La justice administrative a ordonné samedi à la mairie de Malakoff (Hauts-de-Seine) de retirer de son fronton un drapeau palestinien, hissé en amont de la reconnaissance par la France d'un État de Palestine lundi. La maire a décidé de le maintenir.
Malgré cette décision de justice, la maire communiste Jacqueline Belhomme a décidé de maintenir le drapeau. "On a reçu une notification nous donnant de nouveau l'injonction de retirer le drapeau palestinien", confie-t-elle à franceinfo.
"Ils confirment ce qui est écrit dans le courrier du préfet mais c'est tout on s'attendait à avoir des sanctions financières on a rien de tout ça", poursuit-elle. "C'est beaucoup d'agitation pour rien, beaucoup de battage médiatique de la part de la place Beauvau parce qu'on n'a même pas une amende" , affirme la maire.
????????????????????Malgré l’intervention de la police, la maire de Malakoff (Hauts-de-Seine) refuse de retirer le drapeau palestinien de la façade de l’hôtel de ville.
— Les Spectateurs (@SpectateursFr) September 20, 2025
????Vendredi 19 septembre, la police est intervenue à la mairie de Malakoff (Hauts-de-Seine) pour exiger le retrait du… pic.twitter.com/RyNiz9BFP1
Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val d'Oise) a ordonné samedi à la municipalité des Hauts-de-Seine de retirer le drapeau palestinien qu'elle avait hissé à l'occasion de la reconnaissance par la France d'un Etat palestinien lundi 22 septembre. Cette décision est, selon l'AFP, une première depuis la consigne du ministère de l'Intérieur demandant aux préfets de s'opposer, en saisissant la justice administrative, à la pose de drapeaux palestiniens sur des mairies.
Dans sa décision, consultée par l'AFP, le juge des référés du tribunal administratif de Cergy-Pontoise a considéré que pavoiser le parvis de l'hôtel de ville d'un drapeau palestinien était contraire au principe de la neutralité des services publics et a donc enjoint la commune de procéder à son retrait immédiat.
- Une première depuis la consigne du ministère de l’Intérieur -
Plusieurs mairies souhaitent hisser le drapeau palestinien sur leurs édifices, ce jour-là, en dépit d’une consigne du ministère de l’Intérieur demandant, vendredi, aux préfets de s’y opposer. Cette décision est, à la connaissance de l’AFP, une première depuis la consigne du ministère de l’Intérieur.
Lors d’une visite à la Fête de la Pomme, à Épreville-en-Lieuvin (Eure), ce samedi, le ministre de l’Intérieure démissionnaire, Bruno Retailleau, a déclaré que "la façade d’une mairie n’est pas un panneau d’affichage. Seul le drapeau tricolore a droit de cité". "S’il le faut, nous déférerons leur décision au tribunal administratif", a-t-il ajouté.
www.imazpress.com avec AFP/redac@ipreunion.com
Toujours les gauchos . A mettre la merde partout . Puis ils crient au feu !
Les élections approchent. Il faut bien que les maires de gauche ( communiste en l'occurrence) flattent leur électorat communautariste. Par contre,rien pour les chrétiens de Kabylie massacrés par le régime algérien. Indignation sélective habituelle. Aucun humanisme, rien que de la politique .
stop génocide ! bravo à malakof le monde doit se bouger pour ne pas etre complice!
C'est bien, continuez à montrer votre vrai visage les communistes, anti Républicain, sectaire et vendu à l'étranger. Ce n'est nouveau...depuis Staline
boycott israel,sanctions,retrait des doubles nationalités,non au sionisme !