Le lundi 29 juillet dernier, Samuel Mouen stoppait sa grève de la faim devant la préfecture, après quinze jours d'un jeûne entamé, entre autres, pour demander le maintien du RSTA. Le même jour, une femme ayant été sa compagne déposait une première plainte pour "harcèlement et menaces", puis une seconde quelques jours plus tard pour "dégradation de véhicule". De son côté, le porte-parole des Indignés 974 clame son innocence, affirmant qu'il n'avait pas connaissance de ces deux plaintes et qu'on cherche à le mettre "hors-jeu" de la vie publique. "On me livre aux chiens", insiste-t-il.
"Je ne suis au courant de rien", assure Samuel Mouen au sujet des deux plaintes déposées à son encontre, juste après l’arrêt de sa grève de la faim. Le jour-même, après avoir rompu son jeûne en avalant un verre de jus de fruit, il aurait très fortement insisté pour que son ancienne compagne vienne le chercher devant la préfecture. A un tel point que cet acharnement a abouti à une première plainte pour "harcèlement et menaces". Et quelques jours plus tard, la même femme déposait une seconde plainte, pour "dégradation de véhicule" cette fois-ci, après avoir retrouvé sa voiture couverte de tags insultants.
Pour Samuel Mouen, tout cela fait encore partie d’une opération visant à le déstabiliser. "On veut me mettre hors-jeu, car nous sommes en pleine crise et je m’expose et me lève contre une souffrance. D’ailleurs, avant même que j’interrompe ma grève de la faim, on s’était déjà attaqué à ma personne", indique-t-il.
Toujours est-il que le côté obscur du porte-parole des Indignés 974 a déjà été évoqué dans la presse réunionnaise, celle-ci ayant tenté, souvent vainement, de dresser le portrait d’un agitateur qui a toujours entretenu le mystère sur sa vie privée. "N’ai-je pas le droit d’avoir une vie privée ?", se défend-il, avant de poursuivre ses explications : "C’est bien que ma personnalité pose problème. Comment se fait-il que j’apprenne par la presse qu’il y a des plaintes contre moi ? On laisse entendre que je me cache, mais je ne fuis rien, je n’ai rien à me reprocher !"
Pour Samuel Mouen, il s’agirait donc d’un acharnement visant à le discréditer. "Je suis navré de constater qu’un mois après ma grève de la faim, personne n’a fait le bilan de ce qui a été fait, personne n’a tiré les enseignements de ces quinze jours... Mais par contre on s’intéresse à ma vie privée et on me livre aux chiens !", déplore-t-il. "Moi je me suis attaqué à un système, à une politique et en réponse on s’attaque à ma personne", ajoute-t-il.
Le 7 août dernier, le Journal de l’île de La Réunion faisait état d’une ancienne condamnation de Samuel Mouen à de la prison avec sursis et à une amende pour avoir malmené une de ses compagnes et volé son portable. A l’audience, l’accusé avait évoqué une "machination". Aujourd’hui, l’homme de 67 ans se retrouve face à deux nouvelles plaintes du même type et en appelle au respect la présomption d’innocence.
Guilhem George
www.ipreunion.com

C'est comme au footcheball...!!?
On dit joue-la comme Bekham. (Ça s'écrit comme ça? Le footcheball et moi!!!).
Alors....joue la comme GHANDI.
Comme disait Coluche,
Tchao...l'artiste....
Comprenne qui pourra....
Il est caché à l'ilet Bethléem, c'est normal, il se prend pour Jésus
j'ai toujours pensé que ce gars avait des problèmes mais de la à agresser des femmes!!!
Moi je viens de le voir rue Marechal Leclerc
Qu'est-ce qu'il a fait ce Monsieur qui a été menacé de mort ? ll a insulté quelqu'un ?
Je me mêle au débat sur Mouen. Qui l'est des casseroles derrière lui peut- être, mais il faut arreter avec ces menaces de mort qui ne tienne pas la route
Donc c'est ce monsieur qui à menacé Mouen non?ou alors je n'ai rien compris
Mai qui est Dupuy
Et la menace de mort envers Pierrot Dupuy ? on oublie ?
La crédibilité de Samuel MOUEN en a pris un coup , mais il trouvera du réconfort avec ceux qui tiraient les ficelles dans l'ombre pour des raisons ciblées et Samuel MOUEN , la marionnette de service en toute connaissance de cause ..