Selon l'Agence France Presse, un nouveau drame des frontières s'est produit dans la nuit de ce vendredi 7 septembre 2012 au large de Mayotte. Six personnes sont mortes et 27 autres sont portées disparue dans un naufrage de kwassa kwassa. Un rescapé a pu être pris en charge par les secours, deux autres se sont échappés.
Selon la préfecture de Mayotte, 36 personnes avaient pris place à bord d’une embarcation partie vendredi soir de Domoni, sur l'île d’Anjouan, aux Comores, rapporte l’AFP. L’embarcation a fait naufrage à 200 mètres du littoral de Petite Terre.
Six corps ont été repêchés, un survivant a été pris en charge par les secours et deux autres survivants se sont échappés, indique l’AFP. 27 personnes sont portées disparues.
Pour rappel, le dernier naufrage de kwassa kwassa remonte en juillet dernier. Une embarcation venant d’Anjouan avait sombré, faisant sept morts et quatre disparus. Treize personnes avaient pu échapper à la mort.
@ SOS DEMOCRATIE COMORES Votre intention est louable, et sans nier les manoeuvres colonialistes de la France, mais les Comoriens dans leur ensemble et les Sultans, Kadis et autres FÉODAUX qui règnent dans votre Khalifat, ne se sentent ils pas "légèrement" responsables de cette sécession de Maore / Mayotte S'il faut se référer systématiquement à l' HISTOIRE, alors que cela soit fait avec la plus grande transparence. Par ailleurs, SEUL UN PRINCIPE PRIME [sur toutes vos organisations internationales, Africaines et Arabes (d'ailleurs qu'est-ce que les Arabes viennent foutre au Comores si ce n'est vous maintenir sous le joug de leurs pétrodollars?)] : Celui de la Déclarations Universelle des Droits de l'Homme (et surtout de la FEMME !!!) (Supprimé pour injures - Webmaster ipreunion.com) En attendant, soyez bien contents que les Maore / Mahorais ainsi que La Réunion et la France vous envoient quelques subsides (afin que vous surviviez) ou forment vos étudiants (je me permet de vous rappeler que la première VILLE Comorienne du MONDE est MARSEILLE (bien avant Moroni !!!!) ALORS DE GRÂCE ! (Supprimé pour injures - Webmaster ipreunion.com) Donnez à votre "Pays" un véritable stabilité politique et DÉMOCRATIQUE ! (pas ce pitoyable spectacle de "roitelets" qui passent leur temps à intriguer et à se déchirer les mannes du "pouvoir"), une véritable Économie (et pas de l'assistanat permanent), et APRÈS nous pourrons peut-être parler d'une VERITABLE "Union des Comores" !!! CQFD.
CONFERENCE SUR LA QUESTION DE L'ILE COMORIENNE DE MAYOTTErnPARrnLE COLLECTIF POUR LE RECOUVREMENT DE L'INTEGRITE DES COMORES D E C L A R A TION Considérant le résultat du référendum d'autodétermination du 22décembre 1974, favorable à 95 % à l'accession des Comores [Ngazidja (Grande Comore), Mwali (Mohéli), Ndzuwani (Anjouan) et Maore (Mayotte)], à l'indépendance,rn Considérant la proclamation unilatérale de l'indépendance des Comores, en adéquation avec le principe inaliénable de l'intangibilité des frontières héritées de la colonisation, Considérant, la "résolution 3385 du 12 novembre 1975 de l'ONU, admettant les Comores comme membre de l'Organisation " et [...] " rejetant comme non avenue, la confiscation française survenue un an plus tôt ! ", Considérant la Résolution 31/4 de l'ONU, adoptée le 21 octobre 1976, déclarant que l'occupation par la France de l'île de Mayotte, "constitue une atteinte flagrante à l'unité nationale de l'Etat comorien". Et que l'Assemblée générale déclare nulles et non avenues toutes élections organisées par le gouvernement français et rejette par anticipation, "toutes autres consultations qui pourraient être organisées ultérieurement en territoire comorien de Mayotte par la France"... Considérant les résolutions de la ligue des Etats arabes, dont celle émise le 29 mars 2012 à Bagdad, réaffirmant son soutien aux Comores, dans leur revendication de souveraineté, sur l'île comorienne de Mayotte,rn Considérant les résolutions de l'OUA (Organisation de l'Unité Africaine) devenue UA (Union Africaine), dont celle émise le 31 janvier 2011 à Addis Abéba, condamnant la départementalisation de l'île comorienne de Mayotte, en demandant instamment qu'un dialogue franc et constructif sous l'égide du secrétaire général des Nations Unies soit instauré, en vue d'arrêter ensemble les modalités du retour effectif de Mayotte dans l'ensemble comorien, Les signataires de cette déclaration, 1-- Condamnent fermement la politique française aux Comores, sans cesse impactée, par l'évolution statutaire voulue et planifiée unilatéralement, par les tenants purs et durs de " Mayotte la française ". Et ce, à coups de pressions, de chantages induits par une politique du fait accompli, de la loi et de la raison du plus fort, qui n'a de cesse que de consolider d'année en année, avec, il faut le dire, la complicité agissante des autorités comoriennes, l'occupation illégale de l'île comorienne de Mayotte. Une occupation verrouillée par le " Visa Balladur " criminogène, responsable de plus de dix milles morts comoriens, bien décidés à en passer outre, coûte que coûte, déstabiliser en permanence, un petit Etat sans défense, par mercenaires français interposés, associés à des hommes liges comoriens qui s'emploient à mettre le pays en coupes réglées, émaillées entre autres, de déportation voire même, d'assassinats de chefs d'Etat comoriens,rn profiter de la crédulité et de la docilité légendaire des autorités comoriennes, pour faire main basse sur l'île comorienne de Mayotte, en dépit de nombreux arguments en sa défaveur, que la partie comorienne se refuse obstinément à faire