[PHOTOS - VIDÉOS] Hospitaliers en colère

Grève illimitée au CHU : les grévistes quittent l'ARS et promettent "des actions surprises dès lundi"

  • Publié le 10 novembre 2023 à 15:40
  • Actualisé le 13 novembre 2023 à 08:21

A l'appel de l’intersyndicale les hospitaliers du CHU de La Réunion poursuivent leur grève illimitée ce vendredi 10 novembre 2023. Les grévistes protestent contre "les grandes difficultés financières du CHU et les conditions de travail dégradées pour les soignants". Dès tôt ce vendredi ils ont distribué des tracts dans le secteur du CHU Nord à Bellepierre (Saint-Denis). En milieu de journée, la tension est montée d'un cran entre les forces de l'ordre et les manifestants qui voulaient défiler sur le boulevard Sud. La rencontre entre l'intersyndicale et le directeur de l'Agence régionale de santé a été annulée. Très remontés, les syndicalistes ont promis des "actions surprises" dès lundi matin. Suivez notre direct (Photos : rb/www.imazpress.com)

Les grévistes veulent aller sur le boulevard Sud, les forces de l'ordre s'interposent. Notre journaliste est en direct sur place. Regardez

Ralé poussé entre les manifestants et les forces de l'ordre .Regardez

Lire aussi : CHU en grève : Même si les revendications sont légitimes, bloquer le réseau routier ne fera pas entendre raison au gouvernement

  • Ce direct est à présent terminé

    Merci d'avoir suivi cette actualité avec nous

    Bonne après-midi

  • Les grévistes promettent des actions surprises "dès lundi"

    Les grévistes n'ont pas pu rencontrer le directeur général de l'ARS. La décision est prise de quitter les lieux. Très mécontents les syndicalistes promettent des actions surprises "dès lundi"

  • Le convoi est arrivé devant l'ARS

    17 voitures se sont rendues du CHU aux locaux de l'ARS, à Sainte-Clotilde. Les manifestants bloquent l'entrée de l'ARS, la voie pour monter à la Région est fermée à la circulation. Les forces de l'ordre sont nombreuses sur place.

  • Une opération escargot va se lancer en direction de l'ARS

    Après l'annulation de la réunion avec le directeur de l'ARS, les grévistes vont se rendre devant les locaux de l'agence à Sainte-Clotilde.

  • La réunion avec Gérard Cotellon, directeur de l'ARS, est annulée

    Les suites de la mobilisation sont toujours en discussion dans les locaux de l'intersyndicale.

  • "Quand la tension monte il faut redescendre sinon on va nulle part" estime Ericka Bareigts

  • Les forces de l'ordre ont refusé un temps de laisser partir les manifestants

    Très en colère, Ericka Bareigts a dénoncé l'attitude des forces de l'ordre. La police a finalement laissé passer la maire, avant de repousser violemment les manifestants qui souhaitaient retourner à leurs locaux. Regardez :

  • La tension monte entre manifestants et forces de l'ordre

    Un ralé-poussé a éclaté sur place. Postés devant les urgences, les grévistes ont décidé se rendre dans leurs locaux. Regardez

     

     

  • "On a été maltraité" dénonce David Belda

    "Notre rôle n'est pas dans la rue mais auprès des patients, mais on nous oblige à faire grève" souligne-t-il. Regardez :

  • Ericka Bareigts présente sur place

    La maire de Saint-Denis est venue apporter son soutien aux grévistes.

     

  • "Le plus dur c'est pour les patients, leurs soins sont assurés avec beaucoup de tensions"

    "Le but c'est de sensibiliser la population. Leur dire qu'on a des établissements publics en grande difficulté qui sont probablement très mal gérés par leur direction et leur conseil de surveillance. On ne peut plus continuer comme ça" exprime Zohra Givran de la CGTR.

    "On a un territoire avec un million d'habitants. Il nous faut des moyens et des structures de soins organisés qui assurent une continuité. Aujourd'hui, on manque de matériel, les personnels ne sont plus remplacés. L'hôpital est gourmant en bras, il nous faut du personnel, il n'y a pas de distributeur automatique de médicaments. Le plus dur c'est pour les patients, leurs soins sont assurés avec beaucoup de tensions" ajoute-t-elle.

