt" et entend "continuer à avancer" malgré la colère sociale qui a provoqué le report de la visite d’État de Charles III. (Photo AFP et www.imazpress.com)

  • Fin de direct

    C'est la fin de ce direct. Merci d’avoir suivi cette actualité avec nous.

    Bonne soirée à toutes et à tous !

  • Sainte-Soline : depuis le ministère de l'Intérieur, Gérald Darmanin dévoile un premier bilan

    Après cette journée de forte tension près du projet de bassines dans les Deux-Sèvres, le ministre de l'Intérieur fait état de 24 gendarmes blessés dont un héliporté et actuellement en urgence absolue. Côté manifestants, Gérald Darmanin affirme que sept ont été blessés dont un en urgence absolue.

    Il a également annoncé 15 interpellations depuis hier, 12 sont toujours en garde à vue.

  • Plusieurs blessés du côté des manifestants et des forces de l'ordre

    À Sainte-Soline, la dispersion de la manifestation a été "une nouvelle fois ordonnée" selon la préfecture. Plusieurs blessés sont évacués.

    Les organisateurs annonce une cinquantaine de blessés côté manifestants dont trois en urgence absolue. L'organisme des soulèvements de la terre dénonce des prises en charges empêchées par les forces de l'ordre et un abus de violence.

    #BlessésSainteSoline | Un blessé en URGENCE VITALE n'a PAS PU ÊTRE PRIS EN CHARGE depuis 30 minutes - 1 heure, car la police a empêché le samu de passer. @marinetondelier et la @ConfPaysanne ont appelé la préfecture, la @LDH_Fr met la pression pour qu'on puisse accéder. pic.twitter.com/dtB7gVt1TV

    — Les Soulèvements de la Terre (@lessoulevements) March 25, 2023

    La porte-parole de la gendarmerie déclare également des blessés côté forces de l'ordre.

    Un photographe a lui aussi été touché lors des affrontements.

  • Gérald Darmanin dénonce une violence "insupportable" de "l'ultra et l'extrême gauche" dans les Deux-Sèvres

    Le ministre de l'Intérieur réagit aux évènements en cours à Sainte-Soline. Dans un tweet, ils dénoncent une violence "inqualifiable" et apporte son soutien aux forces de l'ordre sur place.

  • Jean-Luc Mélenchon soutient la manifestation dans les Deux-Sèvres, des députés LFI sur place

    Le chef de parti de la France insoumise affirme son soutien à la mobilisation contre les "mégabassines" à Sainte-Soline et félicite les organisateurs sur les réseaux sociaux.

    Huit députés LFI seraient sur place.

  • Trois véhicules de gendarmerie incendiés

    Près du chantier des bassines, les affrontements se poursuivent. Les forces de l'ordre sont la cible de tirs de mortiers, jets de cocktails Molotov et de projectiles divers. Une opération de gendarmerie est en cours pour repousser les assauts.

    La gendarmerie demandent d'éviter le secteur en raison de la violence des affrontements.

    Un général de division de gendarmerie confirme que la situation est très difficile pour les forces de l'ordre.

  • Contre les bassins de rétention d'eau : affrontement entre les forces de l'ordre et les manifestants

    L'AFP rapporte qu'un long cortège avait commencé à défiler en fin de matinée, composé d’au moins 6.000 personnes selon la préfecture, “probablement un peu plus”, et d’environ 25.000 selon les organisateurs – le collectif d’associations “Bassines non merci” malgré l’interdiction du rassemblement.

    "Le but, c'est d'approcher et d'encercler la bassine pour faire stopper le chantier", a affirmé un membre des Soulèvements de la Terre au départ de la manifestation.

    À l'approche du chantier, des premiers affrontements ont éclaté rapidement entre forces de l'ordre et militants radicaux, avec des jets de projectiles et des tirs de mortier auxquels policiers et gendarmes ont riposté avec des gaz lacrymogènes et le canon à eau, selon des journalistes de l'AFP.

    Des affrontements sont toujours en cours. Des véhicules ont été incendiés.

    Lors de la dernière mobilisation contre les bassines à l’automne des affrontements avaient déjà été observés.

