Samedi 15 mai 2021, le PCR a organisé une présentation de ses 13 candidats engagés dans les prochaines élections. Tour à tour, chacun a décliné son identité et exposé ses principales motivations. La cérémonie a été présidée par la jeune Marinelle Maden (Photo D.R.)
Ainsi, nous apprenons qu’aux Régionales, Cyrille Séraphin, secrétaire de la section communiste, est colistier de Ericka Bareigts. Il a remercié les participants et félicité les candidats pour leur engagement. Il en a profité pour annoncer qu’une évocation historique sera organisée le 5 juin pour rappeler la victoire du jeune député Laurent Vergès, il y a 33 ans. Grâce à une mobilisation exceptionnelle des jeunes, l’élection avait été obtenue dès le premier tour.
Aux Départementales, la section locale du PCR affirme ses ambitions en présentant 3 tickets sur 3.
17e Canton: Johnathan Bima et Cynthia Clain-Gaillac ; remplaçants Mickael Clain et Vanessa Thomas
18e Canton: Ivana Althierry-Gador et Emmanuel Valin; remplaçants Marinelle Maden et Patrick Mounichy
19e Canton: Nicole Cadarsi et Jean Yves Refesse; remplaçants Lynda Arne et Gary Basile.
Ils ont des parcours de vie différents mais sont unis pour servir la population. Ils veulent rétablir les missions du Département au service des populations issues de l’espace cantonal. Ils sont convaincus que cette vieille institution doit s’émanciper de la tutelle des maires et de leurs adjoints qui cumulent des mandats et des revenus pendant que la population continue de souffrir.
Les préoccupations qui reviennent souvent dans leurs propos sont la proximité, l'entraide, le partage, la solidarité, la jeunesse, la modernité, la culture et l'identité. Ces préoccupations sont accentuées par les conséquences de la crise sanitaire. Le confinement n’en finit pas. Chaque version entraîne des angoisses supplémentaires.
Pour finir, ils rappellent que l’argent ne manque pas. Le budget primitif voté pour cette année se monte à 1,160 milliard. C’est comme si vous réunissez 1160 personnes sur un stade de foot et que vous disposez un million dans les mains de chacun. Il est clair que cette énorme masse d’argent est mal orientée et que sa gestion manque de transparence.
Le changement passe par plus de participation de la population aux décisions qui les concernent directement.