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Réforme des retraites : les deux motions de censure rejetées par l’Assemblée nationale, tensions à Paris

  • Publié le 20 mars 2023 à 18:06
  • Actualisé le 21 mars 2023 à 06:56

Ce lundi 20 mars 2023 est décisif pour la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. L'Assemblée nationale s'est prononcée contre les deux motions de censure déposées avec l'enclenchement du 49.3 par le Gouvernement. La réforme est donc adoptée par défaut. Cette décision a attisé la colère des syndicats et de la rue. Depuis jeudi la mobilisation et les manifestations contre le projet se sont nettement durcies. A La Réunion plusieurs autres actions sont prévues tout au long de la semaine (Photo www.imazpress.com)

Suivez en direct les débats :

  • Fin de direct

    Ce direct est maintenant terminé. Merci d'avoir suivi cette actualité avec nous.

    Bone nui zot tout !

  • Les rassemblements se multiplient un peu partout en France

    https://twitter.com/afpfr/status/1637918561719992321

     

    https://twitter.com/xztim_/status/1637911322749808640

    https://twitter.com/realmarcel1/status/1637899197847404545

    https://twitter.com/MartinHernot/status/1637911403427246082

  • Un nouveau rassemblement se forme à la gare Saint-Lazare à Paris

    https://twitter.com/AlertesInfos/status/1637898752886296578

    https://twitter.com/AlertesInfos/status/1637896649459605504

  • Des élus présents à la manifestation place Vauban

    https://twitter.com/BFMTV/status/1637893057767940124

  • La suite des événements reste incertaine tant la crise est profonde.

    La majorité tente de resserrer les rangs face aux critiques. La cheffe du gouvernement prévoit de réunir ses ministres lors d'un déjeuner à Matignon mardi pour montrer qu'ils la "soutiennent", selon des sources concordantes.

    Le rejet probable des motions vaudra adoption définitive de la réforme, avant sa promulgation par le chef de l'État, qui pourrait s'exprimer dans les prochains jours.

    La gauche n'a pas dit son dernier mot: un référendum d'initiative partagée est dans les tuyaux, et des recours au Conseil constitutionnel se préparent.

  • Des tensions à Paris, les forces de l'ordre font usage de gaz lacrymogènes

    https://twitter.com/LibreQg/status/1637890913849450518

  • Emmanuel Macron recevra les parlementaires de la majorité

    Selon les informations de LCP, Emmanuel Macron recevra les parlementaires de la majorité à l'Elysée demain, à 22h30, suite au rejet des motions de censure présentées à l'Assemblée nationale aujourd'hui
  • La motion de censure du RN à son tour rejetée

    La motion a recueilli 94 voix sur les 287 nécessaires.
  • Marine Le Pen réclame « un nouveau gouvernement »

    Après le rejet de la motion de censure déposée par son groupe, la présidente des députés Rassemblement national (RN) a d’abord attaqué les élus Les Républicains (LR) qui se sont abstenus, « responsables du maintien du gouvernement. Ils devront en assumer les conséquences devant leurs électeurs. Ils se sont clairement positionnés dans la majorité d’Emmanuel Macron. »

    Côté exécutif, la représentante d’extrême droite a réclamé un « nouveau gouvernement ». « La crise ne sera pas réglée si Emmanuel Macron ne le fait pas », a-t-elle répété.

  • Pour Olivier Dussopt, "se félicite de l'adoption de la réforme

    De son côté, le ministre du travail Olivier Dussopt, en charge de la réforme, s’est lui aussi félicité sur Twitter de l’adoption de la réforme, constatant « le rejet des motions de censure ». « Nous sommes concentrés sur sa mise en œuvre, dans les meilleures conditions pour les assurés », a-t-il écrit.

     

  • Elisabeth Borne, "c’est avec humilité et gravité que j’ai engagé ma responsabilité et celle de mon Gouvernement"

    Alors que les deux motions de censure ont été rejetées, Elisabeth Borne s'est empressée de réagir sur son compte Twitter.

    "Nous arrivons au terme du cheminement démocratique de cette réforme essentielle pour notre pays. C’est avec humilité et gravité que j’ai engagé ma responsabilité et celle de mon Gouvernement. Pour notre système de retraites par répartition. Pour notre modèle social."

  • À Paris, les opposants à la réforme se rassemblent

    Rassemblement en cours place Vauban à Paris, à deux pas de l'Assemblée Nationale, où la motion de censure vient d'être rejetée par les députés à 9 voix près.

    https://twitter.com/L_ThinkTank/status/1637885914520100877

  • Frédéric Maillot regrette ce "coup dur porté aux travailleurs"

    Frédéric Maillot, député de La Réunion réagit à l'issue du vote de la première motion de censure. "La motion n'a malheureusement pas abouti, le projet de loi sur la réforme des retraites est donc adopté.

    Je soutiendrai toute initiative de Référendum d'Initiative Partagée qui nous permettra à nouveau de contester cette loi lors d'un vote populaire."

  • "Le divorce est complet et personne ne s'y retrouve" estime Jean-Luc Mélenchon

    https://twitter.com/LCP/status/1637881487038066688

  • Mathilde Panot parle d'un "gouvernement qui est d'ores et déjà mort aux yeux des Français".

    "Dès demain, nous saisirons le Conseil constitutionnel avec l'ensemble des groupes de la Nupes", fait-elle savoir . "Jeudi, avec l'intersyndicale qui a appelé à une mobilisation massive, nous pouvons définitivement enterrer cette réforme."
    Pour Boris Vallaud , le gouvernement "a aboli la séparation des pouvoirs",
  • La motion de censure de Liot rejetée par l’Assemblée nationale à 9 voix près

    La motion a recueilli 278 voix sur les 287 nécessaires. Elle a été votée par 19 députés du groupe Ont voté pour la motion de censure : : - 88 députés RN - 74 députés LFI - 19 députés LR - 31 députés Socialistes - 22 députés écologistes - 22 députés GDR - 18 députés LIOT - 4 députés non inscrits

    https://twitter.com/LCP/status/1637874167532888065

  • C'est l'heure du vote

    Les députés ont jusqu'à 21h45 pour voter pour la motion de censure. Le résultat sera annoncé dans la foulée

  • Elisabeth Borne prend la parole

    "Des chants, des hurlements, des invectives, voilà le spectacle auquel ce sont adonnés certains d'entre vous" débute-t-elle, tandis que les députés de la NUPES quittent l'hémicycle.

    "Nous avons vu l'anti-parlementarisme dans toute sa splendeur" affirme-t-il, attaquant la NUPES. "Pour certains, toutes les outrances, toutes les violences sont permises", déplore-t-elle.. "La haine, la brutalité ne devraient pas avoir leur place dans le débat parlementaire". Des cris retentissent des travées à propos de "bras d'honneur".