    "Nos dirigeants peuvent prendre l'avion et aller se faire soigner sur un autre établissement en métropole, la population n'a pas cette capacité" dénonce la syndicaliste.

    Sur le CHU, plus de 7.000 personnels sont présents mais quasimment tous sont assignés comme l'expliquait plus tôt Frédéric Bache. "Aucun personnel n'a le droit de quitter son post de travail. Ceux qui sont là prennent du temps sur leur congés ou repos hebdomadaires" précise Zohra Givran.

  • Selon les grévistes, le directeur de l'ARS est en entretien avec le ministre de la santé

    Selon, David Belda de FO, Gérard Colleton, directeur général de l'ARS (agence régionale de santé) s'entretient actuellement en vision conférence avec Aurélien Rousseau, ministre de la santé.

    "Nous attendons encore 30 minutes, si nous n'avons pas de réponse, nous allons descendre sur le bouleard sud" préviennent les grévistes. A noter qu'uncordon des forces de l'ordre barre toujours l'accès de cet axe de circulation aux grévistes.

    A noter que les soignants ont rendez-vousà à 13h avec Gérard Colleton

  • Les grévistes toujours devant le CHU

    Les grévistes n'ont pas pu aller défiler sur le boulevard Sud et sont toujours devant le CHU sous la surveillance des forces de l'ordre. Regardez

  • "Pour que les Réunionnais soient bien soignés"

    "Hier j'étais avec la ministre Fadila Khattabi. Elle nous a écouté et transmet notre message mais c'est toujours comme ça. Nous nous voulons des solutions concrètes pour une continuité de soins. Pour que les Réunionnais soient bien soignés" a exprimé Fréderic Bache de la CGTR présent devant le CHU Nord.

    Le syndicaliste a évoqué le besoin d'une politique de santé publique spécifique pour les outre-mer.

    Aussi, pour expliquer la non-mobilisation dans le sud ce vendredi, il précise que "la direction décide d'assigner un peu plus les soignants quand il y a des mobilisations et grèves".

  • Tensions devant les urgences

    Les grévistes veulent descendre à pied sur le bouleard Sud. Les policiers s'interposent en dressant un cordon de sécurité. La tension commence à monter. Suivez notre direct Facebook

  • Les grévistes descendent sur le boulevard Sud

    À Saint-Denis, le rassemblement a entamé sa descente en direction du boulevard Sud. Les grévistes réclament la venue du préfet et du directeur de l'ARS.

    Les syndicalistes expliquent à nouveaux les raisons de leur mouvement. Regardez

  • Le point sur le réseau routier à 8h35

    A 8h35, la direction régionale des routes recensait les embouteillages suivants :

    - 2 km de bouchon sur la NRL à l'entrée Ouest de Saint-Denis, la circulation est en cours de fluidification
    - 5 km de bouchon sur la route des Tamarins entre la tranchée couverte et Cambaie en direction de la Possession
    - 7 km entre sur la RN2 Sainte-Marie et le Chaudron à l'entrée Est de Saint-Denis, avec des zones roulantes
    - 2 km dans le secteur de Mon Caprice en direction d Saint-Pierre, la circulation est en cours de fluidification

    Sur la route des Tamarins en direction de la Possession et sur la RN2, il s'agit d'embouteillages enegistrés quotidiennement dans ces zones et ne semblent donc pas avoir de lien direct avec les distribution de tracts au CHU Nord

  • Explications entre grévistes et automobilistes

    Les grévistes distribuent des tracts aux automobilistes et leur expliquent les raisons de leur mouvement. Regardez

     

  • "C'est pour la population qu'on se bat"

    "On a eu une rentre, maintenant on attend que le message soit passé auprès du ministère de la santé pour être sûr qu'on ait les moyens de soigner la population. Ce n'est pas la population que l'on veut prendre en otage mais on veut pouvoir sauver la population", note Expedit Lock-Fat de la CFDT. "C'est dommage de devoir passer par la grève car c'est toujours un échec."

    "La situation est catastrophique", ajoute-t-il. "C'est pour la population qu'on se bat."

  • Grève illimitée au CHU : barrages et distributions de tracts déjà en place au niveau de Bellepierre

     

  • Ça bouchonne à l'entrée Ouest

    Du côté des routes, ça bloque au niveau de l'entrée Ouest de Saint-Denis. On compte pour l'heure trois kilomètres de ralentissements sur la Nouvelle route du Littoral et des ralentissements sur la route de la Montagne.

