Son gouvernement à peine nommé, le Premier ministre a déjà décidé de claquer la porte de Matignon. En pleine tempête politique, Sébastien Lecornu a en effet remis sa démission à Emmanuel Macron ce lundi 6 octobre 2025, qui l’a acceptée. Il ne sera resté que 27 jours à son poste, et devient donc le Premier ministre le plus éphémère de l'histoire de la Ve République. En fin de journée, Emmanuel Macron lui a demandé de mener "d'ultimes négociations" "d'ici mercredi soir" (Photo : rb/www.imazpress.com)
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C'est la fin de ce direct merci de nous avoir suivis
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Macron "prendra ses responsabilités" en cas de nouvel échec de Lecornu
Emmanuel Macron s’est dit prêt lundi à "prendre ses responsabilités" en cas de nouvel échec du Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu, auquel il a donné 48 heures pour tenter des négociations de la dernière chance, a-t-on appris auprès de l’entourage du chef de l’Etat.
Par ce message, le président semble faire planer la menace d’une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale.Interrogé sur sa signification, un membre de l’entourage présidentiel a répondu qu’il y avait "plein de possibilités dans le cadre républicain". Prié de dire si cela incluait l’option d’une démission d’Emmanuel Macron, il a renvoyé sur les déclarations du chef de l’Etat qui a plusieurs fois martelé qu’il irait au bout de son mandat en 2027.
Selon l’entourage, les "ultimes négociations" que doit mener Sébastien Lecornu d’ici mercredi soir ne signifient pas qu’il sera automatiquement renommé Premier ministre de plein exercice en cas de succès. Il doit se concentrer sur le fond, c’est-à-dire un programme qui permettrait « une plateforme d’action et de stabilité », selon les termes de l’Elysée.
Mais étant donné qu’il a "derrière lui trois semaines de consultations", le président a jugé utile de lui donner "48 heures de plus pour dire s’il y a des voies de compromis possibles" plutôt que de repartir à zéro avec une autre personnalité en remettant "sans cesse l’ouvrage sur le métier", a-t-on expliqué de même source.
Emmanuel Macron a notamment estimé, en analysant les prises de position politiques dans la journée après la démission de Sébastien Lecornu, et notamment celle du patron du parti de droite Les Républicains (LR) Bruno Retailleau à la mi-journée, permettaient de penser qu’une reprise des négociations pourrait être fructueuse, selon son entourage.
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Emmanuel Macron demande à Sébastien Lecornu de mener "d'ultimes négociations" "d'ici mercredi soir"
Emmanuel Macron a demandé à Sébastien Lecornu de mener "d'ici mercredi soir d'ultimes négociations" afin de "définir une plateforme d'action et de stabilité pour le pays", annonce l'Elysée.
"J’ai accepté à la demande du Président de la République de mener d’ultimes discussions avec les forces politiques pour la stabilité du pays", indique ce dernier sur X.
"Je dirai au chef de l’Etat mercredi soir si cela est possible ou non, pour qu’il puisse en tirer toutes les conclusions qui s’imposent."
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Sébastien Lecornu quitte l’Elysée après un entretien avec Macron, avant un rendez-vous avec Larcher
Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu a quitté l’Elysée lundi après-midi après un entretien de près d’une heure avec le président Emmanuel Macron, ont constaté des journalistes de l’AFP. Il s’est ensuite rendu au Sénat pour s’entretenir avec son président LR Gérard Larcher.
Celui qui a démissionné dans la matinée à peine plus de 12 heures après avoir dévoilé son gouvernement est ressorti de l’Elysée souriant sans faire de déclaration.
Rien n’a filtré sur les intentions du chef de l’Etat ni sur les raisons de ce nouveau rendez-vous, mais des spéculations évoquaient l’option de voir Sébastien Lecornu reconduit pour tenter de former un nouveau gouvernement.
M. Lecornu a ensuite rendu visite au président du Sénat Gérard Larcher (Les Républicains) au Palais du Luxembourg, ont affirmé des sources concordantes à l’AFP, confirmant une information de LCI, sans indiquer l’objet de ce nouvel entretien.