    "Des élus de la Nation viennent nous expliquer que 175 heures de discussions ne comptent pas. (...) Ces comportements sont grave car il ne s'agit plus de s'opposer avec force mais d'empêcher la discussion."
  • FranceInfo publie un tweet pré-écrit sur le rejet de la motion, pas encore votée

    https://twitter.com/2022Elections/status/1637854268899184640?fbclid=IwAR3WFjBB2nrZrgrIjEWIIVygOQqfPcdCqQ0oKi1RmuBLiavYD19tglrTPQs

  • Boris Vallaud prend la parole pour les socialistes du groupe NUPES

    Le président du groupe socialiste et apparentés, Boris Vallaud, dénonce un "coup de force". "C'est vous qui n'avez rien compris et qui ne comprenez plus les Français !" lance-t-il à Elisabeth Borne. "Vous accablez en pleine crise de la vie chère le sort des Français", accuse Boris Vallaud. "Le pays souffre et le mal qui le ronge, c'est l'injustice". "A semer la misère, vous récoltez la colère", déclare-t-il. Le député socialiste dénonce la "précarisation des seniors" mais aussi des "économies" qui "se feront sur le dos des femmes".
  • Jean-Paul Mattéi prend la parole pour le groupe Démocrate (MODEM et indépendants)

    Il dénonce le manque de débats et les manœuvres de l'opposition pour les brouiller au maximum (en rallongeant les débats) « [vous avez] transformé l'Assemblée en cirque ».
    "Nous voulions très majoritairement aller au vote, nous prenons acte de la décision, celle de déclencher le 49.3", assure Jean-Paul Mattei.
  • "Nous ne voterons pas les motions de censure" affirme Olivier Marleix, patron des Républicains

    "Nous assumons d'avoir tempéré cette réforme [...] nous ne seront pas les témoins de ces noces barbares entre ceux qui assument vouloir mettre le chaos et ceux qui n'ont aucune proposition pour sauver les retraites" affirme-t-il. "Le problème aujourd’hui, ce n’est pas la réforme des retraites, c’est le président de la République [...] Emmanuel Macron pousse les électeurs de gauche vers l'extrême gauche, les électeurs de droite vers Marine Lepen." "Le Président n'a-t-il rien retenu de la crise des Gilets Jaunes ?" s'interroge-t-il

     

  • Mathilde Panot prend la parole pour le groupe NUPES

    Elle évoque en introduction le referendum de 2005 et la « trahison » devenue habituelle selon elle de la volonté des français. Plusieurs députés RN semblent quitter l'hémicycle.

    "Emmanuel Macron se cache depuis des semaines derrière ses fusibles. Il communique uniquement par correspondance. Un jour pour dire que cette « réforme est nécessaire », l’autre pour souhaiter que le texte – je cite – « puisse aller au bout de son cheminement démocratique », quand il n’a emprunté qu’un sentier autoritaire" accuse-t-elle.

    "Avec ce 49.3, Emmanuel Macron souffle à l’oreille du pays un raisonnement dangereux : en démocratie, pour être entendu, la démocratie ne suffit plus."

    "Comme Caligula, le Président est saisi de démesure. Il n’écoute plus personne. Il a refusé de recevoir l’intersyndicale, ignoré des manifestations historiques depuis 50 ans, commandé un passage en force et se barricade désormais dans son palais."

    "Le 49.3 a fait l’effet d’un détonateur. Jeudi dernier, des centaines de milliers de gens, dans tout le pays, se sont réunis spontanément, sidérés par votre brutalité. Ils savent où réside la violence, la vraie. Pas dans des autocollants placardés sur une permanence" dit-elle.

  • C'est au tour d'Aurore Bergé, présidente des députés Renaissance, de prendre la parole

    "Une motion de censure de facto devient un programme commun", lance-t-elle, imaginant "Charles de Courson Premier ministre, Marine Le Pen à Bercy, Mathilde Panot ministre de l'Intérieur et à n'en pas douter Aurélien Pradié ministre des relations avec le Parlement".

    Elle s'en prend à la Nupes, déplorant un accord qui a "fait disparaître trois partis de gouvernement" et évoque la mainmise de LFI et de Jean-Luc Mélenchon sur l'intergroupe : "C'est à lui que vous répondez en dernier ressort."

    "Vous n'êtes pas un rempart, vous êtes un marchepied" : Aurore Bergé accuse la Nupes de dresser un "tapis rouge à l'extrême droite".  "Une motion de censure devient de facto un programme commun." "Vous, c'est un peu le mime Marceau, ça gesticule, mais ça parle pas", dit-elle aux députés RN. "Quand vous vous exprimez, ça finit en dérapage."
  • Laure Lavalette, porte-parole du RN, prend la parole

    "Vous nous avez dit, en annonçant votre onzième 49.3 'ce compromis n'est pas le projet du gouvernement, c'est le texte du Parlement'. Mais quel culot !'", affirme Laure Lavalette. ."L’utilisation que vous faites de la Constitution depuis le début de cette législature prouve que vous ne chercherez jamais à trouver le moindre compromis, ni avec les parlementaires, ni avec les syndicats, et encore moins avec les Français" accuse-t-elle. "Le référendum aurait pu permettre d'éviter de tomber dans cette nouvelle crise politique, qui illustre qu'aucune leçon depuis les gilets jaunes n'a été retenue par l'oligarchie", juge-t-elle. Elle dénonce le "cynisme" du gouvernement.
  • Charles de Courson débute la présentation de sa motion censure transpartisane

    "L'Assemblée nationale, seul représentante du peuple français, n'aura jamais voté sur ce projet de loi qui cristallise la colère", commence le député Liot qui porte la motion de censure de son groupe.

    "Rien ne vous obligeait au 49.3. Le courage, le respect des institutions, auraient dû conduire au vote. [...] Ce vote, vous l'auriez très probablement perdu. Mais, c'est la règle en démocratie", affirme le député. "Vous avez engagé votre responsabilité, nous prenons la notre." "Contrairement à ce que dit le président de la République, les Français ne l'ont pas élu pour repousser à 64 ou 65 ans l'âge légal de départ à la retraite. Ce projet de réforme des retraites n'a pas de légitimité démocratique" ajoute-t-il, et rappelle que le président a été élu "par défaut", évoquant la "minorité présidentielle".

    https://twitter.com/LCP/status/1637837467658100738

  • Yaël Braun-Pivet débute la session en saluant la libération d'Olivier Dubois

    Le journaliste français, captif pendant près de deux ans, arrivera dans la nuit en France

  • Grève à Albioma : de nouvelles coupures d’électricité à prévoir dans la soirée dans le sud

    "Compte tenu de l’indisponibilité de certaines installations de producteurs d’électricité réunionnais associée à une consommation élevée, EDF procède depuis 15h et jusqu’à 23h à des coupures localisées de courtes durées pour garantir l’équilibre du réseau entre l’offre et la demande d’électricité" explique EFD.

    Les coupures entre 17h et 19h ont affecté 7 500 clients (soit 1,8% des clients) répartis sur certains quartiers des communes suivantes : Saint-Louis, L’Etang-Salé et Entre-Deux

    Les prévisions pour la soirée :
    • Coupures entre 19h et 21h de 9 600 clients (soit 2,3% des clients) repartis sur certains quartiers des communes suivantes : Saint-Pierre, L’Etang-Salé et Saint-Louis
    • Coupures entre 21h et 23h de 11 000 clients (soit 2,7% de nos clients) repartis sur certains quartiers des communes suivantes : Saint-Pierre, Le Tampon, Entre-Deux et Saint-Louis

    Les coupures sont réalisées par créneaux horaires de 2h maximum.