    Si pour l'heure le trafic n'est pas encore saturé, les fils de voitures commencent à s'accumuler. 

  • La CGTR mobilisée

    (Photo : Zohra Givran)

  • Des passages filtrés à l'entrée du CHU

    (Photo : Zohra Givran)

  • Route de la Montagne : les travaux arrêtés, la route rouverte à la circulation dans le secteur de la Redoute

    Sur la RD41 Route de la Montagne à Saint Denis, les travaux de création d’un giratoire au niveau de l’échangeur RN6/RD41 sont momentanément arrêtés. La route sera rouverte à la circulation dans les deux sens dans le secteur de la Redoute le vendredi 10 novembre aux alentours de 6h30.

     

  • Distribution de tracts devant le CHU Nord

    Postés au niveau de Bellepierre, les manifestants distribuent leurs tracts pour ralier les automobilistes et personnels de santé à leur cause - tout à fait légitime.

    (Photo : Expedit Lock-Fat)

  • Vers Bellepierre ça coince... mais à côté ça roule

    À Saint-Denis, Bellpierre, les manifestants sont déjà là, armés de leurs tracts. Mais pour l'heure... pas encore de gros embouteillages à noter indique le CRGT.

     

     

     

  • Bonjour à tous,

    Merci de nous retrouver pour cette deuxième journée de grève illimitée au CHU Nord. Comme hier, l'intersyndicale souhaite dénoncer la situation critique dans laquelle se trouve l'établissement de santé.

À propos

Froid glacial, manque de moyens, manque de mains… voici les conditions dans lesquelles exercent les soignants de La Réunion. Et malgré le plan santé annoncé en début d'année l'hôpital public reste en situation de crise.

Ainsi, distributions de tracts, barrages filtrant et autres actions seront organisés "jusqu'à ce qu'on ait l'assurance d'un accompagnement" notait ce jeudi le secrétaire général de la CFDT Santé.

"Il faut que l'État prenne ses responsabilités", ajoutait Frédéric Bâche de la CGTR.

- Des difficultés à prévoir -

Dans le nord les automobilistes sont prévenus, il faudra s'armer de patience face à une nouvelle mobilisation ce vendredi qui va se durcir dès 5h du matin aux abords du CHU. Les syndicalistes attendent une plus forte mobilisation et ont appelé à la solidarité les autres professions. "Il y aura un tractage très serré et des opérations escargots ne sont pas à exclure" précise David Belda, secrétaire général FO Santé.

Dans le sud, pas de barrages attendus pour cette deuxième journée annonce les syndicats. Jeudi, ils étaient une trentaine de syndicalistes à distribuer des tracts à Saint-Pierre sans générer de difficultés particulières sur les routes.

Cette première journée de mobilisation avait plutôt pour but de "prévenir" selon Cyril Grondin, secrétaire général de FO dans le Sud. Cependant, le syndicaliste indique que le lundi 13 novembre, jour prévu pour la grève saint-pierroise, sera "plus compliqué".

Lire aussi - Grève illimitée au CHU : la mobilisation va se poursuivre demain

- Se faire entendre -

"L’État ne veut toujours pas prendre conscience de notre situation, de nos difficultés en matière, pourtant d’un domaine extrêmement important : la santé" a exprimé le député Jean-Hugues Ratenon qui a apporté son "total soutien" à l'intersyndicale.

Il a également dénoncé le fait que "La Réunion n’ait pas bénéficié d’un seul euro de l’enveloppe d’aide financière d’1 milliard d’euros pour les hôpitaux. Les CHU de l’hexagone ayant tout accaparé et épuisé les crédits qui étaient prévus jusqu’en 2029."

Ce jeudi, l'intersyndicale s'est entretenue avec la ministre déléguée aux personnes handicapées en visite à La Réunion pour quelques jours. Une réunion organisée à la préfecture pour "faire passer le message" au gouvernement explique David Belda.

- Des conditions de travail dégradées -

"Nous sommes très en colère et dans une situation de totale rupture" lance le secrétaire général FO.

Pour Frédéric Bâche, secrétaire général de la CGTR CHU, les conditions de soins et de travail sont "désespérantes".