    À lire aussi : Bassines: premiers affrontements entre manifestants et forces de l’ordre à Sainte-Soline
  • Deux-Sèvres : 11 personnes mises en garde à vue avant le début de la manifestation

    11 personnes ont été interpellées et placées en garde à vue pour détention d'objets dangereux (boules de pétanque, haches...) avant le départ du convoi anti-bassins à Sainte-Soline.

    La préfète des Deux-Sèvres a annoncé 6000 manifestants déjà sur place dont 1000 "issues de groupes constitués violents, déjà fortement équipés et qui sont prêts à en découdre avec les forces de police".

  • Plusieurs personnalités politiques affirment leur soutien à Aurore Bergé, victime de menaces

    Aurore Bergé, cheffe des députés Renaissance à l'Assemblée a publié vendredi soir sur les réseaux sociaux une lettre de menace envers elle et son bébé de 4 mois reçue suite au passage de la réforme des retraites.

    Marine Lepen, représentante du Rassemblement national, Eric Ciotti, président des Républicains ou encore Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste ont condamné cet acte.

  • Deux-Sèvres : la manifestation est lancée, la préfecture avertit de la présence de "centaines d'individus radicaux"

    La préfecture des Deux-Sèvres invite les manifestants mobilisés à Sainte-Soline contre le projet de méga-bassines "à la plus grande prudence" dans un communiqué publié ce matin. Des centaines d'individus radicaux seraient sur place et prépareraient "des actions violentes" selon les autorités.

    De nombreuses personnes sont déjà présentes malgré un arrêté préfectoral pris en amont pour interdire les manifestations.

    Des premières images de la mobilisation ont été publiées sur les réseaux sociaux. Regardez

  • L’Iran condamne fermement la « répression des manifestations » en France

    L’Iran a condamné les agissements des policiers contre les manifestants en France dans un tweet publié par Hossein Amir-Abdollahian, ministre des affaires étrangère qui s’inquiète du « manque d’engagement français envers les principes de la démocratie et de la liberté d'expression ».

    Le ministre iranien a appelé le gouvernement français à « respecter les droits de l’homme » et à « s’abstenir de recourir à la force contre le peuple de son pays qui poursuit pacifiquement ses revendications ».

  • Un cheminot de Sud-rail a perdu définitivement la vue d'un œil lors de la manifestation à Paris jeudi

    Le cheminot a été éborgné par une grenade de désencerclement jeudi lors de la manifestation contre la réforme des retraites, selon un syndicaliste présent. L'homme aurait définitivement perdu l'usage d'un œil.

    Pour Julien Troccaz, représentant Sud-rail "cet acte ne restera pas impuni".

  • Contre la réforme des retraites : manifestations à Saint-Denis et Saint-Pierre ce mardi

    L'intersyndicale appelle dans un communiqué à une nouvelle journée de mobilisation à La Réunion contre la réforme des retraites le mardi 28 mars 2023.

    "Si le Conseil Constitutionnel ne censure pas cette loi, le Référendum d’Initiative Partagé devra s’y employer. D’ici là, la mobilisation sous toutes ses formes (grèves, manifestations) ne doit pas faiblir. C’est pourquoi l’intersyndicale soutient toutes les initiatives prises dans les secteurs et branches professionnelles et appelle les travailleur.es avec ou sans emploi, les jeunes ainsi que la population à rejoindre massivement les défilés prévus mardi 28 mars prochain"

    Deux manifestations sont prévues à Saint-Denis au départ du jardin de l'État à 9h et à Saint-Pierre au rond-point de Pierrefonds où le convoi partira également à 9h en direction du front de mer.

    À lire aussi : Contre la réforme des retraites : manifestations à Saint-Denis et Saint-Pierre ce mardi
  • Un manifestant interpelle les forces de l'ordre sur les violences, une vidéo partagée par le rappeur Booba

    Dans un tweet publié vendredi, le rappeur français Booba a affirmé son soutien à la mobilisation en partageant une vidéo d'un manifestant faisant face aux forces de l'ordre pour les interpeller sur les violences et la réforme des retraites.