  • Grève : les collectes de déchets dans l’Ouest sont décalées

    Le TCO informe les habitants de la côte Ouest qu’en raison du mouvement social prévu ce jeudi 23 mars 2023, il n’y aura pas de collecte de déchets ce jour-là.

    Toutes les collectes prévues à partir du jeudi 23 mars 2023 sont décalées au lendemain, jusqu’au samedi 25 mars 2023 :

    - Les collectes prévues le jeudi 23 mars 2023 sont décalées au vendredi 24 mars 2023.

    - Les collectes prévues le vendredi 24 mars 2023 sont décalées au samedi 25 mars 2023.

    Pour toute information complémentaire, les habitants peuvent contacter le Numéro Vert 0800 605 605 (appel gratuit depuis La Réunion) : du lundi au jeudi de 8h à 16h et le vendredi de 8h à 15h.

  • Plusieurs ministres conviés à Matignon mardi

    Elisabeth Borne, qui affronte deux motions de censure lundi après son recours au 49.3 pour une adoption sans vote de la réforme des retraites, a convié plusieurs ministres à déjeuner mardi à Matignon, a appris lundi l’Agence Frane-Presse (AFP) de sources concordantes.

    Après le rejet probable de ces motions à l’Assemblée, ce déjeuner vise à montrer que les membres du gouvernement « soutiennent » la Première ministre, nommée à Matignon le 16 mai dernier, a précisé un conseiller de l’exécutif. Interrogé sur cette invitation à déjeuner.

  • La moitié des stations-service des Bouches-du-Rhône manquent de carburants

    De nombreuses stations-service étaient affectées lundi dans le sud-est de la France par des pénuries de carburants, sur fond de grèves des expéditions dans les raffineries contre la réforme des retraites, alors que la situation semblait globalement stable dans le reste du pays, selon des données publiques analysées par l'AFP.

    Lundi, à 10H30, environ 8% des stations-service de France étaient à court d'essence ou de gazole, mais plusieurs départements connaissaient une situation beaucoup plus préoccupante, imputée par un syndicat professionnel à un effet de "panique", lié aux déclarations de leaders syndicaux appelant à faire le plein.

    Dans les Bouches-du-Rhône, 50% des stations-service étaient affectées, des pourcentages à deux chiffres qu'on retrouvait dans les départements voisins du Gard (40,9%), du Vaucluse (33,33%), du Var (23,24%) et des Alpes-de-Haute-Provence (22,22%).

    Autre foyer d'"emballement" des pénuries, la Loire-Atlantique (29,05% des stations touchées), où la raffinerie de Donges, à l'arrêt pour des problèmes techniques, a cessé ses expéditions de carburants depuis de nombreux jours.

    L'arrêt de la plus grande raffinerie de France, en Normandie (TotalEnergies), et celui éventuel de deux autres raffineries en Normandie et près de Marseille, pourraient accentuer la pénurie.

  • Grèves en France: Ryanair lance une pétition auprès de ses passagers

    Ryanair a lancé lundi une pétition auprès de ses passagers, leur demandant d'appuyer ses appels aux autorités européennes pour protéger les survols du territoire français, affectés par les grèves de contrôleurs aériens contre la réforme des retraites.

    La compagnie irlandaise appelle ses clients "à signer sa pétition +protéger les passagers - garder le ciel de l'UE ouvert+ et à rejoindre son appel à la commission européenne", selon un communiqué, qui accuse l'institution dirigée par Ursula von der Leyen "d'inaction".

    Le transporteur aérien à bas prix, premier d'Europe en nombre de passagers transportés, affirme que le mouvement de grève des contrôleurs aériens français a retardé ou annulé les vols de plus d'un million de passagers depuis le début de l'année.

    La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a ainsi enjoint lundi les compagnies aériennes de supprimer mardi et mercredi 20% de leurs vols à Paris-Orly et à Marseille-Provence (sud-est), deux aéroports particulièrement affectés.

    Ryanair dit vouloir remettre sa pétition, lancée sur internet, à la Commission européenne lorsqu'elle aura été signée par 1 million de personnes - vers 11H30 GMT lundi, elle approchait les 1.000 signataires.

     

  • Raffineries: le gouvernement "n'hésitera pas" à faire faire des réquisitions, selon Clément Beaune

    Le gouvernement "n'hésitera pas" à procéder à des réquisitions si des raffineries sont arrêtées par le personnel en grève pour protester contre la réforme des retraites, a prévenu lundi le ministre des Transports Clément Beaune.

    "C'est une décision de dernier recours, mais comme nous l'avons fait précédemment, comme nous l'avons fait au mois d'octobre, si cela était nécessaire, nous n'hésiterions pas à le faire pour éviter un blocage économique et de la circulation dans notre pays", a prévenu le ministre des Transports sur Franceinfo, évoquant des "mesures ponctuelles, raffinerie par raffinerie".

    Selon Clément Beaune, les stocks stratégiques sont à "un haut niveau" et permettent "d'approvisionner les pompes à essence".

    Il y a cependant des "situations locales qui sont plus préoccupantes que d'autres", notamment dans les Bouches-du-Rhône, a-t-il reconnu.

    Dans le Sud-Est, où certaines stations se sont retrouvées à sec, "il y a eu des phénomènes parfois difficiles à expliquer, que je peux comprendre à cause du stress" avec des afflux d'automobilistes, a-t-il noté.

  • Les barrages routiers levés à Rennes

    Les blocages provoqués lundi par des manifestants opposés à la réforme des retraites et qui ont causé d’importantes perturbations du trafic routier à Rennes ont été levés en fin de matinée, déclare la préfecture.

    « À 11 h 30 (heure métropole), la situation s’améliore à Rennes. Tous les points de blocage sont levés », a annoncé la préfecture d’Ille-et-Vilaine à l’Agence France-Presse. En raison de dégradations de la chaussée, la vitesse sur une partie du périphérique est limitée à 70 km/h, précise-t-elle.

  • Grève à Albioma : plusieurs foyers privés d’électricité à Saint-Louis, l’Étang-Salé et aux Avirons

    Ce lundi après-midi  plusieurs habitants du Sud de l’île se retrouvent privés d’électricité. Une coupure qui est la conséquence du mouvement de grève des salariés de l’usine Albioma (centrale thermique du Gol) située à Saint-Louis.

    EDF devant rééquilibrer l’offre et la demande, l’entreprise doit procéder à ces coupures entre 15 heures et 17 heures. EDF demande par ailleurs à ses clients de toute l'île de modérer leur consommation.

    L'article est à lire ici

    Pour rappel, depuis ce vendredi soir, les salariés d’Albioma sont en grève et occupent le site de la centrale thermique du Gol à Saint-Louis pour manifester leur mécontentement face à la réforme des retraites et l’utilisation du 49.3.

    Lire aussi : Réforme des retraites : les salariés de la centrale thermique du Gol en grève

     

  • 53% des Français se disant proches des Républicains veulent qu'une motion de censure soit adoptée

    53%  des sympathisants Les Républicains souhaitent que les députés votent ce lundi une motion de censure, indique un nouveau sondage Elabe pour BFMTV.