"L'hôpital ne peut plus payer ses fournisseurs (pharmacie, logistique…), les contractuels voient leurs contrats non renouvelés, le personnel soignant doit pallier ce personnel non renouvelé, ils sont rappelés sur leurs repos", a-t-il expliqué lundi. "Ils se fatiguent et certains se mettent en arrêt maladie et c'est l'absentéisme qui malheureusement augmente", a-t-il ajouté.

Au-delà de la situation sociale, c'est aussi l'absence de remplacements qui pèse sur le personnel. "On a un taux d'absentéisme important avec des équipes insuffisantes", a souligné Expedit Lock-Fat.

Pour exemple, "en imagerie on a eu quatre femmes enceintes mais une seule personne a été remplacée. Ça prive l'ensemble des équipes de repos et de congés jusqu'à la fin de l'année", a a ajouté David Belda.

"On impose des règles de travail soutenues et on augmente la cadence de travail et cela met en péril la qualité et la continuité des soins"

"Notre niveau d’absentéisme reste trop élevé, et nous essayons de réduire ce dernier, et ne pas dégrader les conditions de travail des équipes, comme la prise en charge de nos patients.  C’est un sujet majeur, qui peut entraîner un cercle vicieux fragilisant nos équipes et notre activité, la lutte contre l'absentéisme est ainsi devenue une priorité du CHU" indique de son côté le CHU.

Lire aussi - SOS aux urgences : les hospitaliers travaillent quotidiennement à flux tendu

- Difficultés financières -

Si le CHU est conscient des difficultés financières rencontrées par "à peu près tous les autres CHU de France (31 sur 32 en déficit, sur les 32 CHRU presque 1,3 M€ de déficit attendu en 2023)", ce n’est "pas l’activité du CHU de La Réunion qui est en crise".

"Bien au contraire, dès 2022, le CHU avait retrouvé son activité d’avant covid et en 2023, le CHU accueille encore bien plus de patients qu’en 2022" assure-t-il.  "Ce ne sont pas les recrutements qui sont en crise : les personnels (médecins, infirmières, personnels administratifs, logistiques et techniques, etc.) sont présents et pleinement engagés. Ce sont les difficultés financières qui plongent à nouveau le CHU de La Réunion dans une situation de crise."

Et la situation est "aggravée par des problèmes spécifiques liés à notre situation ultramarine et notre rôle d’établissement de recours dans la zone, qui mettent en lumière la fragilité de notre modèle de financement, ses insuffisances et ses contradictions."

CHU de La Réunion en crise : il est urgent d'agir

Face aux difficultés financières, le CHU de La Réunion "a engagé depuis juin 2023 un plan d’efficience pour s’assurer que toutes les recettes sont bien perçues et veiller à ce que chaque euro dépensé le soit le mieux possible". Mais ce plan "ne suffira pas à remédier à la situation" admet-il. "Le CHU de La Réunion a besoin d’un soutien réaffirmé de l’Etat."

"Il y a un déficit annoncé depuis deux années consécutives de près de 50 millions d'euros. Ajouté à cela la dette sociale qui est de 37 millions d'euros", soit près de 80 millions de dettes, c'est la première fois qu'on en est là", alerte cependant Expedit Lock-Fat, secrétaire général de la CFDT Santé.

Pour ce dernier, la situation qui alimente la colère des personnels vient également du fait que "la situation est difficile et on ne sait pas combien de temps cela va durer. On vous dit vous serez aidés mais on n'a aucune visibilité".

"Le Directeur général d’ARS a confirmé la semaine dernière son soutien au CHU. Le temps de la décision appartient au Gouvernement et il faut respecter ce temps" assure le CHU.

Lire aussi - 50 millions de déficit au CHU : une situation préoccupante qui nécessite une action de l’État