  • Laurent Nuñez, préfet de police de Paris, dénonce des propos "abusifs" de l'unité de la BRAV-M

    Invité de l'émission télévisée "C à vous" diffusée sur france 5, le préfet de police de Paris Laurent Nuñez interrogé sur la vidéo d'insultes et d'intimidation de la part de l'unité de la BRAV-M dénonce des propos « abusifs ». "Nous exigeons une déontologie irréprochable. Je suis très choqué et je demande la saisine de l'inspection générale de la police nationale" a t-il souligné.

    Laurent Nuñez a tout de même tenu a soutenir les policiers. "Ce que font les policiers en ce moment est remarquable. Ils font face, tiennent le coup et sont très courageux" a t-il lancé.

    Pour rappel, hier un enregistrement audio repris par plusieurs médias révèle des propos violents et insultants à l'encontre des manifestants de la part de la BRAV-M en marge de la manifestation contre la réforme des retraites.

  • Match France/Pays-Bas : les supporters de foot scandent "Macron démission" au stade de France

    Hier soir, lors du match de foot France/Pays-Bas au stade de France, les supporters ont hués le président de la République à la 49ème minute et 3 secondes. Ils ont également scandé "Macron démission".

    Les forces de l'ordre étaient présentes en nombre au stade où des rumeurs faisaient état de la présence d'Emmanuel Macron qui a finalement renoncé au match.

     

  • Deux-Sèvres: plus de 3.000 gendarmes et policiers mobilisés

    Des dizaines de tracteurs sont arrivés vendredi soir au campement des manifestants comptant braver samedi l'interdiction préfectorale de défiler contre les "bassines" des Deux-Sèvres, protégées par 3.200 gendarmes et policiers pour tenter d'éviter de nouveaux affrontements.

     

    Un peu plus tôt, la gendarmerie a signalé de premiers heurts dans le département voisin de la Vienne où des manifestants ont sectionné des barrières pour accéder à une voie à grande vitesse, mais ont été repoussés par les forces de l'ordre.

    A la demande de la préfecture locale, la SNCF a détourné les trains sur le "réseau secondaire" entre Poitiers et Angoulême.

    Les opposants à ces projets de réserves d'eau, qu'ils qualifient de "mégabassines", ont, eux, évoqué une action de "diversion" pour permettre au convoi de tracteurs "de couper à travers champs" et ainsi "déborder le dispositif" policier destiné à le bloquer, dans un communiqué transmis par le collectif Bassines non merci, l'un des organisateurs de ce week-end de contestation.

    Les autorités s'attendent à la venue dans le département, samedi, de 7.000 à 10.000 opposants à ces retenues d'eau destinées à l'irrigation agricole, dont "environ 1.500 activistes radicaux formés à la violence", selon Mme Dubée.

    Plus d'un millier de manifestants sont déjà arrivés vendredi, de nombreux groupes cagoulés et habillés en noir, ont constaté des journalistes de l'AFP.

    Lire l'article ici
  • Bonjour La Réunion

    Koman zot i lé gran matin là

    Après une nuit relativement calme sur le front des prostrations contre la réforme des retraites, une nouvelle journée de mobilisation se prépare.

    Cette fois c'est Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres que se portera particulièrement l'attention. Des milliers de personnes comptent braver l'interdiction de manifester contre des projets de réserves d'eau qualifiées  de "mégabassines".

    Les opposants au projet de réforme des retraites devraient grossir encore les rangs des manifestants.

    Restez avec nous, nous sommes en direct

À propos

Les opposants à ces projets de réserves d'eau, qu'ils qualifient de "mégabassines", ont, eux, évoqué une action de "diversion" pour permettre au convoi de tracteurs "de couper à travers champs" et ainsi "déborder le dispositif" policier destiné à le bloquer, dans un communiqué transmis par le collectif Bassines non merci, l'un des organisateurs de ce week-end de contestation.

La préfète des Deux-Sèvres, Emmanuelle Dubée, a également signalé sur BFMTV des attaques de "Black blocks armés" dans l'après-midi contre un point de contrôle et un barrage de gendarmerie.

Camions militaires, quads, hélicoptères: les forces de l'ordre avaient commencé à prendre position dès vendredi matin autour de la "bassine" en construction à Sainte-Soline, théâtre fin octobre de la dernière manifestation contre ce projet de réserves d'eau, elle aussi interdite.