    D"u côté du camp présidentiel, 83% des sympathisants Renaissance souhaitent que la motion ne soit pas adoptée. Mais, à l'inverse, 51% des électeurs d'Emmanuel Macron au second tour de l'élection présidentielle y sont favorables" note BFMTV.

    Des députés LR ont déjà annoncé qu'ils voteraient la censure. C'est le cas d'Aurélien Pradié. Il a indiqué lundi matin au micro d’Europe 1 qu’il voterait la motion de censure transpartisane déposée après le recours à l’article 49.3 pour faire adopter la réforme des retraites et juge qu’une quinzaine d’élus de son groupe sont prêts à le faire.

     

  • Versailles : des manifestants sur les voies ferrées

    Selon le site en ligne AB7 Média, "à Versailles, les cheminots envahissent les voies", Selon un cheminot cité par le média, "ils ont saboté les freins des trains et ont mis des pétards de voies ça force les trains à s’arrêter"

  • Manon Aubry : "la première violence dans le pays elle est sociale"

    Présidente groupe de la gauche au Parlement et eurodéputée LFI-Nupes, Manon Aubry écrit sur son compte twitter "la première violence dans le pays aujourd'hui, elle est sociale". Elle ajoute "la retraite à 64 ans, ce n'est pas une petite mesure technique. C'est forcer des aides-soignantes, des caissières, des éboueurs, des ouvriers à travailler jusqu'à la mort ou l'épuisement alors qu'ils sont déjà à bout".

     

  • Manès, 15 ans, pousse un coup de gueule contre le gouvernement Borne

    Manès, 15 ans, responsable fédéral Paris de La Voix Lycéenne (LVL), a décidé de pousser un coup de gueule contre la Première ministre.

    "C'est vous qui organisez le chaos aujourd'hui, parce qu'on voit bien que les gilets jaunes ont obtenu gain de cause et là, nous qui sommes en train de faire des manifestations pacifiques depuis deux mois, sommes en train de nous mobiliser très fortement, on n'est pas entendu."

    responsable fédéral Paris de La Voix Lycéenne (LVL)

     

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  • Perceval Gaillard apporte son soutien aux grévistes de l'usine du Gol

    Ce lundi, Perceval Gaillard, député de La Réunion est à Paris où il votera la motion de censure transpartisane contre la réforme des retraites. Il a décidé d'adresser tout son soutien aux grévistes de l'usine du Gol, mobilisés depuis samedi matin. "J'apporte tout mon soutien aux agents de la centrale électrique du Gol qui se sont mis en grève pour protester contre cette réforme brutale et antidémocratique."

    "Le président Macron, par son refus d'entendre le peuple et son mépris de la démocratie parlementaire, porte l'entière responsabilité de la situation dans laquelle nous nous trouvons. Les grévistes du Gol ont parfaitement raison de défendre leur statut et leur régime spécial vieux de plus de 70 ans."

    Lire la suite ici.

  • "Ils ne peuvent plus gouverner" estime Charles de Courson

    "Ils ne peuvent plus gouverner", a analysé lundi le député Liot Charles de Courson, auteur de la motion de censure, estimant que le président Macron devait "changer" ou "renvoyer au peuple", par le biais d'une dissolution. Le rejet probable des motions vaudra adoption définitive de la réforme, avant sa promulgation par le chef de l'État, qui pourrait s'exprimer dans les prochains jours. Elisabeth Borne à l'assemblée nationale Même si les motions sont rejetées, la gauche n'a pas dit son dernier mot : un référendum d'initiative partagée est dans les tuyaux, et des recours au Conseil constitutionnel se préparent.

    Le numéro un de la CGT Philippe Martinez estime lui que "c'est de la responsabilité" d'Emmanuel Macron "si la colère est à ces niveaux-là".

    "Nous sommes passés du sentiment d'être méprisés à un sentiment de colère, notamment parce qu'on a privé les salariés du résultat de leur mobilisation", à savoir, selon lui, le rejet du texte à l'Assemblée nationale s'il était passé au vote.

    Deux tiers des Français (68%) assurent en effet ressentir de la colère devant l'utilisation du 49.3 par le gouvernement pour faire adopter la réforme sans vote à l'Assemblée, selon un sondage Elabe pour BFMTV publié lundi. Ils sont autant à espérer que le gouvernement tombe lundi.

  • «Je regrette que certains dont Aurélien Pradié aient abandonné toute forme de cohérence», fustige Clément Beaune

    Le choix de plusieurs députés LR de voter la censure irrite le gouvernement. Clément Beaune, ministre délégué chargé des Transports a déclaré ce matin au micro de Franceinfo qu'il regrettait «que certains dont Aurélien Pradié aient abandonné toute forme de cohérence ».

    Clément Beaune a déclaré être «inquiet quand je vois certains au sein de cette droite juger uniquement sur des critères personnel ces décisions politiques».

  • Des manifestants perturbent le trafic routier dans le secteur de Lorient

    Une manifestation contre la réforme des retraites perturbe le trafic routier sur la nationale 165 (N165), important axe de communication entre Brest et Nantes, rapporte la préfecture du Morbihan. « Une centaine de manifestants sont présents dans le secteur de Lorient », a-t-elle précisé à l’Agence France-Presse.

  • Bruno Le Maire maintient que le système des retraites ne sera pas déficitaire en 2030 grâce à la réforme

    "Le régime des retraites sera à l'équilibre en 2030 grâce à la lutte contre la fraude et à des transferts entre branches de la sécurité sociale", a répété lundi le ministre de l'Économie Bruno Le Maire. Malgré sept milliards d'euros de «mesures d'accompagnement social», «je garantis qu'en 2030, le régime des retraites sera à l'équilibre financier», a-t-il assuré sur BFM TV.

  • Éric Ciotti ne "cédera rien" et dénonce les "erreurs" du gouvernement

    "Je ne céderai à aucune intimidation", a affirmé lundi le député des Alpes-Maritimes et président du parti Les Républicains (LR) Éric Ciotti, au lendemain du caillassage de sa permanence, tout en dénonçant les "erreurs" du gouvernement qui ont suscité la colère des Français.

    Une enquête a été ouverte dimanche après des dégradations contre la permanence du député à Nice. Environ 280 manifestants se sont ensuite rassemblés devant ce local pour demander à Éric Ciotti de voter les motions de censure contre le gouvernement.

    Favorable à la réforme des retraites, il a estimé que "l'immense majorité" des députés LR ne votera pas les motions de censure présentées lundi après la décision du gouvernement d'avoir recours au 49.3 pour faire passer sa très contestée réforme des pensions.

    Alors que certains députés de son groupe - "très peu", selon lui - pourraient voter en faveur d'une de ces motions contre le gouvernement, il n'a pas répondu sur une exclusion du parti de ceux qui dévieraient de la ligne prônée.

    Le mouvement "peut se durcir, et c'est pour ça que le gouvernement doit être plus à l'écoute, plus attentif, doit moins traiter notamment les partenaires sociaux par le mépris, tel qu'il l'a fait jusqu'à aujourd'hui", a-t-il ajouté.

  • «Je souhaite qu'Élisabeth Borne continue de conduire le gouvernement», assure Clément Beaune

    Le ministre des Transports Clément Beaune a affiché son soutien à la première ministre ce matin sur France Info. «Je pense qu'elle doit rester. C'est une femme de détermination dont nous avons besoin pour conduire la France», a-t-il déclaré.