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Bruno Le Maire a proposé à Emmanuel Macron "de se retirer du gouvernement sans délai"
Le ministre démissionnaire des Armées Bruno Le Maire annoncé sur X avoir proposé à Emmanuel Macron "de se retirer du gouvernement sans délai".
"Je constate que ma décision provoque chez certains des réactions incompréhensibles, fausses et disproportionnées. (...) Dans ces conditions, j’ai proposé en fin de matinée au président de la République de me retirer du gouvernement sans délai et de transférer mes responsabilités de ministre des Armées au Premier ministre. Le président de la République a accepté ma proposition", a-t-il déclaré.
Ma décision de rejoindre le gouvernement a été prise uniquement par esprit de mission, dans des circonstances géopolitiques graves, pour servir la France et les Français.
— Bruno Le Maire (@BrunoLeMaire) October 6, 2025
Je constate que ma décision provoque chez certains des réactions incompréhensibles, fausses et… -
"Monsieur Lecornu, désormais 1er ministre éphémère, n’a pu que démissionner de ses fonctions", constate Olivier Hoarau
"Le jour de sa prise de fonction, il avait fanfaronné en prônant une hypothétique "rupture" avec les méthodes de son prédécesseur. Il vient se draper à présent, après un mois de tergiversations, dans un abandon fataliste. La France s’avère être ingouvernable du fait d’une dissolution hasardeuse de l’Assemblée Nationale qui a plongé la Nation dans une instabilité profonde, et le peuple dans le plus grand des désarrois", regrette le maire du Port.
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Le PS appelle Emmanuel Macron à "nommer un Premier ministre de gauche"
Le Secrétaire général du Parti socialiste, Pierre Jouvet, estime que "la priorité doit être donnée à la gauche et aux Ecologistes pour gouverner ce pays et proposer une alternative forte".
"Nous demandons au président de la République la nomination d'un Premier ministre issu de la gauche ou des Ecologistes, ouvert au compromis et s'engageant à ne plus utiliser l'article 49.3", déclare-t-il à l'issue d'une réunion avec le parti.
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Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu de nouveau à l'Elysée
Le Premier ministre démissionnaire Sébastien Lecornu est revenu cet après-midi à l'Elysée, a constaté une journaliste de l'AFP.
Sa voiture a franchi la porte du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré à 18H15.
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Audrey Bélim appelle Emmanuel Macron à "sortir du déni pour enfin nommer un Premier ministre de gauche"
"Emmanuel Macron a perdu toutes les dernières élections, et pourtant, il s’obstine à gouverner au travers de ses premiers ministres plus macronistes les uns après les autres. Il n’a plus de majorité et pourtant il s’obstine à refuser la rupture, a minima des compromis. Ses gouvernements ne tiennent même plus le temps de se faire renverser", écrit la sénatrice.
"Il ne suffisait pas "de peu pour que cela fonctionne". Et si les raisons de l'échec d'un gouvernement, dont le temps était compté en heures ou en jours sont profondes et nombreuses, un changement politique radical est plus que jamais vital pour les Françaises et les Français, pour la justice sociale et fiscale qu'ils exigent, pour notre démocratie", réagit-elle.
"Tous les regards sont tournés vers Emmanuel Macron qui doit maintenant sortir du déni pour enfin nommer un Premier ministre de gauche, sur le base d'un programme budgétaire tel que proposé par le Parti socialiste, contre-budget que les Françaises et les Français approuvent très largement et quelles que soient leurs sensibilités." -
Bruno Retailleau ne se sent "pas du tout" responsable de la démission de Sébastien Lecornu
Invité du 13 heures de TF1, Bruno Retailleau dit ne "pas du tout" se sentir responsable de la démission de Sébastien Lecornu.
Il regrette "un problème de confiance" avec Sébastien Lecornu. "Hier, j’ai été reçu pendant 1h30 par le Premier ministre : jamais il ne m’a dit qu’il y aurait la nomination de Bruno Le Maire" aux armées, tacle-t-il. "Pas de confiance, pas de rupture. Ce gouvernement concentrait toutes les conditions pour être censure", lance-t-il.