www.imazpress.com / redac@ipreunion.com

guest
13 Commentaires
Désemparée
Désemparée
11 mois

Restez chez vous si vous ne voulez pas être pris dans les embouteillages ce sera une voiture de moins.
Les gilets jaunes manifestent contre la vie chère et le prix de l'essence : les gens tels que vous râlent en les traitant de gratteurs de cul.
Les agriculteurs manifestent : vous râlez en disant que ces derniers ne sont jamais satisfaits.
Les transporteurs bloquent : vous râlez toujours.
Les salariés du privé comme du public manifestent contre des réformes non justifiées et pour leurs conditions de travail : vous râlez de plus belle en disant que ce sont des fainéants trop bien payés.
Alors je me pose la question : Tous ceux qui râlent, ils se situent où là dedans ? Ils ne sont ni salariés, ni agriculteurs, ni fonctionnaires, ni gratteurs de cul. Ils font quoi à part être à chaque fois dans leur voiture et râler ? Il faut croire qu'ils sont indépendants ou autonome dans tous les domaines (alimentaire, énergie, santé, ...).
Ces manifestations sont légitimes et les grévistes ne sont pas dans la rue pour leur bon plaisir. Nous devrions tous être au côté du personnel hospitalier car nous sommes bien contents de les avoir lorsque nous sommes amenés à nous rendre dans un des services du CHU.

Micheline
Micheline
11 mois

Les déclarations syndicales sont inquiétantes sur la sécurité et la qualité de soins, je souhaite que le DG M. CALENGE s'explique et nous rassure si venir au chu est un danger pour nous patients dialysés. Ces accusations peuvent nous servir en cas d'un dégradation de l'etat de notre santé et deposer plainte . Ces affirmations sont des preuves pour les tribunaux. J'ai enregistré les déclarations de m. Belda Velia et Loock-fat et des autres...pour qu'elles soient des preuves pour les tribunaux. Que M. CALENGE nous rassure et nous explique que si venir à l'hôpital est un danger faute de moyens? Merci à la presse de l'interroger sur la gravité des déclarations syndicales, merci.

Marsouin 974
Marsouin 974
11 mois

BANG KALOO BANG

Total soutien aux personnels hospitaliers. Total soutien aux syndicalistes. Aujourd'hui créole y veut pu bataille,y regarde seulement cossa son camarade nena, i cose seulement derrière radio mais quand y fo sobate et ENSAMB, descende ENSAMB dans chemin bin personne y suive.
Nout toute y crie Jordi la vie le chère et sera de plus en plus chère, cossa nous fait pour mi tre notre colère, cossa nous fait, rien, nous mange à crédit avec carte bourbon avantage et avec ça nous le content. Heureusement n'a demoun y tiembo encore deboute pour fait avancer les choses. Sarda la roule a nous dans la boue en 1848, et en 2023 dis à moin cossa la changer.RIEN. Ôté kreol rouvre un peu ton yeux

AMAZONUS
AMAZONUS
11 mois

Durcir le mouvement lundi, ça veut simplement dire faire ch*er les automobilistes!
Vous êts prévenus!

Missouk
Missouk
11 mois

Réponse à Handi : Vous êtes bien naïf. Je vous rappelle que Monsieur MELCHIOR "mange dans la même gamelle" que la Macronie. Ceci explique en partie cela! S'il avait un peu de respect pour les soignants, il aurait pu aussi intervenir, mais bon, ça c'est autre chose!

Missouk
Missouk
11 mois

Qu'ils ne lâchent pas le morceau! Même si j'ai été bien em... dans les embouteillages, je les soutiens pleinement!

Handi
Handi
11 mois

47 millions que la Ministre accorde au conseil départemental pour les personnes en situation d'handicap sans aucune demande, sans aucune manifestation, mais des projets pour améliorer personnes handicapées....avez-vous M. Melchior barré la route pour obtenir 47 millions, 37 annoncés puis 10 millions supplémentaires...Prend de la graine mesdames messieurs les syndicalistes qui pensent à leurs intérêts que ceux de la population....merci au Président Melchior.

Travis
Travis
11 mois

C'est marrant, ils ont laissé la mafia des transporteurs bloquer La Réunion mais les hospitaliers non, non.

Estelle
Estelle
11 mois

Que nos manifestants publient leurs fiches de paie et on en reparlera après.

Dom
Dom
11 mois

Quand ce sont des tracteurs ou des camions, les forces de l'ordre sont moins regardantes.

Missouk
Missouk
11 mois

Soutien complet aux hospitaliers. Quand on est hospitalisé, on bien content de pouvoir trouver du personnel bien formé, compétent, disponible. Encore faudrait-il qu'il soit correctement payé!

Templier974
Templier974
11 mois

Il fallait bien voter à l'époque. Maintenant gouttez...

Raton
Raton
11 mois

Qu'il fassent leurs grèves sans entraver la libre circulation,il n y a pas assez d' embouteillages comme ça pour qu'ils en rajoutent toujours un prétexte pour faire grève.