    Clément Beaune a dit qu'il fallait «assumer une forme d'humilité». Il a également regretté que «certains aient abandonné une forme de cohérence», ciblant le député LR Aurélien Pradié.

  • Des blocages à Rennes, où la circulation est très difficile

    Plusieurs manifestations contre la réforme des retraites causent ce lundi matin de grandes perturbations du trafic à Rennes.

    « De nombreuses tentatives de blocage de la circulation sont en cours sur la rocade et ses abords à Rennes », a indiqué la préfecture d’Ille-et-Vilaine dans un message transmis à l’Agence France-Presse (AFP). « Le préfet d’Ille-et-Vilaine rappelle que si les automobilistes peuvent différer leur déplacement, il est préférable de le faire. »

  • Comment se déroulera l’examen des motions de censure ?

    La séance de l’Assemblée nationale consacrée à l’examen des deux motions de censure doit débuter à 19 heures (heure Réunion) et se déroulera de la façon suivante :

    - Un représentant de LIOT et un autre du Rassemblement national prendront la parole pour présenter leurs motions de censure. Les autres groupes - de l'opposition et de la majorité - exprimeront ensuite leur position.

    - La première ministre, Elisabeth Borne, prendra ensuite la parole.

    - Après quoi la séance sera suspendue 30 minutes pour que les députés aillent voter la motion du groupe Liberté, indépendants, outre-mer et territoires (Liot) puis 30 minutes pour la motion du RN.

    - Vers 23 heures, (heure Réunion), Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée, annoncera le résultat.

  • En Métropole : coup d'envoi du bac sur fond de menaces de grèves

    Bac 2023, c'est parti! Les élèves de terminale planchent à partir de lundi après-midi sur les épreuves écrites de spécialité, qui se tiennent pour la première fois en mars, sur fond de menaces de grève des surveillants lancées par plusieurs syndicats contre la réforme des retraites.

    Ces épreuves, nées de la réforme du baccalauréat de 2019, se déroulent à partir de 14h (17h à La Réunion), puis mardi et mercredi, et la semaine prochaine pour La Réunion. C'est la deuxième année qu'elles ont lieu, mais elles avaient été reportées au mois de mai l'an dernier, en raison du Covid-19.

    Les épreuves de spécialité pourraient être perturbées par la mobilisation sur la réforme des retraites: des syndicats enseignants, dont le Snes-FSU, premier dans le secondaire (collèges et lycées), la CGT Educ'ation, la Fnec-FP-FO et Sud-Education ont appelé "tous les collègues à décider de la poursuite de l'action" et de "la mobilisation pendant les épreuves de spécialité, y compris par la grève des surveillances là où cela est possible".

    De son côté, le ministère de l'Education nationale a indiqué vendredi qu'il mobiliserait "des surveillants supplémentaires" afin de "permettre le déroulement des épreuves dans les meilleures conditions".

    Il a aussi souligné que "les dispositions nécessaires seront prises pour permettre l'accès des candidats aux centres d'examens en lien avec les préfectures" si besoin.

    En cas de perturbation dans les transports à cause de grèves et de retard d'un candidat, n'excédant pas une heure, la fin de l'épreuve est décalée d'autant pour l'élève.

    Dimanche, le patron de la CGT Philippe Martinez a souhaité que ces examens "se passent le mieux possible". "Mais je peux souhaiter ce que je veux, la colère, elle est là", a-t-il ajouté sur BFMTV. Pour la CFDT, "on ne gêne pas le bac", a déclaré son dirigeant Laurent Berger dans un entretien à Libération.

    Lire l'article ici
  • Bruno Le Maire admet que la colère dépasse de loin le régime des retraites

    Au micro de BFMTV, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire admet que la colère des Français dépasse de loin le régime des retraites.

    "C'est une inquiétude par rapport au travail, par rapport à la considération, par rapport à la dignité, par rapport à la manière dont on peut vivre dignement avec son salaire, payer son loyer, [...] faire ses courses...," a-t-il dit.

  • Jean-Hugues Ratenon sur le terrain

    Ce lundi 20 mars 2023, Jean-Hugues Ratenon, député de La Réunion est allé à la rencontre des manifestations qui sont sur le terrain.

    Le député de la Nupes a fait d'abord escale au Port, devant les locaux de la SRPP pour se joindre aux syndicalistes mobilisés.

    Un escale le temps d'échanger avec les manifestants, avant de se rendre auprès des grévistes de l'usine du Gol à Saint-Louis. Une usine à l'arrêt depuis ce samedi 18 mars 2023.

     

  • "Cet après-midi, la cheffe du gouvernement va mettre son destin entre les mains du parlement"

    "Cet après-midi, la cheffe du gouvernement va mettre son destin entre les mains du parlement", a déclaré le ministre du travail, Olivier Dussopt.  Si la motion de censure était adoptée, "ce ne serait pas un bon scénario".

    "Si la réforme est à l’arrêt, le déficit lui ne le sera pas. Il sera de 13 milliards en 2030. La réforme promet de mettre le système à l’équilibre à ce moment".

  • Le député LR Aurélien Pradié annonce qu’il votera la motion de censure transpartisane

    Le député Les Républicains Aurélien Pradié a annoncé lundi matin au micro d’Europe 1 qu’il voterait la motion de censure transpartisane déposée après le recours à l’article 49.3 pour faire adopter la réforme des retraites et juge qu’une quinzaine d’élus de son groupe sont prêts à le faire.

  • Marine Le Pen invite tous les députés, y compris ceux de la majorité, à voter la motion de censure

    Marine Le Pen a invité lundi tous les députés, y compris ceux de la majorité, à voter en faveur de la motion de censure pour dénoncer la méthode utilisée par le gouvernement pour faire adopter la réforme des retraites.

    « Moi, je crois que tout le monde devrait voter cette motion de censure, y compris un certain nombre de députés En marche, pour dire au gouvernement : “On ne peut pas utiliser cette méthode-là” », a-t-elle déclaré au micro de RTL. « On ne peut pas utiliser une méthode telle que le 49.3, alors même que l’on est sur une réforme aussi importante, alors même que trois quarts des Français y sont opposés. Il faut respecter le jeu démocratique. »

  • La démocratie ne va pas bien": Yaël Braun-Pivet "préoccupée" par les violences contre les élus

    Yaël Braun-Pivet, présidente de l'Assemblée nationale, s'est dit "préoccupée" par la multiplication des violences contre les élus, alors que de nombreuses permanences ont été visées par des dégradations ces derniers jours, et que plusieurs parlementaires ont fait l'objet de menaces.

    "On voit que la mobilisation des Français ne faiblit pas. il y a beaucoup d'émotions dans le pays comme la colère. Ça me préoccupe. Ce n'est pas bon signe. (...) Ça indique que la démocratie ne va pas bien car certaines personnes estiment qu'il faut passer par la violence contre ceux qui s'engagent", déplore-t-elle.

  • La presse mondiale fustige le passage en force de Macron

    Les médias internationaux dénoncent la «faiblesse» du président français qui a préféré faire passer la réforme par le 49.3, plutôt que de laisser les députés voter à l'Assemblée.