Bruno Retailleau estime que "dans cette période de trouble, il faut qu'Emmanuel Macron prenne la parole". "Le spectacle qui est donné est en train de désappointer les Français", regrette-t-il.
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Lecornu, la chute du soldat d'Emmanuel Macron réputé habile négociateur
Discret et réputé habile négociateur, fidèle soldat d'Emmanuel Macron, Sébastien Lecornu aura échoué à cimenter le socle commun de sa fragile coalition et à convaincre les oppositions de renoncer à le censurer, devenant le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République.
À peine plus d'une douzaine d'heures après l'annonce de son gouvernement, et avant même de passer la main aux Armées --portefeuille qu'il avait gardé-- à Bruno Le Maire, Sébastien Lecornu , âgé de 39 ans, a remis lundi matin sa démission au président de la République, qui l'a acceptée, plongeant un peu plus la France dans la crise politique. La veille, Les Républicains menaçaient de quitter la coalition gouvernementale.
De tous les gouvernements depuis la première élection d'Emmanuel Macron, il avait manqué de peu Matignon l'année dernière, mais y sera resté moins d'un mois (27 jours), soit le bail le plus court de la Ve République.
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Le Président de la République "doit prendre ses responsabilités", lance Maurice Gironcel
Pour Maurice Gironcel, "la démission du Premier Ministre, Sébastien Lecornu marque un nouvel épisode d’instabilité au sommet de l’État. Elle illustre une crise politique profonde qui fragilise encore davantage la situation de notre Pays et qui aura des conséquences lourdes sur le plan social et économique".
"À La Réunion, où le chômage, la vie chère et les inégalités frappent déjà durement la population, cette crise va encore amplifier les difficultés. Rien de tout cela ne contribue à apaiser les tensions ni à lutter efficacement contre la montée dangereuse des idées d’extrême droite. Bien au contraire, l’absence de perspectives et la désorganisation du pouvoir central risquent d’alimenter davantage le désespoir et les divisions", ajoute le Parti communiste réunionnais.
"Face à cette crise politique grave, il appartient désormais au Président de la République de prendre ses responsabilités et de décider des mesures à engager pour sortir de l’impasse", conclut le PCR.
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Marine Le Pen appelle à dissoudre l’Assemblée nationale
Marine Le Pen souligne "une mesure de sagesse" après la démission du Sébastien Lecornu. La cheffe de file des députés RN questionne la capacité du président à "résister à la dissolution".
"Je l’appelle à dissoudre l’Assemblée nationale, nous sommes au bout du chemin. Il n’y en aura pas plus demain (...) On est au bout de la blague, la farce a assez duré", estime Marine Le Pen.
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"On ne peut pas être Premier ministre quand les conditions ne sont pas remplies", déclare Sébastien Lecornu
"J'ai tenté de créer un cheminement, de refaire vivre le paritarisme et la cohésion sociale", estime-t-il. "Ces consultations nous ont permis d'avancer sur un certain nombre de sujets. Et puis j'en suis arrivé à la conclusion vendredi, qu'au fond le parlement devait toujours avoir le dernier mot", ajoute-t-il, en référence à son renoncement à l'utilisation du 49.3.
"Ce lundi matin, il est devenu évident que les conditions n’étaient plus remplies pour que je puisse exercer mes fonctions et permettre au gouvernement d’aller devant l’Assemblée nationale demain pour trois raisons", explique-t-il.
Premièrement, "les formations politiques ont fait semblant de ne pas voir le changement, la rupture profonde, de ne pas se servir de l’article 49.3. Cette rupture a été soulignée par un certain nombre d'observateur, mais n'a pas permis de créer ce choc pour faire différemment", estime Sébastien Lecornu, qui fustige des parlementaires qui n'avaient "plus de prétexte" pour refuser "de faire leur métier".
"La deuxième des choses c'est que les partis politiques continuent d'adopter une posture comme s'ils avaient tous la majorité absolue à l'Assemblée nationale. Chaque parti politique veut que l'autre parti accepte la totalité de ses projets", dénonce le Premier ministre démissionnaire.