Les autorités s'attendent à la venue dans le département, samedi, de 7.000 à 10.000 opposants à ces retenues d'eau destinées à l'irrigation agricole, dont "environ 1.500 activistes radicaux formés à la violence", selon Mme Dubée. Plus d'un millier de manifestants sont déjà arrivés vendredi, de nombreux groupes cagoulés et habillés en noir, ont constaté des journalistes de l'AFP.

- Tensions sociales -

Au lendemain d'une nouvelle journée de mobilisation marquée par un regain de violences, le patron de la CFDT Laurent Berger a appelé, pour "apaiser les choses", le chef de l’État à mettre "en pause" pendant six mois le projet phare de son second quinquennat.

Depuis Bruxelles, où il assistait à un Conseil européen, Emmanuel Macron n'a pas accédé à cette demande.

"J'ai indiqué notre disponibilité à avancer sur des sujets comme l'usure professionnelle, les fins de carrière, les reconversions, l'évolution des carrières, les conditions de travail, les rémunérations dans certaines branches", a déclaré le président français. "Et donc je suis à la disposition de l'intersyndicale si elle souhaite venir me rencontrer pour avancer sur tous ces sujets".

"Pour le reste et la réforme des retraites, elle est devant le Conseil constitutionnel et il est évident que nous attendrons la décision du Conseil constitutionnel", d'ici moins d'un mois, a-t-il précisé.

Les syndicats avaient demandé, le 8 mars, à être reçus en urgence par Emmanuel Macron, qui leur avait alors opposé une fin de non-recevoir. La Première ministre Élisabeth Borne les avait alors renvoyés vers le ministre du Travail Olivier Dussopt.

-"Bon sens" pour Charles III-

Emmanuel Macron a également dû se justifier sur le report de la visite d’État de Charles III, prévue de dimanche à mercredi.

"Le bon sens et l'amitié nous conduisent à proposer un report". "Nous ne serions pas sérieux et nous manquerions d'un certains bon sens", à "proposer une visite au milieu des manifestations", a-t-il dit.

Charles III était notamment attendu à Bordeaux, théâtre d'incidents jeudi, où le porche de l'hôtel de ville a été incendié.

Les dirigeants politiques se sont immédiatement emparés de ce report, à commencer par les opposants à la réforme des retraites.

"La réunion des rois à Versailles dispersée par la censure populaire", s'est réjoui le leader de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, en référence au dîner d’État qui était prévu au château des rois de France.

Même tonalité à droite: "quelle image pour notre pays de n’être même pas en capacité d’assurer la sécurité d’un chef d’État", a réagi le patron des Républicains (LR), Éric Ciotti.

Cette visite d’État, pour laquelle 4.000 policiers et gendarmes devaient être mobilisés, suscitait des interrogations croissantes, renforcées par le regain de tensions de jeudi.

"Il faut que tout le monde appelle au calme", a de son côté déclaré la présidente (Renaissance) de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet.

Entrée dans son troisième mois, la contestation dans la rue a rassemblé jeudi entre 1,089 million de personnes (Intérieur) et 3,5 millions (CGT).

Les manifestants ont exprimé leur colère face au 49.3 utilisé par le gouvernement pour faire adopter la réforme et l'intervention mercredi du président de la République.

Les syndicats, rassurés par les chiffres de la mobilisation, ont été aussi ragaillardis par des cortèges où les jeunes sont manifestement venus plus nombreux.

Des lycées étaient de nouveau bloqués vendredi matin, à l'image de l'établissement Condorcet à Paris. Les syndicats lycéens Fidl et la Voix lycéenne appellent à une mobilisation à partir de lundi et jusqu'à la fin de la semaine.

La violence qui n'avait jusqu'ici été que sporadique, a fait une entrée en scène spectaculaire jeudi.

Porte de la mairie de Bordeaux incendiée, "scènes de chaos" dénoncées par la maire de Rennes, canons à eau à Lille et Toulouse, manifestante avec un pouce arraché à Rouen, commissariat pris pour cible à Lorient (Morbihan)... Des violences "inacceptables", a jugé Élisabeth Borne.