    La presse internationale n’est pas en reste, soulignant à l’instar du New York Times que «le conflit sur les retraites révèle un Macron affaibli et plus isolé», ou de Die Zeit selon qui «cette réforme pèsera longtemps sur le pays».

    Les journaux étrangers n'ont pas hésité à s'attaquer à l'image d'Emmanuel Macron. Pour El País, le choix du 49.3 met en avant le «caractère hautain et déconnecté de la rue» du président français, dont la popularité est au plus bas.

    Le Telegraph, quotidien britannique, se demande même si cette réforme n'a pas fait d'Emmanuel Macron «un canard boiteux».

    De son côté, le Corriere della Sera italien écrit simplement : «Le recours au 49.3 est une défaite.»

    "La République bloquée", titre pour sa part Die Zeit, selon qui "il y a des réformes dont un gouvernement ne se relève jamais". "La confiance dans le président et le Parlement, déjà en berne, a subi un coup supplémentaire ce jeudi. Emmanuel Macron en est le premier responsable", juge l'hebdomadaire allemand.

    Le quotidien suisse Le Temps explique que le "bouton nucléaire parlementaire" que constitue le 49.3 "est perçu comme une violence démocratique" et qu’il "mettra probablement de l’huile sur le feu du mouvement social".

  • Renaissance veut "passer à autre chose"

    Le rejet probable des motions vaudra adoption définitive de la réforme, avant sa promulgation par le chef de l’Etat dans quelques semaines a priori.

    Les pressions sur les députés macronistes ou LR se sont multipliées, avec de nombreuses permanences parlementaires cibles de tags et d’inscriptions vengeresses, et celle d’Eric Ciotti à Nice caillassée dans la nuit de samedi à dimanche, et taguée avec l’inscription “La motion ou le pavé”.

    Même si les motions sont rejetées, la gauche n’a pas dit son dernier mot: un référendum d’initiative partagée est dans les tuyaux, et des recours au Conseil constitutionnel se préparent.

    Pour le dirigeant de La France insoumise Jean-Luc Mélenchon, “tant que la réforme à 64 ans est proposée, il faut continuer” la mobilisation.

    Le camp présidentiel est lui pressé de tourner la page. “Quoi qu’il arrive, après lundi on passera à autre chose”, selon la cheffe de file des députés Renaissance Aurore Bergé.

    Une intervention d’Emmanuel Macron pourrait avoir lieu dans les prochains jours.

    Lire l'article ici
  • Macron veut que la réforme aille " au bout de son cheminement démocratique"

    Emmanuel Macron souhaite que la réforme “puisse aller au bout de son cheminement démocratique dans le respect de tous”, a indiqué dimanche l’Elysée à l’AFP.

    Le président a rappelé les “mois de concertations politique et sociale” et les “plus de 170 heures de débat qui ont abouti sur le vote d’un texte de compromis” entre sénateurs et députés en commission mixte.

    Le numéro un de la CGT Philippe Martinez estime lui que “c’est de la responsabilité” d’Emmanuel Macron “si la colère est à ces niveaux-là”.

    L’intersyndicale a appelé à une neuvième journée de mobilisation, ce jeudi, tandis que la grève s’est durcie dans les raffineries et que les éboueurs poursuivent leur mouvement à Paris, Rennes ou Nantes.

    A La Réunion, la centrale thermique du Gol est à l'arrêt.

    Lire l'article ici
  • A l'appel de la CGPER, les agriculteurs se mobilisent contre la réforme

    A l'appel de la CGPER, une trentaine d'agriculteurs sont rassemblés depuis tôt ce lundi matin devant le siège de l'antenne sud de la Direction de l'agriculture et de la forêt (Daf) à Saint-Pierre.

    Un tracteur a été installé à l'entrée du site. La circulation des véhicules se rendant sur place est un eu ralentie, mais il n'y a pas de barrage.

    Mobilisation des agriculteurs à Saint-Pierre

     

    Les manifestants veulent attirer l'attention des autorités et de la population sur la situation "catastrophique" des retraites à La Réunion. Ils réclament le retrait du projet de reforme.`

    Ils vont être reçus par le sous-préfet de Saint-Paul à qui ils ont demandé audience.

    Lire l'article ici

     

  • Jean-Paul Paquiry (FO) : "si le chaos s’installe ce sera de la faute du président"

    "49.3 ou pas nous continuons notre mobilisation" indique Jean-Paul Paquiry (FO)  devant la SRPP. "Beaucoup de salariés ne peuvent pas faire (plusieurs jours de) grève. C'est compliqué pour eux, alors nous nous mobilisons pour eux".

    "Ce projet de réforme est néfaste, surtout pour La Réunion ou 20% des retraités vivent avec 963 euros par mois" ajoute-t-il.

    A la question de savoir ce qui se passera si les motions de censure sont rejetées ce soir, le syndicaliste remarque : "si le chaos s’installe ce sera de la faute du président". Regardez

  • Marie Hélène Dor (FSU) : "l’intersyndicale déterminée à aller jusqu’au bout"

    L’intersyndicale est plus que jamais déterminée à aller jusqu’au bout", déclare Marie-Hélène Dor de la FSU. "Il n'y a pas beaucoup de monde devant la SRPP mais la mobilisation va aller crescendo" dit-elle.

    Elle souligne "aujourd'hui le but n'était pas tant de bloquer la SRPP que d'alerter sur la situation". Regardez

  • "La retraite à 64 ans, c'est toujours non"

    Une cinquantaine de personnes sont maintenant présentes aux abords de la SRPP au Port. L'opération de distribution de tracts se poursuit. Regardez

  • Joël Dalleau (CFDT) "Nous ne sommes pas trop nombreux, il faut le reconnaitre"

    Joël Dalleau, dirigeant de la CFDT, est devant la SRPP. "Nous ne sommes pas trop nombreux, il faut bien le reconnaitre et ne pas se voiler la face. Malgré tout nous sommes présents, nous allons attendre en espérant que nous soyons plus nombreux dans une heure ou deux" note le syndicaliste.

    Il rappelle que de nouvelles mobilisation sont prévues, mardi devant les établissements hospitaliers, mercredi au rond-point de Gillot et jeudi sur les ronds-points du Port ainsi que celui de Pierrefonds à Saint-Pierre.

    "Pour le rond-point de Gillot, nous prévoyons une distribution de tracts et un barrage filtrant, mais dans ce type de manifestation tout le monde ne peut pas contrôler tout le monde" précise Joël Dalleau.