"La troisième des choses, c'est que la composition du gouvernement avec le socle commun a réveillé des appétits partisans. Si ce moment est le moment le plus parlementaire de la Vè République, en aucun cas il ne faut revivre les pires moments de la IVè République", dit-il.
Il "lance un message d'espoir et d'optimisme". "Il suffirait de peu pour que l'on puisse y arriver, en étant moins intéressé, en faisant preuve d'un peu d'humilité", lance-t-t-il.
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David Lisnard appelle Emmanuel Macron à partir
"L’intérêt de la France commande qu’Emmanuel Macron programme sa démission, pour préserver les institutions et débloquer une situation qui était incontournable depuis la dissolution absurde", a réagi David Lisnard, le maire de Cannes et vice-président des LR, après l’annonce de la chute de Sébastien Lecornu. Une prise de position plutôt rare du côté des Républicains.
L’intérêt de la France commande qu’Emmanuel Macron programme sa démission, pour préserver les institutions et débloquer une situation qui était incontournable depuis la dissolution absurde. Il est le premier responsable de cette situation. De nouvelles législatives devront suivre…
— David Lisnard (@davidlisnard) October 6, 2025 -
Jean-Luc Mélenchon demande la destitution de d’Emmanuel Macron
Le leader de La France insoumise appelle à l’examen "immédiat" de la motion déposée par 104 députés pour la destitution d’Emmanuel Macron.
"Après la démission de Sébastien Lecornu, nous demandons l’examen immédiat de la motion déposée par 104 députés pour la destitution d’Emmanuel Macron", écrit-il sur X.
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Le parti Pour La Réunion appelle à la démission d'Emmanuel Macron
"Avec la démission de Sebastien Lecornu et face à l’instabilité et à l’irresponsabilité dont fait preuve Emmanuel Macron, il est temps que le président prenne ses responsabilités et tire les conséquences de son échec. Son attitude ne fait qu’aggraver les tensions et alimenter la crise que traverse le pays. Le président doit partir", réagit le PLR.
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Pannier-Runacher dénonce un "cirque" et appelle à la "responsabilité"
La ministre démissionnaire de la Transition écologique Agnès Pannier-Runacher dit "désespérer de ce cirque où chacune joue son rôle, mais où personne ne prend ses responsabilités".
Comme beaucoup d’entre vous, je désespère de ce cirque où chacun joue son rôle, mais où personne ne prend ses responsabilités.
— Agnès Pannier-Runacher ???????????????? (@AgnesRunacher) October 6, 2025
Je n’oublie pas que j’ai été élue députée du Pas-de-Calais grâce au front républicain en juillet 2024. Ce choix n’était pas un renoncement, mais un acte… -
François Bayrou appelle à la "réserve" face à une situation "lourde et préoccupante"
De retour à Pau, l’ancien premier ministre a refusé de commenter la situation politique actuelle, évoquant "un minimum de réserves" à garder "dans des circonstances aussi lourdes et préoccupantes".
"Des forces politiques refusent de voir la gravité de la situation", a-t-il alerté sur Ici Béarn Bigorre.
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Appels à la dissolution et à la démission d'Emmanuel Macron
Dès l'annonce de la démission de Sébastien Lecornu, les oppositions ont appelé à la démission du Président ou à la dissolution de l'Assemblée nationale. La présidente du groupe LFI à l’Assemblée nationale a estimé sur X que « le compte à rebours est lancé » pour une démission du président de la République. «"Macron doit partir", écrit Mathilde Panot, arguant que trois de ses chefs de gouvernements ont été "défaits en moins d’un an". Pour le RN de Jordan Bardella, "il ne peut y avoir de stabilité retrouvée sans un retour aux urnes et sans la dissolution de l’Assemblée nationale".
A La Réunion, dans le sillon de LFI, Perceval Gaillard estime que "le Président doit s'en aller".
"En ne respectant pas le résultat des élections législatives qu'il a lui-même provoquées, en faisant tout pour les contourner, en continuant comme si de rien n'était la même politique malgré trois défaites électorales majeures : le président a définitivement sapé la confiance dans nos institutions. Personne, plus jamais, ne doit pouvoir se retrouver en position de tels abus de pouvoir : voilà l'opinion désormais majoritaire dans notre pays, par-delà les étiquettes partisanes. La prise de conscience que le problème est à l'Elysée, que le problème c'est l'Elysée, progresse à vitesse grand V", estime le député.
