Saint-Paul

Joseph Sinimalé: La priorité des priorités, c'est l'école"

  • Publié le 31 décembre 2015 à 08:00

Joseph Sinimalé a exprimé ses voeux ce mercredi 30 décembre 2015, à l'occasion de la nouvelle année qui s'apprête à commencer. Le maire de Saint-Paul est revenu sur les objectifs de sa mandature. Le logement et l'éducation sont " la priorité des priorités" de la mairie de Saint-Pauloise.

Joseph Sinimalé a exprimé ses projets pour l'année à venir. En premier lieu, le logement, qui est une de ses compétences pendra une place importante dans la suite de la mandature municipale. Les dossiers pour l'attribution des logements sociaux "seront traités avec transparence" souligne t-il à la presse. "Il n'y aura plus de copinage" concernant la gestion des dossier et l'attribution des logements.  "Les dossiers les plus anciens" passeront en commission en priorité souligne le maire. Malgré ce "programme ambitieux pour le logement", Joseph Sinimalé le précise, "nous n’allons pas donner satisfaction à tout le monde".

Autre axe de travail pour la commune, la formation des jeunes. "Ce n'est pas quand on a 16 ans qu'on vient se former. C'est dès l'école maternelle qu'on forme les jeunes", ajoute t-il. Le maire compte associer l'école avec l'environnement, l'économie et le social puis accompagner les parents grâce au soutien scolaire. Joseph Sinimalé insiste sur le travail de terrain qui apportera des solutions "pour les personnes âgées, le logement et l'école" jusqu'à l'issue de sa mandature.

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1 Commentaires
mécoué
mécoué
8 ans

Mr Joseph, comme en général vous les politiciens, si à la place de ces dires insipides vous faisiez plutôt silence, l’électeur se sentirait encore considéré et aussi respecté.
De plus il faut cesser d’habiller de mots, les maux que vous ne souhaitez pas traiter, ou
en n’ayez pas l’autorisation ??!
Depuis des décennies on ne sait plus, pour au delà de 4 à 5 ans, quoi proposer comme formation pérenne et de ce fait les centres de formations font le plus souvent, offices de « garderie » pour adultes et chômeurs.
A l’ère de « l’imprimante 3 D » qui construit déjà des maisons pratiquement seule, à quoi bon former encore des maçons et autres professionnels, si la plupart d’entre eux par manque de débouché prévisible, n’exercerons pas le métier pour lequel ils ont été formés ?
Certes le savoir en général est encore le meilleur tremplin pour accéder à plus de liberté individuelle, par contre se focaliser sur la formation pour la formation sans se soucier de la perte de « Dignité » liée au chômage, que provoque l’utilisation intensive de l’informatique et ses déclinaisons en tout domaines, par une automatisation outrancière de la production et des services, relève du cynisme ou de l’aveuglement.
Ici il ne s’agit pas de s’opposer au progrès, mais de bien délimiter pour l’avenir, la place de la « Machine » et de l’Homme. Car si l’Homme ne devrait plus travailler pour subvenir à ses besoins fondamentaux, il ne pourra, par cette oisiveté devenue institutionnelle, que sombrer par manque de considération pour lui même, dans les vices et la violence. D’ailleurs avec les actuels jeunes « Kamikazes » décriés et déplorés à travers le monde, nous commençons à entrevoir hélas un aperçu du futur, « si d’ici là, les choses ne changent pas ». L’Homme par ce qu’il fait et produit a besoin de « se sentir utile » à la société !…

Certes, personne n’est en capacité de percer avec son doigt un matériau, il lui faut évidemment l’aide d’une perceuse. Néanmoins dans le cadre de cette impérative « association », il ressort que pendant la période encore récente, où physiquement l’homme devait guider l’outil, il y avait le plein emploi. Depuis que la « programmation » est apparue : paradoxalement l’homme maîtrise de moins en moins les choses ou du moins, n’a plus hors son propre domaine d’intervention, de percevoir la logique d’agencement d’une quelconque réalisation qui lui est indispensable ; il devient dépendant de la machine, son implication dans les réalisations,n’est plus aussi indispensable ; le nombre d’employés des anciennes entités de production, depuis
modernisée, a été en moyenne divisé par 3 … avec : les laissés pour comptes des plans de restructuration ; les emplois aidés, les chômeurs campés dans des formations « aléatoires» ; ceux qui pointent à l’ ASSEDIC ; les autres en fin de droit…, les 10 millions de personnes privées d’un réel emplois se révèlent être d’une réalité criante.
Pour 2016, veuillez vous attaquer réellement à ce fléau qu’est le chômage, avant que les « Loups » de plus en plus instruits sortent massivement des bois.