    A la question de savoir pourquoi la mobilisation est faible ce lundi matin devant la SRPP, le dirigeant de la CFDT commente : "je pense qu'on ne comprend pas encore l'impact que cette réforme aura sur nous. En Métropole, la population est plus dans la réactivité. C'est ce qui nous manque ici"

    Il ajoute : "les Réunionnais sont dociles, je ne les blâme pas, c'est dans notre nature. Mais il faut comprendre : si nou bouz pa, nou gagnra pa ryen". Regardez

     

     

     

  • Grève d’Albioma au Gol : EDF appelle ses clients à modérer leur consommation

    Depuis le vendredi 17 mars 2023 au soir, les salariés d’Albioma sont en grève et occupent le site de la centrale thermique du Gol à Saint-Louis pour manifester leur mécontentement face à la réforme des retraites et l’utilisation du 49.3. La mobilisation sur le site stratégique de mixe énergétique de la centrale thermique du Port laissait présager une menace pour l’approvisionnement en électricité de l’île. Dans ce contexte, EDF demande à ses clients de modérer leur consommation Lire l'article ici
  • Saint-Louis : la centrale thermique du Gol toujours à l'arrêt

    La centrale thermique du Gol (Saint-Louis) est toujours à l'arrêt ce lundi matin. Depuis ce vendredi soir, des salariés occupent le site de la centrale thermique du Gol à Saint-Louis pour manifester leur mécontentement face à la réforme des retraites et l’utilisation du 49.3. Tous les employés d’Albioma, qui exploite la centrale thermique biomasse, sont en grève d’après les représentants syndicaux.

    “On va se mobiliser de plus en plus, on va faire en sorte que ça bouge, il faut se faire entendre” dit Timothé Payet, délégué syndical CGTR d’Albioma le Gol . “Il y aura des impacts sur le réseau, EDF verra de son côté s’ils pourront compenser” annonce-t-il.

    “Macron veut supprimer nos plus belles années de retraite, sachant qu’aujourd’hui nous sommes dans des travaux pénibles. Tout ça diminue notre espérance de vie, on a des agents qui ont perdu la vie deux ans après leur retraite” dénonce-t-il. Regardez

    Les dockers de la CGTR sont venus apporter leur soutien aux grévistes, alors qu’un blocage de trois jours a été organisée cette semaine au port-est

    Lire l'article ici
  • Patrick Jayme (Unsa) :"la mobilisation ne s'arrêtera pas"

    Présent devant la SRPP, Patrick Jayme de l'Unsa explique au micro d'Imazpress : "en intersyndicale la décision a été prise de se mobiliser devant ce site stratgique de la SRPP au Port"

    Il ajoute "nous informons nos collègues salariés de cette entreprise sur cette réforme et nous faisons aussi pression sur le gouvernement pour dire une nouvelle fois que sa réforme n'est pas bonne"

    Il dit aussi que la mobilisation ne s'arrêtera pas. Regardez

  • Rassemblement devant la SRPP au Port

    A l'appel de l'intersyndicale, des manifestants sont rassemblés devant le siège de la SRPP (société réunionnaise des produits pétroliers) au Port

    Il n'y a pas de blocage des accès. Les camions-citernes entrent et sortent sans problème.

    Les manifestants distribuent des tracts aux salariés arrivant sur le site

    Mobilisation de l'intersyndicale devant la SRPP au Port
    Mobilisation de l'intersyndicale devant la SRPP au Port (Photo sly/www.imazpress.com)
  • La députée Nathalie Bassire est signataire de la motion de censure

    Dans un communiqué publié ce dimanche 19 mars, Nathalie Bassire (Liot) indique : "Je suis signataire, avec 90 de mes collègues député.e.s issu.e.s de 5 groupes d’opposition (dont ceux formant la Nupes), de la motion de censure déposée (...) par le groupe Liot (Libertés Indépendants Outre-Mer et Territoires), dont je suis la Vice-Présidente".

    "Conformément à mes engagements sur le statu quo s’agissant de l’âge légal de départ à la retraite, et mes déclarations constantes depuis plusieurs mois, je voterai naturellement cette motion de censure (...) au nom de la démocratie sociale et parlementaire.

    Lire l'article ici
  • Pour le PLR "déclencher le 49.3 est un déni démocratique odieux"

    Ce dimanche 19 mars 2023, Huguette Bello, présidente du parti Pour La Réunion (PRL) s'est exprimée à Saint-Denis sur la réforme des retraites et l'utilisation du 49.3.

    Les députés Karine Lebon, Émeline K/Bidi et Frédéric Maillot ainsi que le maire de Saint-Paul et président du TCO, Emmanuel Séraphin, étaient à ses côtés.

    Pour le PLR, déclencher le 49.3 est "un déni démocratique odieux, qui revient à écraser la représentation nationale, la contestation unanime des syndicats et de la majorité de la population".

    Le PLR en est convaincu : "une grande phase d'instabilité arrive"

    Pour Huguette Bello, présidente de Région, "les principes de la République sont aujourd'hui remis en cause avec cette réforme, d’autant plus quand on connaît la situation des seniors à La Réunion qui vivent dans une grande misère, sans compter la retraite des indépendants qui est très faible".

    "Le gouvernement a rajouté de la difficulté à la difficulté. Il faut aller chercher là où il y a de l’argent et de la fortune, c’est là qu’il faut mettre de l’impôt", dit-elle. Regardez

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  • Motion de censure, comment ça marche

    Selon les oppositions à la majorité présidentielle, les syndicats et la rue, Emmanuel Macron veut un passage en force de la réforme des retraites rejeté par une grande majorité des Français.

    Le 49.3 mettant fin au débat et engageant la responsabilité du gouvernement a encore renforcé ce sentiment. Les oppositions, déjà soutenues par quelques élus LR, ont donc déposées des motions de censure. Si au moins l'une des deux motions trouvent une majorité, le gouvernement d'Elisabeth tombera.

    Les deux motions de censure ont été déposées par les groupes d'opposition à l'Assemblée nationale, l'une par le RN et l'autre par le groupe LIOT (groupe Libertés Indépendants Outre-Mer et Territoires). Cette dernière a été signée par tous les partis de la Nupes.

    Les deux textes dénoncent une procédure législative qui bafoue les principes démocratiques.

    - Qu'est-ce qu'une motion de censure ? -

    Il s’agit de l’arme parlementaire qui peut renverser le gouvernement. Aux termes de l’article 49, alinéa 2 de la Constitution de 1958, l’Assemblée nationale peut mettre « en cause la responsabilité du gouvernement par le vote d’une motion de censure ».

    Une fois déposée, la motion de censure doit être examinée dans un délai de quarante-huit heures puis soumise au vote de l’Assemblée nationale. Seuls les députés qui y sont favorables votent, une abstention étant considérée comme un soutien au gouvernement.

    Pour renverser le gouvernement, il faut obtenir un vote favorable à la majorité absolue, soit 289 députés. Compte tenu de la composition de l’Assemblée nationale, cela nécessite que la quasi-totalité (88 %) des 327 députés de l’opposition, du RN à LFI, en passant par LR, s’accorde sur ce texte.

    Lire l'article ici

  • Bonjour, bonjour La Réunion

    Dans toutes la France, ce lundi est synonyme de nouvelle journée de mobilisation contre la réforme des retraites

    A l'Assemblée nationale les députés examinent les deux motions de censure déposées par les oppositions en réactions à l'enclenchement du 49.3 par Elisabeth Borne à la demande d'Emmanuel Macron.

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À propos

La Réunion est-elle à l’aube d’une crise sociale ? Est-ce la semaine où il faut tout tenter pour faire en sorte que ce projet de réforme des retraites ne voit jamais le jour.

Ce qui est certain, c’est que l’intersyndicale (CGTR, CFDT, FO, FSU, UNSA, Solidaires, Saiper, CFTC, CFE-CGC, FGR, Unef, Attac) a annoncé plusieurs actions de mobilisation pour cette semaine, à commencer par un rassemblement devant la SRPP ce lundi 20 mars.