valoir. Rien donc d'étonnant, si la France a pu, sans anicroches départementaliser et "rupéiser " l'île comorienne de Mayotte.rnrn 2-- Exhortent les autorités comoriennes, à se conformer scrupuleusement à l'esprit et à la lettre de la Constitution comorienne, en adéquation, s'agissant du contentieux franco-comorien sur Mayotte, avec les résolutions des instances internationales, en faisant du triptyque intégrité, souveraineté et indépendance, un casus belli, non cessible, ni négociable. en remplissant les devoirs de leur charge consistant à veiller sur la sécurité, le bien être et le bien vivre de tous les Comoriens où qu'ils se trouvent. Et à fortiori à Mayotte où les Comoriens des autres îles, souffrent le martyre, dans l'indifférence totale des autorités comoriennes, plutôt enclines à prêter main forte à l'administration française,rn en mettant fin aux scandaleuses "reconduites aux frontières imaginaires", qui constituent des déplacements forcés de population, qualifiés de "crimes contre l'humanité " par la CPI (Cour Pénale Internationale), au moyen d'aéronefs et d'ouvrages flottants immatriculés aux Comores,rn en brisant le silence coupable sur le tristement célèbre "Visa Balladur ", responsable de plus de dix milles morts comoriens, dans le bras de mer qui va d'Anjouan à Mayotte, en réaffirmant par des actes symboliques, mais aussi spectaculaires, là où la situation le permet, l'inaliénable et l'imprescriptible appartenance de Mayotte à son ensemble naturel (au sommet de l'Etat, trouver les voies et moyens appropriés afin de pourvoir à la quatrième île comorienne occupée , la quatrième vice présidence de l'Union des Comores, qui lui revient de droit ; réserver des postes ministériels à des ressortissants maorais; bref, en toutes circonstances, entretenir l'espoir du retour de Mayotte dans son ensemble naturel...)rnrn 3-- Appellent :rn la tenue par des organisations de la société civile européenne d'une conférence internationale sur le droit international et la question de Mayotte ;rn les formations politiques soucieuses de voir les Comores recouvrer leur droit à la réintégration de Mayotte dans sa souveraineté nationale, ainsi que des organisations de la société civile française, à la tenue d'une conférence sur le droit français et la question de Mayotte ;rn les autorités comoriennes à saisir l'Assemblée Générale des Nations Unies pour la désignation par le Secrétaire Général d'un Monsieur Mayotte appelé à proposer les voies et moyens permettant le retour de Mayotte au sein des Comores ;rn le Forum du citoyen africain pour la démocratie et la lutte contre le retour de la colonisation en Afrique à se saisir de la question de Mayotte en vue de faire leur, la revendication de la société civile comorienne sur la réintégration de Mayotte au sein des Comores ;rn les associations de la diaspora africaine et comorienne à faire du 12 novembre de chaque année, date d'admission des Comores à l'Organisation des Nations Unies, une journée d'explication, d'information, de conscientisation et de mobilisation sur la libération de l'île comorienne de Mayotte du colonialisme français,rn les formations politiques soucieuses de voir les Comores recouvrer leur droit à la réintégration de Mayotte dans sa souveraineté nationale ainsi que les organisations de la société civile française, à la tenue d'une conférence sur le droit français et la question de Mayotte ;rn les autorités comoriennes à saisir la commission des Nations Unies pour les droits de l'Homme sur les violations massives, flagrantes et répétées par la puissance occupante et administrante, des droits de l'Homme à Mayotte.rn à la réhabilitation du Front de libération de Mayotte (FROLIMA), appelé à devenir l'interlocuteur incontournable des autorités comoriennes, des organisations internationales et des organisation de la société civile africaine. Pour ce faire, un budget national lui sera alloué pour faciliter sa lutte pour la réintégration de Mayotte.rnrn4-- Attendent,rn des autorités françaises, un geste fort et chevaleresque, digne du Pays des droits de l'Homme, chevillant au corps avec panache, des valeurs empreintes de tolérance, d'humanité et de générosité. Elles se grandiraient en travaillant en direction de rapports harmonieux, dans le sens d'une vraie entente, d'une réelle réconciliation franche et sans ambiguïté, entre Comoriens des quatre îles et non dans une logique d'exclusion, d'ostracisme, de confrontation et de rejet de l'autre... rn des autorités comoriennes, qu'elles se comportent, non comme des agents supplétifs de l'occupation française à Mayotte, mais en vrais patriotes comoriens, respectueux de l'esprit et de la lettre de leur Constitution et des résolutions pertinentes des instances internationales. Et par-dessus tout, qu'elles marquent les années de législature qui leur restent, du sceau de l'honneur et du courage, en s'engageant quel qu'en soit le prix, dans une démarche de reconquête de notre souveraineté, de notre dignité et de notre intégrité. Et cela passe par l'extirpation du contentieux franco-comorien sur Mayotte, du huis clos incongru, pour le soumettre à l'arbitrage international originel.rnrnCe 05 / 08 / 2012, ont signé :rnrn1. Les partis politiques (Comores Alternative, Djawabu, Shuma...)rn2. Les associations de la société civile [CAAC (Collectif des Associations des Amis des Comores), GAC (Guilde des Artistes Comoriens), GRITAC (Groupe de Réflexion sur l'Intégrité Territorial de l'Archipel des Comores), SOS Démocratie Comores, ACDH (Association Comorienne des Droits de l'Homme)...]rn