Le premier tour des législatives 2024, c'est à peine dans quelques jours. Interrogé lundi 24 juin 2024 sur France 2 dans l'émission "l'Événement", Jean-Luc Mélenchon rappelé ne pas avoir d'ambition de devenir Premier ministre. Toutefois, il a sorti plusieurs noms supposés de sa poche en cas de victoire. Parmi eux, le Réunionnais, député européen, Younous Omarjee (Photo : www.imazpress.com)
"J’ai des noms à vous proposer : Manuel Bompard, Mathilde Panot, Clémence Guetté, Eric Coquerel, Younous Omarjee…", a-t-il déclaré.
Il évoque le nom du Réunionnais en arguant "je peux proposer le président de la commission des régions au parlement européen, Younous Omarjee, le nouveau grand homme de La Réunion".
Rappelant au passage "moi je peux être un ministre parmi d'autres ou pas du tout".
????️ « J’ai des noms à vous proposer : Manuel Bompard, Mathilde Panot, Clémence Guetté, Eric Coquerel, Younous Omarjee… »
— L'Événement (@LevenementFTV) June 24, 2024
???? @JLMelenchon (LFI) sur le futur Premier ministre en cas de victoire du Nouveau Front Populaire #Levenement, L'interview - #Législatives2024 pic.twitter.com/qBTe0zoUMh
Toutefois, s'il ne veut pas s'imposer, il a déclaré : "je suis un atout", estimant qu’"un programme nécessite des gens qui ont de l’expérience et du caractère". "Mélenchon, c’est un nom qui fait ouvrir les portes quand on est dans les quartiers populaires", a-t-il plaidé.
Je pense être un atout. Ma vie entière a été tournée vers le combat. J’ai fait 22% à la présidentielle. Ceux qui ont voté pour moi ne sont pas des ahuris.
— Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) June 24, 2024
Concentrons nos efforts sur la victoire et non sur une guerre interne pour tenter de m’éliminer. pic.twitter.com/P2aFISCYy6
- Il évoque un malentendu -
Jean-Luc Mélenchon répond notamment à la vague de critiques soulevée par ses propos tenus samedi, où il affirmait avoir "l'intention de gouverner", assurant que cette phrase a été prononcée "dans le flot de la discussion".
"Je ne fais pas une carrière, tout cela est derrière moi", ajoute-t-il, soutenant toutefois à nouveau "ne pas s'imposer" mais ne pas "s'éliminer" non plus.
Jean-Luc Mélenchon fustige "les petites guerres internes" et appelle à se concentrer sur "les efforts sur la victoire".
La cheffe des Écologistes explique à l'AFP qu'au sein des différents partis qui composent l'alliance de gauche, le PS, LFI, le PCF et les Ecologistes, "il y a un accord pour dire que le Premier ministre devra être trouvé au consensus parmi les différentes forces politiques", affirme Marine Tondelier.
"Jean-Luc Mélenchon n'est pas le leader du Nouveau Front Populaire et il ne sera pas Premier ministre".
www.imazpress.com/[email protected]
Il faut le débrancher, le gars.
Dangereux.
Mélenchon nous em... Qu'il se taise ! Croisons les doigts pour que le NPF l'emporte. Ensuite, il faudra proposer des noms, et seulement ensuite, d'autant qu'il oublie Ruffin, Autain... qui commencent comme d'autres à s'opposer à son égocentrisme! La gauche, ce n'est plus lui !
L' élection n'a pas encore eu lieu que Mélenchon distribue le poste de premier ministre à Omarjee,et pourquoi pas son cher ami Ratenon,car la république selon lui c'est Mélenchon disait il la république c est moi et aussi la police tue.
Castel à bien été premier ministte !
Attal est bien premier ministre !
Mais li est drôle Mélenchon
Mdr!