Mardi, les manifestants seront mobilisés devant les établissements de santé avant de revenir sur Gillot mercredi, comme le 7 mars dernier. Jeudi, c’est à Pierrefonds qu’ils seront rassemblés, ainsi que devant l’enceinte portuaire du Grand port maritime.

Une montée en puissance tout au long de la semaine jusqu’à la prochaine manifestation nationale prévue ce jeudi 23 mars.

Du côté de l'usine Albioma, on est en grève. Depuis vendredi soir, les salariés d’Albioma occupent le site de la centrale thermique du Gol à Saint-Louis pour manifester leur mécontentement face à la réforme des retraites et l’utilisation du 49.3. Dans ce contexte, EDF demande à ses clients de modérer leurs consommation ces prochains jours dans un communiqué ce dimanche en raison de “l’indisponibilité de certaines installations”.

- L’intersyndicale durcit le ton -

L’intersyndicale, par ses nouvelles mobilisations, entend durcir le ton et ne rien lâcher après le passage en force du gouvernement.

« Il faut monter d’un cran car après huit mobilisations, on a réussi à ce que le gouvernement passe par un 49.3 car il n’avait pas la majorité”, précise Jean-Paul Paquiry de FO. “On est là pour maintenir la pression pour faire retirer cette réforme inacceptable », ajoute-t-il.

« L’exécutif impose par un coup de force une décision largement rejetée. Il faut caractériser ce mépris qu’il porte aux syndicats », clame Marie-Hélène Dor de la FSU.

“On va monter en tension, les manifestations vont monter et aujourd’hui on demande au service public, aux jeunes, à toutes les femmes de nous rejoindre”, ajoute Jean-Yves Hoarau de la CFTC.

Le Parti pour La Réunion (PLR) a lui annoncé qu'une "grande phase d'instabilité arrive". Pour le maire de Saint-Paul, Emmanuel Séraphin, “il y a une atteinte à la sincérité du débat parlementaire avec cette réforme qui pourrait passer grâce au 49.3". Avant d'ajouter, "la semaine qui commence marquera une nouvelle phase de crise politique et institutionnelle. La phase de proposition de débat par les syndicats est terminée. Une grande phase d’instabilité arrive”, clame l’élu.

Lire aussi – Réforme des retraites : colère et mobilisation après le déclenchement du 49.3 Lire aussi - Manifestations de colère dans tout le pays contre la réforme des retraites

- Le combat jusqu’au retrait de la réforme des retraites -

Ce combat de l’intersyndical et de la majorité de la population française est nécessaire en cette période où la Première ministre a déclenché le 49.3.

Deux motions de censure ont été déposées les députés de l’opposition. Des motions qui seront votées ce lundi et qui, si elles passent, pourrait faire basculer le gouvernement.

Karine Lebon, députée qui a toujours été contre déclare, “nous allons utiliser tous les moyens à notre disposition pour que ce texte ne passe pas. La motion de censure a de grandes chances d’aboutir. Le pendant serait la dissolution de l’assemblée nationale. Et je vous assure que je n’aurais aucun mal à revenir en campagne après avoir enterré cette réforme des retraites. Nous ne nous arrêterons pas là”.

Frédéric Maillot, député, précise, “nous disposons encore de leviers que nous pouvons activer. Si la motion de censure ne passe pas il nous reste des possibilités avec le Référendum d’initiative partagé. Pour cela, il nous faudra 185 des 925 parlementaires et 4,7 millions de français qui signent contre cette réforme. Il y a encore de l’espoir”, conclut-il.

La vice-présidente du groupe Libertés Indépendants Outre-Mer et Territoires (LIOT) et députée de La Réunion, Nathalie Bassire est signataire, avec “90 député.e.s issu.e.s de 5 groupes d’opposition” (dont ceux formant la NUPES), de la motion de censure déposée à l’Assemblée Nationale ce vendredi. “Je voterai naturellement cette motion de censure lundi” a-t-elle ajouté dans un communiqué avant d’annoncer qu’elle devrait également être votée par l’ensemble du groupe RN.

Toutefois, Les Républicains ont affirmé qu’ils ne “s’associeraient pas aux extrêmes ” et qu’ils ne voulaient pas “ajouter du chaos au chaos”.

Vote ou pas, ce qui est sûr, c’est que tant que la réforme des retraites sera d’actualité, les Français seront dans la rue.

www.imazpress.com/redac@ipreunion.com
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13 Commentaires
razmot
razmot
1 an

Devant la dictature macroniste la seule solution reste la révolution il faut y aller pire que les gilets jaunes jusqu'au bout, faire tomber les têtes quitte à être impopulaire!

HULK
HULK
1 an

Très beau discours et juste.

Alice974
Alice974
1 an

Pas d'inquiétude malgré la volonté de détruire notre société les extrêmes et notamment la nupes vont échouer. Ils doivent être rejetés car ils menacent notre paix sociale

Le loup
Le loup
1 an

Macron pour moi a raison, il faut allonger de deux ans.
Les syndicalistes de la Réunion, les parasites sont de sortis.
Payer pour emmerder les autres, surtout les syndicats des fonctionnaires.
Je souhaite qu'un jour, il n'aura plus rien à faire.
Combien sont-ils sur toute la Réunion à rien faire ?
Il faudrait recencer le nombre de fonctionnaire déchargé complétement et voir le nombre de poste manquant dans la fonction publique.
En tout c'est pas qui va les soutenir et qu'il n'amène pas "la patte" à côté de moi.

Missouk
Missouk
1 an

On verra parmi les députés LR qui a réellement du courage! Quant au socialiste HABIB, je pense que ses électeurs, dans sa circo vont lui parler du pays!

Intensifions la lutte
Intensifions la lutte
1 an

Nous sommes à la croisée des chemins à l'Assemblée nationale. Soit les députés répondent aux aspirations populaires en votant la #MotionDeCensureTransPartisane .Soit ils écrasent la démocratie sociale.

grève générale !
grève générale !
1 an

Mirabeau dit : «Nous sommes ici par la volonté du peuple et on ne nous en arrachera que par la force des baïonnettes». Députés du peuple, votez la censure !
Mais motion votée ou pas :

Gremy Hoareau
Gremy Hoareau
1 an

Les vives tensions mais pas à la réunion

FMD
FMD
1 an

Bonjour a tout les Amis Partisans ce qu'il faudrait c'est de créer un nouveau Groupe bien soudé et Fondé cela s'appelleras .FMD c'est-a-dire FOUT MACRON D'EHORS Enlever la Borne qui gêne le Passage .

Olivier Mateu
Olivier Mateu
1 an

"On maintient la pression par la grève, les manigances du pouvoir ne nous détournent pas de notre objectif: retrait de la réforme.
On va tout reprendre.
#cgt @UDCGT13
Marseille belle et rebelle

20 MARS 2023
20 MARS 2023
1 an

Ce n’est plus une histoire de réforme des retraites ! Il s’agit maintenant de nous débarrasser de Macron
En finir enfin avec cette SOUS-FRANCE

Atterré
Atterré
1 an

De belles têtes d'humanistes ! ! !

CHABAN
CHABAN
1 an

Ouais, elle sera rejetée, comme les autres.