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Sébastien Lecornu s’exprimera à 12h45 (heure de La Réunion) depuis Matignon
Le premier ministre Sébastien Lecornu, qui vient de démissionner va prendre la parole. L'occasion sûrement pour ce dernier de justifier son choix.
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Bonjour à tous, bienvenue dans ce direct
Nous suivons en live la crise politique qui secoue le gouvernement, alors que le Premier ministre Sébastien Lecornu a décidé de jeter l'éponge. Suivez-nous.
À propos
Nommé le 9 septembre, M. Lecornu était sous le feu des critiques des opposants et de la droite après avoir dévoilé dimanche soir une partie de son gouvernement. Son équipe ministérielle n’aura donc duré qu’une douzaine d’heures.
M. Lecornu, qui restera comme le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République, devait prononcer mardi sa déclaration de politique générale à l’Assemblée et donner à cette occasion ses grandes orientations budgétaires.
Sa démission plonge la France dans une crise politique sans précédent depuis plusieurs décennies, et place Emmanuel Macron en première ligne, alors que fleurissent des appels à une nouvelle dissolution, voire à une démission du chef de l’Etat.
Le pays a connu cinq Premiers ministres depuis la réélection d’Emmanuel Macron en mai 2022.
La désignation de M. Lecornu, ministre des Armées proche d’Emmanuel Macron, avait déjà suscité la réprobation de la gauche et du Rassemblement national, qui n’ont cessé de brandir la menace d’une censure rapide à moins d’une rupture claire dans la politique menée.
Mais M. Lecornu a également dû faire face à une fronde à l’intérieur même de sa fragile coalition gouvernementale.
Les Républicains ont fait monter la pression ces derniers jours en conditionnant leur participation à des engagements supplémentaires du Premier ministre, notamment sur l’immigration. Ils exigeaient également d’avoir un tiers des postes ministériels.
Le dévoilement de son équipe dimanche soir, qui fait la part belle aux reconductions et signe le retour au gouvernement de l’ancien ministre de l’Economie Bruno Le Maire, tenu pour responsable de la situation budgétaire, a achevé d’enflammer la situation. Jusqu’à pousser M. Lecornu à la démission lundi matin.
AFP
Mdoihoma aussi devrait partir
BAR ZOT !!!
Olivier hoareau le maire du poet devrait se taire vu son passif.
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C'est surréaliste comme situation.Merci à ceux qui ont élu un psychopathe à l'Élysée et qui n'assument pas, gauche en tête. Mais rassurez-vous,il peut encore faire pire pour détruire la FRANCE. Ce n'est pas fini. Le meilleur reste à venir. Mise sous tutelle financière par exemple. Nous avons encore de tristes jours devant nous.
Audrey Bélim appelle Emmanuel Macron à "sortir du déni pour enfin nommer un Premier ministre de gauche"
Il n'y a pas besoin d'être de droite ou de gauche pour dire des conneries. (Lionel Lucca)
Vergoz celui qui s'ecoute parler, est aux abonnés absents.
Ferm out bouch M Maurice Gironcel ....ou lé pas crédible
Gironcel qui demande à Macron de partir .ÀÀAAAA !.AAAAAA ! iiiiiiii ! Oooo
Ah ben TAK , Selly et Melchior sont bien embêtés !
Un poisson d'avril le 06 Octobre, c'est nouveau !!!!! Un gouvernement qui aura duré 14 heures c'est du jamais vu. Mais visiblement, Macron s'en contrefiche!
Mme Bello 1ère Ministre ! MDR.
Mettez Selly et Issa , 2 premiers sinistres de Saint Benoît.
Melchior a remercié Lecornu pour son travail a Matignon ?
Melchior et la girouette
"Ce n'est pas la g i r o u e t t e qui tourne, c'est le vent"
Quel cirque.
On dirait la ville de St benoit avec SELLY.