BONSOIR LA RÉUNION - À la une de ce mardi soir 13 février 2024 : - Plusieurs cas de la maladie hémorragique du lapin signalés : appel à la vaccination des animaux - Une zone suspecte surveillée par Météo France : aucune tempête ne menace La Réunion - Madagascar veut imposer la castration des violeurs d'enfants - La grève suspendue au groupement de défense sanitaire
Plusieurs cas de la maladie hémorragique du lapin signalés : appel à la vaccination des animaux
Les éleveurs signalent une recrudescence de la maladie hémorragique du lapin (VHD). Cette maladie animale très contagieuse et grave, ne concerne que les lapins. "Elle ne se transmet pas à l’être humain, ni par consommation de viande, ni par contact" indique le préfet dans un communiqué publié ce mardi 13 février 2024. Il est fortement recommandé aux particuliers et aux professionnels de faire vacciner leurs animaux.
Une zone suspecte surveillée par Météo France : aucune tempête ne menace La Réunion
Il n'y a pas de tempête au large de La Réunion et si la zone suspecte actuellement surveillée par Météo France atteignait le stade de tempête elle passerait très au large de notre île, indiquent les météorologues ce mardi 13 février 2024. La très hypothétique future tempête ne présente donc aucun danger pour La Réunion.
Madagascar veut imposer la castration des violeurs d'enfants
Madagascar a voté pour imposer des peines de castration chirurgicale ou chimique aux violeurs de mineurs condamnés, une mesure jugée "cruelle, inhumaine et dégradante" par Amnesty International. Le texte de loi a été adopté début février par l'Assemblée nationale de Madagascar, puis ce mercredi 7 février 2024 par le Sénat, et doit encore être validé par la Haute cour constitutionnelle (HCC), avant que le président Andry Rajoelina ne le promulgue.
La grève suspendue au groupement de défense sanitaire
Ce mardi 13 février 2024, les salariés du Groupement de défense sanitaire (GDS) de La Réunion ont décidé de suspendre leur grève. Leur revendication principale a été entendue, la présidente du Conseil d'administration du groupement a démissionné. Reste maintenant au nouveau conseil nommé, de prendre les rênes sur les dossiers. Ils ont jusqu'au 28 avril 2024 – date jusqu'à laquelle court la mise en demeure du préfet – pour réunir une Assemblée générale.