Depuis de nombreuses années, Mayotte connaît une situation de crise sécuritaire de plus en plus préoccupante. Les actes de violence et les trafics en tout genre se multiplient, et la population mahoraise vit dans la peur et l'insécurité depuis plus de quatre ans.
Depuis ces années, l'état semble totalement non déterminé et non conscient face à ces situations malgre les moyens humains et materiels qu'elles disposent, et ceux, malgré les nombreuses alertes et les demandes de moyen de la part de la population et des élus locaux, aucune mesure concrète n'a été mise en place pour répondre à cette crise de maniere a vouloir véritablement avec une détermination sans relâche pour endiguer ces phénomènes de violences malgre le travail fait par les policiers et gendarmes. La multiplication des visites ministérielles, l'opération Shikandra sont dévoués à des échecs répétitifs puisque nous n'avons aucune donnée des étrangers en situation irrégulière entrant sur le territoire mahorais et aujourd'hui, plus de la moitié de la population est d'origine étrangère ! Explusez oui mais il faut aussi contrôler le territoire pour une meilleure lutte contre l'immigration.
Par voie d'une communiqué sur la page de Gérald Darmin, celui-ci annonce se rendre à Mayotte le jour du réveillon de la nouvel an mais que symbolise cette visite ? Les policiers mahorais n'ont pas besoin de parole mais de moyen humains et matériels pour endiguer ces phénomènes. Nous, Mahorais, dénonçons avec fermeté la communication politique du ministre de l'Intérieur, qui tente de minimiser la grave situation de manque de moyens sécuritaires que connais le Département. M. Darmain, j'espère que vous arrêterez de persister à affirmer que tout est sous contrôle et que les moyens alloués sont suffisants.
Nous condamnons fermement cette inaction de l'état et exigeons des mesures immédiates qui réponds aux besoins du territoire mahorais pour mettre fin à cette situation intolérable. Nous appelons les autorités à agir sans délai pour protéger les habitants de Mayotte et garantir leur sécurité.
Citoyen de la République inquiet