Au lendemain de l'attaque de squale au cours de laquelle un jeune homme a eu la jambe arrachée, une vingtaine de personnes s'est réunie ce dimanche 27 octobre devant les locaux de la Réserve marine à la Saline les bains. Aucun contact n'a eu lieu entre les manifestants et les responsables des locaux, fermés ce dimanche. A partir de 14h30, les participants ont scandé à plusieurs reprises le slogan : "Rend anou la mer, rend anou la Réunion". Des représentants de Océan prévention Réunion, de Protégez nos enfants et du Collectif pour le maintien des activités au coeur de la Réunion (CMAC) étaient aussi présents devant le siège de la Réserve marine. À noter que Thierry Robert, député-maire de Saint-Leu, est venu apporter son soutien aux personnes rassemblées.
Suite à l'attaque de requin sur un jeune homme à l'Étang Salé
Rassemblement devant le siège de la Réserve marine
- Publié le 27 octobre 2013 à 17:30
Merci au CMAC ! ON VIENDRA AVEC VOUS DEFENDRE LES HAUTS DE L'ILE DES QU'IL LE FAUDRA !!!
Nous serons présents à vs côtés pour que cette crise démocratique dont la crise requin n'est qu'un symptôme cesse et que la Réunion ne soit pas mise sous cloche par une élite qui a érigé la "science" (bonne excuse non ?) au statut de religion indiscutable.
En attendant, plantèrs les hauts y perd zot terrains ké banna y vol et do moun dan les bas lé obligé laisse la mer pou ban rékins ek subventions ké y sava direk dan la poche les mêmes mouns ké y vol nout tout !!! Tiens bô !
Larg Pa !!!!
Merci au CMAC de ce joindre à ce mouvement Rend A Nou La Mer, Rend A Nou la Réunion. Quoi en dise Aterla, nous sommes pour la Réserve mais avec une réglementation intégrant les spécificités des Réunionnais, comme pour le Parc des Hauts et cela ne veut pas dire braconnage sans contrôle. Les yeux sont ouvert, si on veut sauver le lagon il faudra agir sur les requin et les réguler pour réouvrir les territoires ou la population réunionnaise se baignait autrefois il y a 10, 20, 30 ans et plus, Baie de St Paul, St Marie, l'est, le sud. Permettre à tous les réunionnais et touristes de profiter de la mer tout au tour de l'ile. La mémoire de ces moments lointain doit ressortir aujourd'hui des quartiers des bords de côtes !!!
cCela fait longtemps que les surfers ne sont plus une petite communautée de "Zoreils" beaucoup de réunionnais en font partie,d'ailleurs ce n'est pas parce qu'ils sont blonds qu'ils le sont forcement.
Le plus dommageable c'est que cette histoire a freiner beaucoup de jeunes qui étaient très motivés ..
J'ai travaillé dans un collège de Saint-Leu et je peut vous dire que la plupart de ces jeunes sont réellement dégoûtés .
Toute la côte Ouest surf !
Bien vue petit regroupement devant la parc marin 15 personnes et 10 gendarmes exterieur interieur parc marin ferme ca ressemble a rien
Je suis en colère. Le problème des surfers, ce sont les requins. Les requins, poissons comme le thon ou la dorade, ne sont pas des espèces protégées concernées par la réserve marine.
LE RESPONSABLE EST LE PREFET QUI PEUT AUTORISER LA CHASSE AUX REQUINS.
Mais voilà. Bravo, l'imprudence et l'insouciance de certains usagers de la mer ont amené des drames. Ensuite ils ont réclamé à cor et à cri des mesures, insultant au passage les autorités.
Bravo, maintenant dans leur sillage on retrouve ceux qui sont pr^ets d'abord à piller les ressources naturelles de notre ^ile en demandant l'arr^et de la réserve, "RENDE A NOU LA MER" veut dire "LAISSER NOUS PILLER LE LAGON TANT QU'ON VEUT, DE MEME QUE NOS ANCETRES ONT TUES TOUTES LES TORTUES DE L'ILE AINSI QUE LES EVENTUELS DODO. NOUS RECLAMONS LE DROIT DE POUVOIR BRACONNER SANS CONTROLE". Il est peut^etre encore temps d'ouvrir ses yeux...
Deuxièmement, on a réveillé des vieux démons xénophobes, une partie de l'^ile ne se retrouvant pas dans cette communauté principalement basée dans l'Ouest.
Le préfet est sans doute responsable par son obstination qui provoque des morts.
Mais les surfers, qu'ils le veuillent ou non et qu'ils le reconnaissent ou pas, ont réveillé le racisme anti-zoreil et donnent la paroles aux ennemis de notre vrai patrimoine.