Dans le cadre de la protection du milieu aquatique, la Cinor a décidé de subventionner l’A.A.P.P.M.A.R.N. (Association Agréée de Pêche et de Protection des Milieux Aquatiques des Rivières du Nord) pour acheter et entretenir un cheptel de cabris, et rémunérer un berger qui s’en occupe. Nous publions ci-dessous le communiqué de la Cinor. (Photos : Cinor)
L’A.A.P.P.M.A.R.N. devient ainsi un partenaire habituel de la Cinor sur les problématiques de rivières du territoire, puisque l’intercommunalité du territoire Nord travaille également sur le programme des filets anti-pollution sur certaines rivières de notre territoire.
L’éco-pâturage est un mode d’entretien écologique des berges de la rivière Saint-Denis. Le pâturage des cabris par zones délimitées permet d’éradiquer les espèces végétales envahissantes qui peuvent avoir des conséquences sur la biodiversité et le fonctionnement des milieux aquatiques. Les cannes fourragères, par exemple, envahissent la rivière Saint-Denis depuis un certain temps, et empêchent l’eau de s’écouler normalement jusqu’à la mer.
L’objectif de cette rencontre entre la Cinor et l’A.A.P.P.M.A.R.N. était de présenter le lundi 19 septembre 2022 cette première expérience qui est, d’ores et déjà, bénéfique à plus d’un titre. L’éco-pâturage est de qualité, il permet, aussi, de mettre en lumière des déchets qui doivent être récupérés, et le cheptel a, déjà, augmenté avec une naissance.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site de la Cinor.
Dans le cadre de la protection des enfants et des mères de famille, la CINOR pourrait subventionner une passerelle sur le chemin du Père RAIMBAULT à Saint-Bernard, à une faible distance au sud de la supérette JACKY. En effet, tous les jours, des piétons doivent passer, au retour de l'école ou du médecin, par un virage extrêmement dangereux, sans visibilité, qui franchit une petite ravine. La barrière de sécurité, destinée à protéger les automobilistes, passe à cet endroit au ras de la route et, par sa présence, barre le sentier piétonnier dans l'herbe et empêche ainsi le passage des piétons, lesquels, en raison de la ravine sont alors obligés de marcher sur la route même, parfois sans aucune visibilité lorsque la végétation a poussé.