- 457 interpellations -

A Paris, des violences ont éclaté en tête de la manifestation avec leur lot de vitrines brisées et de mobilier urbain détruit, et des incidents se sont poursuivis tard dans la soirée dans le sillage de cortèges sauvages, à rebours d'un défilé où la grande majorité des manifestants a marché pacifiquement.

Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a fait état vendredi de 457 interpellations, et de 441 blessés dans les rangs des forces de l'ordre.

M. Darmanin a également fait état de onze enquêtes judiciaires confiées à l'Inspection générale de la police nationale (IGPN), alors que de nombreux responsables ou observateurs évoquent un durcissement du maintien de l'ordre.

"Nous avons une crise profondément politique, qui réclame une réponse politique et on y apporte une réponse policière", a dénoncé sur BFMTV le député LFI François Ruffin.

Pour Marine Le Pen (RN), "Emmanuel Macron ne peut plus gouverner seul, il doit désormais en revenir au peuple".

Le secteur de l'énergie (gaz, pétrole, électricité) reste particulièrement mobilisé mais l'approvisionnement du bassin parisien en carburants par la grande raffinerie de TotalEnergies de Gonfreville-L'Orcher en Normandie a repris vendredi après une intervention des forces de l'ordre

Et les mobilisations anti-bassines dans les Deux-Sèvres ce weekend s'annoncent comme un sacré défi pour l'exécutif.

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11 Commentaires
SOUS -FRANCE
SOUS -FRANCE
1 an

De nombreux blessés sont décomptés parmi les manifestants à Sainte Soline, dont plusieurs urgences vitales.  Des associations dénoncent notamment que les prises en charges ont été initialement empêchées par la police qui bloquait les secours.

Macron l'éborgneur
Macron l'éborgneur
1 an

Emmanuel Macron veut qu'on travaille 2 ans de plus à cause d'un supposé déficit de 12 milliards €, il a pourtant trouvé 15 milliards € pour que la BRAV-M nous casse la gueule.

Macron l'éborgneur
Macron l'éborgneur
1 an

La Préfète des 2 Sévres met en garde contre des hommes en noir lourdement armés
Oui : les flics qui sous les ordres de Macron l'éborgneur continuent à éborgner ! Un syndicaliste Sud Rail a définitivement perdu un oeil jeudi

Bloquons les bourgeois !
Bloquons les bourgeois !
1 an

Ne rien attendre ni du conseil constitutionnel , ni du RIP
C'est dans la RUE que ça s'passe : blocages , grèves reconductibles
Macron attend le pourrissement

L'intersyndicale refuse l'invitation de Macron
L'intersyndicale refuse l'invitation de Macron
1 an

#BeMoreFrench Les autres pays admirent le combat que nous menons pour nos droits

Solidarité internationale
Solidarité internationale
1 an

Solidaritat amb le grève a França . Visca la lluita de la classeobrera
CGT
Barcelona

Ils nous regardent
Ils nous regardent
1 an

https://www.telegraph.co.uk/pensions-retirement/news/when-comes-state-pension-should-french/
Et si LA FRANCE devenait le phare de la contestation en EUROPE

Yes !!!
Yes !!!
1 an

49 mins, 3 seconds into France vs Netherlands, the crowd whistle in protest against Emmanuel Macron and chant for his resignation. 49.3 is the name of the constitutional article used to force through a deeply unpopular pension reform, without a parliamentary vote

Bravo !
Bravo !
1 an

Les techniciens de France Info en grève pour faire annuler une interview d’Olivier VéranCe vendredi, alors qu'Olivier Véran devait faire une interwiew sur le plateau de France Info, une grève des techniciens a finalement fait annuler l'émission à la dernière minute. Une grève symbolique qui montre le rejet des travailleurs du discours gouvernemental.

Macron confiné
Macron confiné
1 an

TROIS "râteaux" pour Macron hier 24 mars :

1 / Charles III
2 / il renonce au stade de France où il est hué par les spectateurs à la 49' 3
et la meilleure pour la fin
3 / L’intersyndicale n’ira pas à l’Élysée et en appelle au Conseil constitutionnel

CHABAN
CHABAN
1 an

Serait-il aussi provocateur, méprisant arrogant, s'il n'habitait pas un château gardé ?